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FABIEN PIVETEAU

 
Formé à Angers Fabien Piveteau ne réussira pas à s'imposer dans les buts de son club formateur du fait qu'il sera barré par des éléments plus expérimentés que lui tels que Pascal Janin, Patrick Chaslerie et Jean-Pascal Beaufreton. Ensuite il rejoindra l'OGC Nice mais devra attendre trois ans pour vraiment lancer sa carrière professionnelle à 25 ans après le départ du titulaire André Amitrano. Le grand pic de ses années de professionnalisme sera d'être entré dans la légende des grands gardiens du Havre en enchaînant les grandes performances comme le feront avant lui Michel Ettorre et Alain Casanova et après lui Christophe Revault, Stéphane Cassard, Alexander Vencel, Steve Mandanda, Nicolas Douchez, Johny Placide et Zacharie Boucher pour ne citer qu'eux.
 
FABIEN PIVETEAU
Fabien Piveteau est né en 1963 à Cholet en Maine-et-Loire. Passionné de ballon rond il prendra très jeune sa première licence au sein du petit club de sa commune natale où il apprendra les premiers rudiments pour devenir un bon gardien de but. Ensuite après avoir gravi quelques échelons dans les équipes des jeunes choletais il rejoindra le plus grand club régional qu'était le SCO Angers pour continuer sa formation de dernier rempart d'une défense. Et là ça ira très vite pour le jeune adolescent puisque l'entraîneur de l'équipe première, Elie Fruchart, tombera sous le charme de ses qualités au point de tenter le pari de l'installer comme gardien numéro trois du club angevin pour la saison 79/80 derrière Pascal Janin et Patrick Chaslerie. Alors à tout juste seize ans voilà que le natif de Cholet allait s'entraîner aux côtés de joueurs expérimentés tels que Patrick Brulez, René Le Lamer, Roger Baltimore, François Félix et Michel Cassan sans oublier les prometteurs Bruno Steck, Christian Felci, Michel Audrain, Patrice Augustin, Patrice Lecornu, Karim Maroc et Patrick Gonfalone entre autres. Alors sa première année au sein du groupe professionnel se soldera à apprendre le métier auprès de Janin le titulaire indiscutable et de sa doublure Chaslerie tout en évoluant en équipes des jeunes angevins et en faisant quelques apparitions en réserve qui évoluait en troisième division. Alors sa saison 79/80 le verra être un spectateur privilégié pour voir les pros terminer quatorzièmes de l'élite à six points du 18ème ( barrage de relégation ) et de prendre part à la deuxième place finale du groupe Centre-Ouest de la D3 à six unités de l'équipe B du FC Nantes.
La saison 80/81 verra le jeune gardien de 17 ans continuer sa formation et son apprentissage du monde professionnel en étant de nouveau le troisième gardien du SCO en première division. Alors ce sera d'assez loin qu'il verra Janin et Chaslerie se partager le temps de jeu en pro et voir l'équipe première se faire reléguer à l'étage inférieur suite à sa dernière place finale acquise avec seulement 24 points ( 5 nuls, 14 nuls et 19 défaites ) tout en ayant la plus mauvaise attaque avec 33 buts de marqués et la quatrième défense la plus perméable avec 66 buts d'encaissés à égalité avec Nîmes et derrière le duo Lille-Tours ( 71 ) et Valenciennes ( 70 ). Et à préciser qu'il continuera à se faire les dents de temps en temps en équipe réserve ce qui l'amènera à participer à la dixième place finale acquise dans le groupe Ouest du championnat de D3 à sept points du premier relégable et à dix du leader, le Stade Français.
Suite au départ de Janin à Gueugnon le jeune homme de 18 ans deviendra la doublure de Chaslerie mais ce dernier ne lui laissera aucune miette ce qui lui vaudra de voir du banc de touche le SCO rater la remontée immédiate en D1 du fait qu'il ne finira que huitième du goupe B de la seconde division à seize points de la deuxième position synonyme de disputer les barrages d'accession à l'élite. Alors en parallèle de sa place de numéro deux en équipe première il prendra part au parcours de la réserve en D3 jusqu'à l'avant-dernière place finale du groupe Centre-Ouest avec vingt points ( 5 victoires, 10 nuls et 15 défaites ) lui valant ainsi une descente en quatrième division.
Pour la saison 82/83 le choletais sera toujours le gardien numéro deux angevin et comme l'année passée il ne jouera aucune minute toutes compétitions confondues ce qui l'amènera à voir assis sur son banc ses coéquipiers arracher une douzième place finale dans le groupe A de la D2 à vingt points des barrages de promotion à la première division tout en ayant la deuxième défense la plus perméable de toute la division avec 65 buts d'encaissés à quatre unités de Corbeil-Essonnes. Alors il ira traîner ses gants sur les pelouses de la quatrième division où avec la réserve du SCO il finira huitième du groupe D à trois longueurs du premier relégable et à onze de la seconde place synonyme de montée à l'étage supérieur.
Après le départ de Chaslerie à Brest l'angevin de vingt ans pensait avoir sa chance de montrer toute l'étendue de son talent mais son coach Fruchart et son successeur Christian Letort ( à partir de Septembre 1983 ) ne seront pas convaincu qu'il avait le potentiel de garder les cages angevines puisqu'ils feront de Jean-Pascal Beaufreton le numéro un d'Angers. Alors en tant que doublure avec aucune minute de disputée il verra ses partenaires encore rater l'accession en D1 du fait qu'ils ne termineront que quatorzièmes du groupe B à neuf points du premier relégable et à 21 du podium synonyme de jouer les barrages de promotion. Finalement il disputera le championnat de D4 où il finira au cinquième rang du classement du groupe D à huit points du FC Lorient et à six de Redon, les deux clubs qui joueront l'année suivant en D3.
Sa saison 84/85 sera encore vierge en temps de jeu en pro et ce sera en spectateur qu'il verra le SCO et son nouveau coach en la personne de Henri Atamaniuk terminer comme premier relégable du groupe A mais évitera la relégation en D3 grâce au dépôt de bilan du Stade Français 92. Et le choletais sera à deux doigts de vivre une accession avec la réserve du fait qu'elle finira quatrième du groupe D de la quatrième division ( tout en ayant la meilleure défense avec 21 buts d'encaissés ) à deux points du second, Concarneau, qui allait accompagner l'US Montagnarde à l'étage supérieur.

Durant l'été 1985 après n'avoir jamais eu sa chance en équipe fanion le choletais de 22 ans décidera de quitter son club formateur et surtout sa région natale pour rallier la Côte d'Azur afin de s'engager avec l'OGC Nice, tout frais promu parmi l'élite. Mais son recrutement chez les Aiglons avait été validé pour être la doublure d'André Amitrano, numéro un depuis 1982. Et même en changeant de club la saison 85/86 sera identique des précédentes puisqu'il ne jouera aucune minute en pro ce qui l'amènera à voir ses nouveaux coéquipiers réaliser un bon championnat en tant que promu en finissant à une belle huitième place finale acquise à six points du 18ème ( barrage de relégation ) et à quatre d'une qualification européenne tout en ayant l'une des plus faibles attaques ( 39 ex-aequo avec Laval et derrière Bastia ( 30 ) et le duo Rennes-Strasbourg ( 36 ) ). Alors sa première année niçoise se résumera en réserve avec laquelle il terminera à la seconde place du groupe Sud de la D3 à trois points du GFC Ajaccio tout en ayant l'attaque la plus prolifique avec 53 buts de marqués à égalité avec le club corse.
A 23 ans l'ancien du SCO Angers allait enfin jouer ses trois premiers matchs au plus haut niveau français grâce à une blessure ou suspension d'Amitrano. Et ses premières statistiques enregistrées en D1 lui vaudront de prendre part à la onzième place finale acquise par les Aiglons à six points du 18ème ( barrage de relégation ) et à dix d'une qualification européenne tout en ayant l'une des plus faibles défenses ( 49 derrière Rennes ( 58 ), Sochaux ( 51 ) et Le Havre ( 50 ) ). Alors il fera comme à l'année précédente et comme à Angers il se consolera avec la réserve avec laquelle il terminera à l'issue de la saison 86/87 au troisième rang du groupe Sud de la D3 à six points de l'équipe B de Monaco et à un de Grenoble.
La saison 87/88 verra l'ancien angevin retrouver ses habitudes depuis qu'il faisait parti d'un groupe professionnel en ne jouant aucune minute en équipe première. Alors ce se sera du banc de touche qu'il verra ses coéquipiers atteindre les demi-finales de la coupe de France ( perdue 3-2 score cumulé contre le FC Sochaux ( victoire 2-1 à domicile et défaite 2-0 dans le Doubs ) ) et assurer le maintien de justesse en D1 grâce à une seizième place finale avec une longueur d'avance sur le 18ème ( barrage de relégation ) tout en ayant l'une des plus faibles défenses ( 47 ex-aequo avec Toulouse et derrière Lens ( 62 ) et les duos Saint-Etienne-Le Havre ( 56 ) et Cannes-Brest ( 52 ) ). Alors une fois de plus il réalisera son année avec la réserve niçoise avec laquelle il finira dixième du groupe Sud-Est de la D3 à cinq points du premier relégable.
Durant l'été 1988 les dirigeants niçois échangeront leur gardien numéro un, André Amitrano, contre celui de l'AS Cannes, Gilles Morisseau mais en débarquant chez les Aiglons ce dernier ne sera pas le dernier rempart de la défense de Nice puisque le coach Nenad Bjekovic décidera de donner sa confiance à Piveteau qui était depuis son arrivée la doublure d'Amitrano. Alors à 25 ans le choletais disputera sa toute première année complète en tant que titulaire car depuis le début de sa carrière cette dernière se résumait à seulement trois rencontres de première division. Finalement ses prestations plus que satisfaisantes convaincront Bjekovic à le laisser dans les buts azuréens ce qui l'amènera à totaliser 33 matchs toutes compétitions confondues dont 28 en D1. Et de ce fait sa saison la plus aboutie depuis qu'il était professionnel lui permettra d'être le septième Aiglon le plus utilisé à dix unités d'Eric Guérit, à huit de Thierry Oleksiak, à sept de Jean-Pierre Bosser, à six de Marko Elsner, à trois de Roger Ricort et à deux de Daniel Bravo. Et en tant que numéro un il vivra un championnat de France très réussi puisque l'OGCN arrachera une belle sixième place finale loupant de six unités une qualification européenne tout en emmenant son équipe au huitième rang du classement des meilleures défenses ex-aequo avec Nantes ( derrière le PSG ( 26 ), Sochaux ( 28 ), Toulon ( 29 ), Auxerre ( 32 ), Marseille ( 35 ) et le duo Monaco-Lille ( 38 ) ).
Sous les ordres d'un nouvel entraîneur en la personne de Pierre Alonzo le natif de Maine-et-Loire débutera la saison 89/90 comme titulaire mais lorsque Alonzo perdra sa place au profit de Carlos Bianchi au mois d'Octobre 1989 la première décision du coach argentin sera d'installer Morisseau dans les cages niçoises. Alors l'année de l'ancien du SCO se soldera avec seulement quatorze matchs toutes compétitions confondues ( dont treize en D1 ) au pénible parcours des Aiglons en championnat où ils termineront au 18ème rang leur donnant ainsi une chance de disputer le barrage de relégation afin de garder leur place au sein de l'élite. Finalement les niçois joueront bien en première division durant la saison 90/91 car même après une défaite 3-1 en Alsace contre Strasbourg, vainqueur des barrages en seconde division, ils se rattraperont à domicile en gagnant 6-0. A préciser qu'après avoir perdu sa place au sein du onze de l'équipe première il ira faire quelques apparitions en réserve où il prendra part à la douzième place finale acquise dans le groupe Sud de la D3 à cinq points du premier relégable.
 
FABIEN PIVETEAU
Pendant l'été 1990 il décidera de quitter Nice du fait que les dirigeants du Havre viendront lui proposer une place de titulaire en seconde division afin de remplacer Alain Casanova parti à Marseille pour jouer un rôle de doublure. Et là à 27 ans il ne pouvait pas refuser une telle opportunité car il attendait cela depuis si longtemps. Alors même au second étage du football français il sera le dernier rempart d'un onze type qui déméritait pas d'un onze de l'élite puisqu'on pouvait y trouver des éléments expérimentés tels que Jean-Pierre Delaunay, Eric Prissette, Philippe Mahut, Thierry Uvenard, Alain Bénédet, François Quilan, Joël Tiéhi et Bruno Roux et sans oublier Thierry moreau et Eric Delétang. Finalement sa première année havraise sera éblouissante puisqu'il finira comme le deuxième joueur le plus utilisé par l'entraîneur Pierre Mankowski avec 35 matchs toutes compétitions confondues ( avec aucune absence en 34 journées de D2 ) à égalité avec Bénédet et Tiéhi et à une longueur de Quilan. Et il sera l'auteur d'énormes performances au point d'emmener son club à la première place du classement des meilleures défenses de toute la division avec seulement 17 buts d'encaissés ex-aequo avec Valenciennes. Et collectivement ce sera également une grande année pour l'ancien niçois puisque le HAC validera son ticket retour en D1 après trois ans d'absence suite à sa première place finale acquise dans le groupe B avec cinq points d'avance sur Lens et six sur Laval tout en ayant la meilleure attaque à égalité avec Angers avec 52 buts de marqués. Et cerise sur le gâteau il inscrira un titre de champion de France de D2 à son palmarès conquis aux dépens de l'autre premier, Nîmes, après une victoire 3-0 score cumulé ( victoire 3-0 à domicile et 0-0 dans le Gard ).
Et ses retrouvailles avec le haut niveau français sera une grande réussite pourle choletais puisqu'il ne ratera aucune journée des 38 possibles de la saison 91/92 et finira même comme le portier de la quatrième défense la plus imperméable avec 32 buts d'encaissés à égalité avec Auxerre et Montpellier et derrière Marseille ( 21 ), le PSG ( 27 ) et Lens ( 30 ). A préciser que cette année là lui vaudra d'être considéré comme le meilleur gardien du moment au point d'être à deux doigts d'intégrer l'équipe de France et surtout de remporter l'Etoile d'Or France Football comme l'avaient fait avant lui d'autres gardiens comme Dominique Baratelli ( 1976 ), André Rey ( 1979 ), Pierrick Hiard ( 1980 et 1982 ), Dominique Dropsy ( 1981 ), Pascal Olmeta ( 1984 ), Bruno Martini ( 1987 et 1991 ) et Jean-Luc Ettori ( 1990 ).  Et collectivement le promu normand réalisera un très beau exercice hexagonal en finissant au septième rang de l'élite à deux longueurs d'une qualification européenne.
Par contre le championnat de France 92/93 ne sera pas du même calibre que le précédent du fait que le HAC ne terminera que quinzième à quatre points du premier relégable. Et en manquant qu'une seule journée de D1 il encaissera plus de buts que l'année passée au point que l'équipe havraise finisse avec la sixième défense la plus perméable avec 53 buts d'encaissés derrière Nîmes ( 66 ), le duo Strasbourg-Toulon ( 57 ), Valenciennes ( 56 ) et Caen ( 54 ).
La saison 93/94 sera identique de la précédente du fait que le club doyen du football français arrachera une 17ème place finale en D1 avec six points d'avance sur le premier relégable tout en ayant la seconde attaque la moins prolifique ( 29 ex-aequo avec Caen et derrière Toulouse ( 26 ) ). Et sans louper une seule journée du championnat il finira pour la deuxième année consécutive comme le portier de la sixième défense la plus perméable avec cette fois-ci 48 buts d'encaissés ex-aequo avec Sochaux et derrière Angers ( 63 ), Toulouse ( 60 ), Martigues ( 58 ), Caen ( 54 ) et Lille ( 52 ).
 
FABIEN PIVETEAU
FABIEN PIVETEAU
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Et après quatre années pleines en Normandie il verra à trente ans sa carrière prendre une autre dimension lorsque l'AS Monaco jettera son dévolu sur lui pour remplacer Jean-Luc Ettori parti à la retraite. A préciser qu'avant de porter leur choix sur le gardien havrais les dirigeants monégasques avait tenté de chiper Fabien Barthez à Marseille qui venait d'être relégué en seconde divsion. Finalement sa première année en Principauté sera pleine avec 39 matchs toutes compétitions confondues ( dont 34 en D1 ) mais sans réaliser les presations qu'il faisait lorsqu'il évoluait au Havre. Mais faut dire qu'en Normandie le choletais était très souvent sollicité du fait que le HAC était systématiquement dominé ce qui amenait son gardien à briller par ses arrêts réflexes et ses parades spectaculaires. Alors que sur le Rocher il était dans un club qui était réputé pour une équipe offensive ce qui vaudra à l'ancien Aiglon à être moins sollicité qu'au Havre et donc moins concentré et moins décisif lorsque l'on avait besoin de lui. Et collectivement malgré le limogeage d'Arsène Wenger au mois de Septembre 1994 l'ASM atteindra les quarts de finale de la coupe de la Ligue ( perdu 2-0 contre Montpellier ) et finira sixième de l'élite en arrachant de justesse une qualification pour la coupe UEFA grâce à une meilleure différence de buts par rapport à Bordeaux ( +21 contre +5 ) et surtout du fait que le troisième, le PSG, avaient remporté les deux coupes nationales.
La saison 95/96 sera difficile pour l'ancien angevin car cette fois-ci les dirigeants monégasques réussiront à attirer Barthez ce qui l'amènera à devenir la doublure de l'international français avant de descendre à la troisième place dans la hiérarchie des gardiens suite aux bonnes prestations du jeune Stéphane Porato. Alors sa seconde année sur le Rocher se soldera avec seulement quatre matchs toutes compétitions confondues ( trois en D1 et son premier et unique européen ) ce qui lui permettra de prendre part au premier tour de la coupe UEFA ( 3-1 score cumulé contre Leeds ( défaite 3-0 à domicile et victoire 1-0 en Angleterre ) et à la troisième place finale acquise en championnat à quatre points du champion auxerrois et à égalité avec le PSG ( meilleure différence de buts pour le club parisien ( +29 contre +25 )). Par contre ce sera des tribunes qu'il verra ses coéquipiers atteindre les quarts de finale de la coupe de la Ligue qu'ils perdront 1-0 contre Lyon, futur finaliste.
 
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Voyant que son histoire avec l'ASM était achevée il décidera de quitter la Principauté mais n'attendra pas longtemps pour rebondir du fait que le SC Bastia pensera à lui pour remplacer Bruno Valencony parti à Nice. Et là après une année blanche il réalisera une saison 96/97 pleine avec 36 rencontres toutes compétitions confondues ( dont 35 en Ligue 1 ) ce qui fera de lui le quatrième insulaire le plus utilisé par le coach Frédéric Antonetti ex-aequo avec Piotr Swierczewski et à cinq unités de Morlaye Soumah, à trois de Patrick Moreau et à deux de Sébastien Perez. Collectivement avec un effectif de qualité ( Moreau, Morlaye Soumah, Perez, Patrick Valéry, Swierczewski, Jean-Jacques Eydelie, Pascal Camadini, Lubomir Moravcik, Pierre Laurent, Anto Drobnjak, Wilfried Gohel et Franck Vandecasteele pour ne citer qu'eux ) le Sporting effectuera une belle année en terminant au septième rang de l'élite à six points du tour préliminaire de la Ligue des Champions et à un de la coupe UEFA ce qui l'amènera à ne se contenter que de l'Intertoto.
Malgré une première année plus que satisfaisante il verra les dirigeants bastiais recruter pendant l'été 1997 le portier du FC Martigues, Eric Durand, et même un second en Novembre 1997 en la personne d'Ali Boumnijel. Alors la saison 97/98 du choletais sera totalement vierge en temps de jeu du fait que Durant jouera toutes les rencontres lors de toutes les compétitions que disputera le SCB. Et de ce fait ce sera de loin qu'il verra ses partenaires remporter l'Intertoto aux dépens de Halmstads ( victoire 1-0 en Suède et 1-1 après prolongations à domicile ), atteindre les seizièmes de finale de la coupe UEFA ( élimination à cause de la règle des buts inscrits à l'extérieur après un 3-3 score contre le Steaua Bucarest ( défaite 1-0 en Roumanie et victoire 3-2 à domicile ) ) et finir à une bonne neuvième place finale à trois points de la coupe UEFA mais arrachera une nouvelle qualification pour l'Intertoto du fait que le huitième, le PSG, avait gagné les deux coupes nationales.
 
FABIEN PIVETEAU
Et ce sera sur cette année blanche que Piveteau mettra fin à pratiquement 35 ans à sa carrière durant laquelle il aura disputé seulement sept saisons pleines du fait qu'il avait été souvent cantonné dans un rôle de doublure voire de troisième gardien.

RECONVERSION :

Dès l'arrêt de sa carrière Piveteau passera ses diplômes d'entraîneur de 1998 à 2000 tout en entraînant les gardiens de l'OGC Nice.

Ensuite du fait que des joueurs feront appel à lui pour les conseiller et qu'un anglais viendra le démarcher pour travailler avec lui afin de lui apprendre les ficelles du métier d'agent de joueur.
Et après avoir passé sa licence lors de l'année 1999 il deviendra par la suite l'agent de nombreux joueurs tels que Michael Essien, Sulley Muntari, Gyan Asamoah, John Mensah, François Kamano et Lassana Coulibaly pour ne citer qu'eux mais aussi de dirigeants et entraîneurs comme Pierre Dréossi et Frédéric Antonetti.

N.B :

En 2005 son nom sera mêlé dans une affaire de malversations financières dans le cadre du procès de Charles Pieri ( militant nationaliste corse ) du fait qu'il aurait donné à ce dernier une partie de sa commission qu'il aurait perçue lors du transfert d'Essien de Bastia à Lyon. Alors il sera condamné à deux ans de prison avec sursis mais en Février 2006 sa peine sera réduite en appel à dix mois de prison avec sursis et 30 000 euros d'amende.
 
FABIEN PIVETEAU
PALMARES :

-1991 : Champion de France de D2 ( Le Havre ).

BILAN DE CARRIERE :

-1979 à 1985 : Angers ( France ) 0 match joué.
-1985 à 1990 : Nice ( France ) 44 matchs joués.
-1990 à 1994 : Le Havre ( France ) 148 matchs joués.
-1994 à 1996 : Monaco ( France ) 37 matchs joués.
-1996 à 1998 : Bastia ( France ) 35 matchs joués.


 
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#Posté le lundi 20 avril 2020 15:33

Modifié le lundi 20 avril 2020 15:51

VINCENT FERNANDEZ

 
Formé au PSG Vincent Fernandez ne réussira jamais à s'y imposer mais faut dire que dans les buts parisiens il y avait l'indéboulonnable Bernard Lama. Sa carrière sera vraiment lancée lorsqu'il débarquera à Sochaux mais l'histoire se terminera en eau de boudin ce qui l'amènera à rallier Strasbourg où il ne s'y imposera pas. Alors il reviendra à Châteauroux où il avait été prêté deux ans du temps qu'il évoluait au PSG et là il sera le gardien titulaire du club berrichon pendant pratiquement huit années jusqu'à ce qu'il prenne sa retraite.
 
VINCENT FERNANDEZ
Vincent Fernandez est né en 1975 à Saint-Germain-en-Laye dans les Yvelines. Passionné de ballon il se mettra au ballon rond en jouant avec ses copains en bas de chez lui en disputant des rencontres contre des plus grands ce qui l'amènera à un moment donné à se casser une jambe. Et suite à cela ses parents décideront de l'inscrire dans un club et comme le Camp des Loges ( centre d'entraînement et de formation ) était tout prêt de chez lui sa tout première licence de jeune footeux sera signée au PSG. Alors il apprendra tous les rudiments footballistiques pour devenir un bon gardien de but tout en gravissant tous les échelons des équipes des jeunes saint-germanois. Et durant sa formation il apprendra énormément en voyant comme spectateur les performances en équipe première de Joël Bats jusqu'en 1992 et de Bernard Lama à partir de la saison 92/93. Et comme tout amoureux de football il verra arriver au sein de son club formateur depuis l'invstissement de Canal+ des joueurs qui deviendront vite des éléments majeurs du PSG tels que Paul Le Guen, Valdo, Ricardo, David Ginola, Lauent Fournier, Alain Roche, Vincent Guérin, Bernard Lama et Georges Weah pour ne citer qu'eux.

Après avoir vu l'équipe première atteindre les demi-finales de la coupe UEFA en 92/93, les demies de la coupe des Coupes en 93/94 et surtout remporter le titre de champion de France 1994 le natif de Saint-Germain-en-Laye acceptera de se faire prêter en seconde division à partir de Novembre 1994 du côté de Châteauroux avec lequel le club parisien avait un partenariat. Et là il sera en concurrence avec Franck Zingaro et Karim Boukrouh mais le coach Victor Zvunka lui donnera sa chance afin de montrer tout l'étendue de son talent. Et le parisien de 19 ans ne se ratera pas en étant sûr sur sa ligne et à l'aise dans le domaine aérien ce qui l'amènera à avoir sur le dos dès sa première année professionnelle l'étiquette de grand espoir du football français. Et même s'il faisait son service militaire en parallèle de sa saison 94/95 il accumulera quand même 27 matchs toutes compétitions confondues ( dont vingt en Ligue 2 ) ce qui fera de lui le douzième castelroussin le plus utilisé derrière les trios Philippe Avenet-Jimmy Algérino-Régis Garrault ( 49 ) et Kari Ukkonen-Roméo Calenda-Ahmed Maharzi ( 44 ), Joël Bossis ( 43 ), Ismaël Triki ( 42 ), Bruno Roux ( 41 ), Christophe Ajas ( 40 ) et Patrick Guillou ( 36 ). Et collectivement son prêt sera également une grande réussite du fait que La Berrichonne atteindra les quarts de finales des deux coupes nationales ( défaite 1-0 contre Le Havre en coupe de la Ligue et défaite 2-0 contre Marseille en coupe de France ) et de terminer au cinquième rang du championnat de D2 à neuf points du podium synonyme d'accession à l'élite tout en ayant la deuxième meilleure défense avec 34 buts d'encaissés ex-aequo avec Marseille et derrière Guingamp ( 32 ).
Du fait que la route était encore barrée au PSG par Lama et sa nouvelle doublure Richard Dutruel ( en lieu et place de Luc Borelli ) il prolongera son prêt à Châteauroux d'une année mais il verra être mis en concurrence avec la nouvelle recrue venant de Montluçon qu'était Frédéric Guéguen. Et en jouant en alternance avec Guéguen il totlaisera vingt rencontres toutes compétitions confondues ( 19 en D2 et une en coupe de la Ligue ) ce qui lui permettra de prendre part à la neuvième place finale acquise en championnat à quinze points du premier relégable et à seize du podium.
 
VINCENT FERNANDEZ
Durant l'été 1996 il retournera au PSG, tout récent vainqueur de la coupe des Coupes, et deviendra même la doublure officielle de Lama suite au départ de Dutruel au Celta Vigo. Et même derrière l'emblématique Lama il profitera d'une blessure de ce dernier pour totaliser dix matchs toutes compétitions confondues ( sept en Ligue 1, un en coupe de France et ses deux premiers en coupe d'Europe ) ce qui lui vaudra de participer à la seconde place finale acquise en championnat à douze points de Monaco ( tout en ayant la deuxième meilleure défense avec 31 buts d'encaissés derrière le duo Monaco-Metz ( 30 ) ) et au parcours jusqu'en finale de la coupe des Coupes que le tenant du titre perdra 1-0 contre Barcelone. Par contre il sera bien présent sur les feuilles de matchs des deux rencontres de la Supercoupe d'Europe contre la Juventus de Turin mais ce sera du banc de touche qu'il verra ses coéquipiers s'incliner 9-2 score cumulé ( défaite 6-1 à domicile et défaite 3-1 en Italie ).
Du fait que Lama était en conflit avec la direction du PSG il se verra être la doublure d'un nouvel gardien en la personne de Christophe Revault. Mais l'ancien portier du Havre sera fragilisé par une mauvaise prestation en Ligue des Champions contre le Bayern Munich au point qu'à partir de Février 1998 ce sera l'ancien castelroussin qui gardera les cages du club de la capitale aussi bien en championnat qu'au sein des deux coupes nationales. Alors sa saison 97/98 se soldera avec seize matchs toutes nationales ( six en Ligue 1 et cinq dans chacune des coupes ) ce qui lui vaudra de finir au huitième rang de l'élite ( à 18 points du tour préliminaire de la Ligue des Champions et à trois de la coupe UEFA ) et surtout d'inscrire à son palmarès les deux coupes nationales que le PSG s'adjugera grâce à sa victoire aux tirs aux buts contre Bordeaux en coupe de la Ligue ( après un 2-2 final après prolongations ) et à sa victoire 2-1 contre Lens en coupe de France. A préciser que ce sera du banc de touche qu'il verra ses coéquipiers passer le tour préliminaire de la Ligue des Champions contre le Steaua Bucarest ( défaite 3-2 en Roumanie qui deviendra une défaite de 3-0 sur tapis vert du fait que le PSG avait aligné Laurent Fournier alors qu'il était suspendu et victoire 5-0 au retour ) avant de finir deuxièmes du groupe E lors de la phase de poules derrière le Bayern Munich ( le club parisien sera éliminé ce la compétition du fait qu'il sera troisième dans le classement des meilleurs deuxièmes derrière le Bayer Leverkusen et la Juventus de Turin ).
 
VINCENT FERNANDEZ
Et malgrè ses bonnes performances le saint-germanois verra bien qu'on ne lui fera jamais vraiment confiance et en plus à cette époque le PSG ne possédait que deux voire trois jeunes issus de son centre de formation au sein de son effectif alors que les autres étaient prêtés dans diverses équipes ou quittaient Paris. Et lorsque Charles Biétry deviendra le nouveau président du PSG ce dernier voudra remanier l'effectif en se débarrassant des emblématiques Raï, Fournier, Le Guen, Guérin et Roche entre autres ) et en voyant cela Fernandez décidera de quitter son club formateur pour de bon. Et même s'il n'avait pas une grande expérience de la Ligue 1 le FC Sochaux, tout frais promu dans l'élite, misera sur lui pour être le portier titulaire du club doubiste malgré la présence de Frédéric Petereyns qui avait gardé les buts sochaliens l'année passée en seconde division. Et là il s'imposera vraiment en tant que numéro un au point de ne laiiser aucune miettes aux autres gardiens doubistes qu'étaient Petereyns, Jean-Baptiste Daguet et Pascal Villechalane. Alors sa saison 98/99 sera pleine avec quarante matchs toutes compétitions confondues ( dont 34 en Ligue 1 ) ce qui fera de lui le Lionceau le plus utilisé par les deux coachs que seront Faruk Hadzibegic puis Philippe Anziani à partir de fin Octobre 1998. Collectivement le FCS réalisera un bon parcours en coupe de la Ligue jusqu'en demi-finales ( perdue 2-0 après prolongations contre Lens, futur vainqueur de l'épreuve ) mais par contre en championnat ce sera plus laborieux puisqu'il retrouvera illico-presta la seconde division suite à son avant-dernièr eplace finale acquise à deux longueurs du premier non relégable tout en ayant l'une des plus faibles attaques ( 30 ex-aequo avec Strasbourg et derrière Le Havre ( 23 ), Toulouse ( 24 ) et Metz ( 28 ) ) et la défense la plus perméable avec 54 buts d'encaissés.
Même avec la perspective d'évoluer en D2 l'ancien parisien décidera de rester dans le Doubs pour essayer de remonter immédiatement parmi l'élite et surtout pour être malgré ses 24 ans un guide à la nouvelle génération sochalienne au sein de laquelle on pouvait y trouver Sylvain Monsoreau, Omar Daf, Benoît Pedretti, Kamal Tassali, Camel Meriem, Pierre-Alain Frau et Danijel Ljuboja pour ne citer qu'eux. Et là sous les ordres de deux entraîneurs ( Anziani puis Jean Fernandez à partir de Septembre 1999 ) ilconfirmera son statut de titulaire indiscutable en terminant la saison 99/00 avec 41 matchs toutes compétitions confondues ( dont 36 en Ligue 2 ) ce qui fera de lui pour la deuxième année consécutive le Lionceau le plus utilisé mais cette fois-ci à égalité avec Ljuboja. Collectivement les Lionceaux seront à deux doigts de remonter en Ligue 1 puisqu'ils finiront quatrièmes à une longueur du podium tout en ayant la troisième attaque la plus prolifique ( 53 derrière Guingamp ( 62 ) et Lille ( 58 ) ).
La saison 00/01 verra Sochaux valider son ticket retour dans l'élite après deux années en seconde division en terminant à la premièr eplace du classement avec une longueur d'avance sur Lorient et sept sur Montpellier tout en ayant la meilleure attaque avec 67 buts de marqués et la seconde défense la plus imperméable avec 27 buts d'encaissés derrière Montpellier ( 26 ). Et en plus d'avoir inscrit à son palmarès un titre de champion de France de D2 le saint-germanois sera encore l'un des sochaliens les plus utilisés avec de nouveau 41 rencontres toutes compétitions confondues ( dont 38 en championnat ) et cette fois-ci à égalité avec Maxence Flachez et Philippe Raschke et à une unité de Pedretti.
Ses retrouvailles avec l'élite française seront délicates du fait que le coach Jean Fernandez ne sera pas du tout satisfait de ses prestations au point qu'il le mettra en concurrence avec sa doublure Teddy Richert. Et la relation entre les Fernandez se détérioreront un peu plus lorsque le parisien refusera d'aller jouer en réserve et d'être remplaçant en équipe première. Et suite à ce refus il sera licencié pour faute grave à l'issue de la saison 10/02 mais obtiendra gain de cause sept ans plus tard puisque Sochaux sera condamné à lui verser la somme de 1 052 606 euros pour licenciement abusif.
Et avant de quitter le Doubs sa quatrième année chez les Lionceaux se soldera avec seulement 25 matchs toutes compétitions confondues ( tous disputés en Ligue 1 ) faisant ainsi de lui le onzième joueur le plus utilisé à égalité avec Fabien Boudarène et Marcelo Trapasso et derrière le duo Raschke-Pedretti ( 36 ), Flachez ( 35 ), le duo Frau-Mickaël Pagis ( 32 ), Adel Chedli ( 30 ), Stéphane Crucet ( 29 ), Michaël Isabey ( 28 ) et le duo Nisa Saveljic-Omar Daf ( 27 ). Collectivement il prendra part au maintien du promu doubiste acquis par une belle huitième place finale lui valant même une qualification pour l'Intertoto grâce à la victoire finale du sixième, Bordeaux, en coupe de la Ligue.
 
VINCENT FERNANDEZ
Doté d'une bonne réputation de gardien de but il n'attendra pas longtemps pour recevoir une offre intéressante et cette dernière viendra d'Alsace du côté de Strasbourg qui venait tout juste de retrouver la Ligue 1. Et sa venue au Racing avait été actée pour faire oublier le fantasque José Luis Chilavert tout en précisant qu'en même temps il allait rejouer au côté de son ancien équipier sochalien Danijel Ljuboja. Alors il réalisera une saison 02/03 assez correcte en accumulant 27 matchs toutes compétitions confondues ( dont 26 en Ligue 1 ) ce qui fera de lui le neuvième joueur le plus utilisé par le coach Ivan Hasek à égalité avec Jean-Christophe Devaux et Habib Beye et derrière Ljuboja ( 38 ), Corentin Martins ( 37 ), Yves Deroff ( 33 ), Christian Bassila ( 32 ), Pascal Camadini ( 30 ), le duo Yannick Fischer-Fabrice Ehret ( 29 ) et Ulrich Le Pen ( 28 ). Collectivement le promu strasbourgeois atteindra son objectif de se maintenir au sein de l'élite en terminant treizième à sept points du premier relégable et à dix d'une qualification pour l'Intertoto tout en ayant la seconde défense la plus perméable avec 54 buts d'encaissés ex-aequo avec Montpellier et derrière Sedan ( 59 ).
Par contre la saison 03/04 sera plus difficile pour lui du fait de l'arrivée d'Antoine Kombouaré comme nouveau coach et que ce dernier n'était pas un grand fan au point de faire venir Richard Dutruel pour être le numéro un au poste de gardien. Mais l'ancien Lionceau réussira à accumuler treize rencontres toutes compétitions confondues ( douze en Ligue 1 et un en coupe de la Ligue ) en profitant des graves problèmes de dos de Dutruel ce qui lui permettra de prendre part à la treizième place finale acquise à cinq points du premier relégable et à dix d'une qualification pour l'Intertoto tout en ayant l'une des plus faibles défenses ( 50 derrière Montpellier ( 74 ), Guingamp ( 58 ), Le Mans ( 57 ) et AC Ajaccio ( 55 ) ).
 
VINCENT FERNANDEZ
Voulant arrêter son aventure en Alsace il cherchera une nouvelle destination et jettera finalement son dévolu sur Châteauroux qui était qualifié pour la coupe UEFA suite à sa finale de coupe de France perdue contre le PSG du fait que ce dernier disputait la Ligue des Champions. Au départ de la saison 04/05 il sera dans la peau de la doublure de Rodolphe Roche mais en cours d'année il réussira à lui piquer du temps de jeu au point de totaliser 17 matchs toutes compétitions confondues ( quinze en Ligue 2, un en coupe de France et un en coupe d'Europe ). Son temps de jeu lui vaudra de disputer une rencontre du premier tour de la coupe UEFA ( deux défaites par 4-0 et 2-1 contre le FC Bruges ) et de participer à la cinquième place finale acquise en seconde division à onze points du podium synonyme de montée à l'étage supérieur.
Suite au départ de Roche pour Le Mans l'ancien strasbourgeois sera bel et bien le gardien attitré du onze castelroussin ce qui l'amènera à terminer au second rang du classement des joueurs les plus utilisés par les deux entraîneurs ( Didier Ollé-Nicolle puis Cédric Daury à partir de Mars 2006 ) avec 38 matchs toutes compétitions confondues ( dont 35 en Ligue 2 ) ex-aequo avec Richard Socrier et à une longueur de Razak Boukari. Collectivement le championnat sera plus laborieux que l'année précédent ce qui amènera le club berrichon à finir quinzième à six points du premier relégable et à 22 du podium tout en ayant l'une des plus faibles défenses ( 48 à égalité avec Brest et derrière Sète ( 60 ) et le duo Clermont Foot-Laval ( 59 ) ).
Malgré un changement en cours de saison 06/07 ( Frédéric Zago en lieu et place de Daury à partir de Mars 2007 pour raison médicale ) le championnat de D2 sera bien meilleur que le précédent puisque les castelroussins finiront septièmes à quatorze points du premier relégable et à seize du podium. A titre personnel le saint-germanois sera toujours d'un des hommes de base de La Berichonne en accumulant 32 matchs toutes compétitions confondues ( tous disputés en Ligue 2 ) ce qui fera de lui le cinquième élément le plus utilisé ex-aequo avec Guilhermo Mauricio et à neuf unités de Jacob Mulenga, à quatre de Stevan Bates, à trois de Teddy Bertin et à deux de David Vandenbossche.
La saison 07/08 verra Châteauroux louper son championnat en finissant quinzième de Ligue 2 à quatre longueurs du premier relégable ( en ayant l'une des plus faibles attaques ( 34 derrière Dijon ( 32 ) ) tout en précisant que pour cette année là Daury aura repris son poste de coach mais l'abandonnera encore en cours de saison ( Février 2008 ) pour le laisser cette fois-ci à Christian Sarramagna. A titre personnel sûrement dû à des pépins physiques ou à des choix de coach il ne totalisera que 26 matchs toutes compétitions confondues ( dont 25 en Ligue 2 ) faisant ainsi de lui le huitième castelroussin le plus utilisé à égalité avec Bates, Samuel Allegro et Eugène Ekobo et derrière Henri Bedimo ( 38 ), Djibril Cissé ( 33 ), Alharbi El-Jadeyaoui ( 32 ), Vandenbossche ( 31 ), Ali-Azouz Mathlouthi ( 29 ) et le duo Jean-Hugues Ateba-Thiago Xavier ( 27 ).
La saison 08/09 se finira pour la seconde année d'affilée avec une quinzième place finale acquise en Ligue 2 avec cette fois-ci seulement une petite longueur d'avance sur le premier relégable mais les castelroussins trouveront un peu le sourire en atteignant les quarts de finale de la coupe de la Ligue qu'ils perdront 2-1 contre Bordeaux, futur vainqueur de l'épreuve. A titre personnel l'ancien du PSG sera de nouveau omniprésent dans le onze type du club berrichon en totalisant trente matchs toutes compétitions confondues ( dont 28 en Ligue 2 ) ce qui fera de lui le neuvième joueur le plus utilisé par les deux coachs ( Sarramagna puis Dominique Bijotat à partir de Décembre 2008 ) à treize unités de Mathieu Scarpelli, à douze de Mickaël Cériélo, à onze de Bakary Sako, à trois du duo Richard Martini-Kévin Constant, à deux de Julien Cordonnier et à une du duo Lamine Koné-Jacob Mulenga.
La saison 09/10 sera encore une année délicate avec la démission de Bijotat en Décembre 2009, la nomination de Jean-Pierre Papin aux commandes de La Berri et surtout un maintien validé in-extrémis lors de la dernière journée grâce à une seizième place finale avec une longueur d'avance sur le premier relégable tout en ayant l'une des meilleures attaques ( 50 derrière Brest ( 53 ) et le duo Caen-Dijon ( 52 ) ) et la plus faible défense avec 54 buts d'encaissés à égalité avec Nantes. A titre personnel l'ancien sochalien ne totalisera que 24 matchs toutes compétitions confondues ( dont 23 en Ligue 2 ) sûrement dû à des problèmes physiques ou des choix d'entraîneur mais même avec de telles statistiques il sera tout de même le neuvième berrichon le plus utilisé ex-aequo avec Ahmed Kashi et derrière Constant ( 36 ), Rudy Haddad ( 30 ), les duos Cordonnier-Thiago Xavier ( 29 ) et Lamine Koné-David Fleurial ( 28 ), Titi Buengo ( 27 ) et Amara Baby ( 25 ).
Et avec un nouvel entraîneur en la personne de Didier Tholot la saison 10/11 sera tout aussi laborieuse avec une quatorzième place finale acquise en Ligue 2 à trois longueurs d'une relégation en National. A titre personnel malgré ses 35 ans passés le saint-germanois aura toute la confiance du coach Tholot ce qui l'amènera à finir comme le castelroussin le plus utilisé avec 39 matchs toutes compétitions confondues dont 37 en championnat.
La saison 11/12 sera du même calibre que la précédente du fait que La Berrichonne arrachera pour la seconde année consécutive une quatorzième place finale en championnat avec cette fois-ci six points d'avance sur le premier relégable tout en ayant l'une des plus faibles attaques ( 38 ex-aequo avec Le Havre derrière Amiens ( 29 ), Metz ( 30 ) et Arles-Avignon ( 34 ) ) et la deuxième défense la plus perméable avec 54 buts d'encaissés derrière Amiens ( 57 ). A titre personnel l'ancien du RC Strasbourg réalisera une année pleine avec 33 matchs toutes compétitions confondues ( dont 28 en Ligue 2 ) ce qui fera de lui le neuvième berrichon le plus utilisé à égalité avec Thibault Moulin et à dix unités de Claudio Beauvue, à sept de Romain Reynaud, à six de Maxime Bourgeois, à cinq de Yohan Hautcoeur, à quatre de Romain Grange, à trois de Nando Neves et à deux du duo Rémi Fournier-Akim Orinel.
 
VINCENT FERNANDEZ
VINCENT FERNANDEZ
A 37 ans il voulait bien continuer l'aventure avec Châteauroux mais ne réussira pas à trouver un accord avec les dirigeants castelroussins du côté financier. Alors étant sûr qu'il pouvait encore jouer une voire deux saisons il attendra une belle proposition d'un club de Ligue 1 dans un groupe à trois gardiens ou d'un de Ligue 2 voire d'une équipe ambitieuse de National. Finalement rien n'arrivera ce qui amènera Fernandez à mettre un terme à sa carrière professionnellequi aura été assez régulière mais loin de son club formateur, le PSG, comme beaucoup de joueurs issus du centre de formation du club parisien.

Sélection :

A l'issue de la saison 94/95 durant laquelle il aura effectué son service militaire  ce qui l'amènera à disputer durant l'été 1995 la coupe du monde militaire avec l'équipe de France. Et là aux côtés de Geoffray Toyes, Olivier Dacourt, David Sommeil, Vikash Dhorasoo, Wagneau Eloi et Eric Rabesandratana pour ne citer qu'eux il deviendra champion du monde suite à la victoire 1-0 en finale contre l'Iran.

Un an après avoir été champion militaire Fernandez sera retenu par Raymond Domenech pour disputer les Jeux Olympiques où les Bleuets n'iront pas plus loin que les quarts de finale de la compétition qu'ils perdront 2-1 après prolongations contre le Portugal.

RECONVERSION :

A l'arrêt de sa carrière Fernandez profitera de sa famille quelques temps avant de reprendre une salle de sports qui proposait de nombreux services comme une salle de musculation et du cardiotraining entre autres.
 
VINCENT FERNANDEZ
PALMARES :

-1997 : Finaliste de la coupe des Coupes ( PSG ).
-1998 : Vainqueur de la coupe de France et de la coupe de la Ligue ( PSG ).
-2001 : Champion de France de D2 ( Sochaux ).

BILAN DE CARRIERE :

-1994 à 1996 : Châteauroux ( France ) 39 matchs joués.
-1996 à 1998 : PSG ( France ) 13 matchs joués.
-1998 à 2002 : Sochaux ( France ) 133 matchs joués.
-2002 à 2004 : Strasbourg ( France ) 38 matchs joués.
-2004 à 2012 : Châteauroux ( France ) 223 matchs joués.
 
 
 
 
 
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#Posté le vendredi 17 avril 2020 12:11

Modifié le vendredi 17 avril 2020 15:51

STEPHANE PORATO

 
Stéphane Porato aura été l'un des bons gardiens de but du championnat de France de Ligue 1 mais au début de sacarrière il subira la concurrence de Fabien Barthez à l'AS Monaco ce qui tardera son éclosion. Et ce sera son transfert à Marseille qui le lancera vraiment sur le devant de la scène du football français au point de vivre sa première et unique sélection avec l'équipe de France en Novembre 1999. Ensuite après son expérience phocéenne il accumulera des passages plus ou moins réussis à Monaco, Créteil, l'AC Ajaccio avant de s'exiler en Espagne pour porter les couleurs d'Alavès en Liga et celles de Xerez en seconde division.
 
STEPHANE PORATO
Stéphane Porato est né en 1973 à Colombes dans les Hauts-de-Seine. Du fait que son père tenait une carrosserie en face du stade du club de football du Racing 92 ce qui l'amènera à s'intérreser au ballon rond. Alors suite à cela il prendra sa toute première licence de jeune footeux à l'âge de six ans au sein du club colombien où il apprendra tous les rudiments footballistiques pour devenir un bon gardien de but. Il gravira toutes les étapes des équipes des jeunes du Racing 92 mais à seize ans les dirigeants colombiens lui feront savoir qu'il ne signera pas de contrat professionnel avec son club formateur du fait que pour eux il était trop petit pour atteindre ce niveau. Durant ses dix années de présence au Racing il verra des grands joueurs évoluaient au sein de son équipe première tels que Victor Zvunka, Raoul Noguès, Rabah Madjer, Philippe Mahut, Eugène Kabongo, Maxime Bossis, Luis Fernandez, Thierry Tusseau, Enzo Francescoli et Pierre Littbarski pour ne citer qu'eux. Par contre au niveau sportif il verra le second club de la capitale faire l'ascenseur entre la D1 et la D2 avec deux accessions parmi l'élite en 1984 et 1986 et s'adjuger le titre de champion de France de D2 85/86.

Déçu mais pas désespéré l'adolescent de seize ans se proposera à plusieurs clubs de D1 et D2 avant d'obtenir un essai au SC Toulon qui se révélera positif. Alors il poursuivra sa formation de gardien puis signera son premier contrat professionnel deux ans après son arrivée tout en voyant le club varois connaître des gros soucis en interne avec la fameuse affaire de la caisse noire de Toulon ( détournement d'argent, malversations financières et faux en écriture ). Et le voilà à 18 ans malgré sa petite taille à s'entraîner avec des joueurs chevronnés tels que Luc Borelli, Jacques Songo'o, Thierry Rabat, Eric Péan, Jean-Louis Bérenguier, Philippe Thys, Patrice Ferri, Philippe Anziani, François Zahoui et Michel Pineda entre autres. En étant le gardien numéro trois du SCT derrière Borelli et Songo'o il savait très bien que ça serait dur pour lui de jouer son tout premier match en D1. Finalement il ne foulera aucune pelouse de l'élite et ce sera comme spectateur privilégié qu'il verra ses partenaires assurer le maintien du Sporting grâce à une quatorzième place finale acquise à trois points du 18ème ( barrage de relégation ) tout en ayant la seconde défense la plus perméable avec 55 buts d'encaissés derrière Nancy ( 67 ).
Après le départ de Songo'o au Mans pour un prêt le colombien de 19 ans deviendra la doublure de Borelli qui lui donnera quand même l'occasion de jouer ses deux premiers matchs de D1 pendant la saison 92/93. Alors ce petit temps de jeu lui vaudra de prendre part à cette terrible année qui verra le SCT être relégué en seconde division suite à son avant-dernière place finale acquise en championnat ( à cinq points du premier non relégable tout en ayant les deuxièmes plus faibles attaques ( 31 derrière Lille ( 26 ) ) et défenses ( 57 ex-aequo avec Strasbourg et derrière Nïmes ( 66 ) ) puis en National 1 à cause de ses problèmes financiers suite à l'affaire de la caisse noire.

Et même s'il n'avait que deux rencontres pro à son actif il rebondira assez rapidement puisque pendant l'été 1993 il recevra une proposition de l'AS Monaco qui cherchait un troisième gardien après le départ d'Angelo Hugues pour Guingamp. Alors au lieu d'aller voir ce qui se passe en National 1 il décidera de quitter Toulon pour rejoindre la Principauté même si ce n'était que pour être numéro trois derrière l'emblématique Jean-Luc Ettori et sa doublure Marc Delaroche. Sa première année monégasque se soldera à zéro minute de jouée en pro mais apprendra énormément au côté d'un monument du football français tel que Jean-Luc Ettori. Alors ce sera du banc de touche ou des tribunes qu'il verra Lilian Thuram, Emmanuel Petit, Claude Puel, Enzo Scifo, Youri Djorkaeff et Jürgen Klinsmann pour ne citer qu'eux atteindre les demi-finales de la Ligue des Champions ( perdue 3-0 contre le Milan AC, futur vainqueur de l'épreuve ) et terminer à une piètre neuvième place finale acquise en championnat à trois points d'une qualification européenne.
Même après le départ à la retraite d'Ettori l'ancien toulonnais gardera sa position de numéro trois puisque les dirigeants de l'ASM recruteront le havrais Fabien Piveteau pour récupérer la place de gardien titulaire laissant ainsi la place de doublure à Delaroche. Sa seconde année sur le Rocher lui vaudra quand même de jouer quatre rencontres en championnat suite aux blessures des deux gardiens devant lui ce qui l'amènera grâce à ses bonnes prestations à dépasser Delaroche dans la hiérarchie en devenant le nouveau numéro deux. Ses statistiques lui permettront  de participer à la sixième place finale acquise à 22 points du champion nantais, à douze de Lyon, àdix du PSG, à cinq d'Auxerre et à deux de Lens tout en précisant que Monaco arrachera une qualification pour la coupe UEFA grâce à une meilleure différence de buts par rapport à Bordeaux ( +21 contre +5 ). Par contre ce sera comme spectateur qu'ilverra ses coéquipiers atteindre les quarts de finale de la coupe de la Ligue qu'ils perdront 2-0 contre Montpellier.
Durant l'été 1995 la direction monégasque recrutera le marseillais fabien Barthez afin de pallier le départ de Piveteau ce qui vaudra au colombien d'être la doublure de l'international français. Finalement Piveteau ne partira pas mais Porato gardera quand même sa place de numéro deux. Et lorsque Barthez sera victime de blessures ( poignet cassé et un souci à un ménisque ) et qu'il écopera d'une suspension de deux mois ferme plus deux en sursis ( pour avoir été déclaré positif au cannabis lors d'un contrôle anti-dopage ( il avouera avoir fumé un joint lors d'une fête ) ) il accumulera treize matchs toutes compétitions confondues ( neuf en D1, deux en coupe de France et deux en coupe de la Ligue ) alors que Delaroche en totalisera six et Piveteau que quatre. Son temps de jeu lui vaudra de prendre part au parcours jusqu'en quarts de finale de la coupe de la Ligue ( perdu 1-0 contre Lyon, futur finaliste ) et à la troisième place finale acquise en championnat à quatre longueurs du champion auxerrois et à égalité avec le PSG ( meilleure différence de buts pour le club parisien ( +29 contre +25 ) ). Par contre ce sera du banc de touche qu'il verra ses partenaires se faire sortir dès les 32ème de finale de la coupe UEFA par Leeds ( défaite 3-0 à domicile et victoire 1-0 en Angleterre ).
Revenu à de meilleures dispositions Barthez ne laissera que deux rencontres de championnat et une de coupe de la Ligue à sa doublure Porato ce qui lui vaudra quand même d'inscrire à son palmarès le titre de champion de France conquis avec douze points d'avance sur le PSG ( tout en ayant les meilleures attaques ( 69 ) et défenses ( 30 ex-aequo avec Metz ) et de participer au parcours jusqu'en demi-finales de la coupe nationale ( perdue 2-1 contre Strasbourg, futur vainqueur de l'épreuve ). Et une nouvelle fois ce sera du banc qu'il verra le parcours de ses coéquipiers en coupe UEFA où cette fois-ci ils atteindront les demi-finales qu'ils perdront 3-2 score cumulé contre l'Inter Milan ( défaite 3-1 en Italie et victoire 1-0 à domicile ).
La saison 97/98 sera identique à la précédente puisque Barthez ne lui laissera que cinq présences sur les feuilles de matchs toutes compétitions confondues ( quatre en D1 et une en coupe de la Ligue ) ce qui lui permettra quand même à prendre part à la troisième place finale acquise en championnat à neuf points du duo Lens-Metz. Par contre ce sera comme spectateur qu'il verra ses coéquipiers s'adjuger le Trophée des Champions contre Nice ( 5-2 ) et atteindre les quarts de finale de la coupe de France ( perdu 1-0 contre le PSG, futur vainqueur de l'épreuve ) et les demies de la Ligue des Champions ( perdue 6-4 score cumulé contre la Juventus de Turin ( défaite 4-1 en Italie et victoire 3-2 à domicile ).
 
STEPHANE PORATO
Malgré un bilan de 25 matchs toutes compétitions confondues en cinq années de présence en Principauté ( dont 19 en D1 ) sa côte était tout de même assez élevé aux yeux de certains clubs dont Marseille où son entraîneur Rolland Courbis voulait miser sur lui pour garder les cages phocéennes. Et à 25 ans il ne voulait pas gâcher la chance qu'on lui donnait pour enfin s'imposer en tant que titulaire dans un club de l'élite française. Finalement il se ratera pas du tout puisque ses très bonnes performances vaudront de reléguer l'allemand Andreas Köpke, célèbre gardien de l'équipe nationale d'Allemagne et titulaire indiscutable à l'O.M depuis deux saisons, sur le banc de touche et de le faire quitter la Canebière en Janvier 1999. Et cette année 98/99 sera sa toute première saison la plus aboutie depuis le début de sa carrière avec quarante matchs toutes compétitions confondues ( dont trente en D1 ) ce qui fera de lui le huitième olympien le plus utilisé par Courbis ex-aequo avec Cyril Domoraud à sept unités de Robert Pirès, à quatre du duo Laurent Blanc-Florian Maurice, à trois du duo Frédéric Brando-Titi Camara, à deux de William Gallas et à une de Christophe Dugarry. Son transfert à Marseille lui permettra de découvrir les joutes européennes où dès sa première campagne il atteindra la finale qu'il perdra 3-0 contre Parme après avoir éliminé aux tours précédents le Werder Brême, Monaco, le Celta Vigo et Bologne. Jamais il n'aurait imaginé ça quelques mois plus tôt. Et au sein des compétitions domestiques il sera à deux doigts dès sa première année sur la Canebière d'être sacré champion de France mais un tout petit point de retard sur les Girondins de Bordeaux l'en empêchera. La seule satisfaction qu'il aura de cette première belle année phocéenne mais bredouille sera qu'avec ses compères Laurent Blanc, Cyril Domoraud, William Gallas et Patrick Blondeau il emmènera l'O.M à la première place du classement des meilleures défenses avec seulement 28 buts d'encaissés.
La saison 99/00 verra l'ancien monégasque confirmer son statut de titulaire indiscutable mais en Février 2000 il connaîtra quelques soucis car après avoir été exclu et suspendu trois rencontres pour avoir insulté un arbitre le public marseillais sera plus hostile envers lui tout en précisant que dans le même temps l'O.M enchaînait des résultats médiocres. Finalement sa deuxième année olympienne se soldera tout de même avec encore quarante matchs toutes compétitions confondues ( dont 29 en D1 ) ce qui fera de lui le quatrième joueur le plus utilisé par les deux entraîneurs ( Courbis puis Bernard Casoni à partir de Novembre 1999 ) à égalité avec Brando et derrière Pirès ( 46 ) et le duo Peter Luccin-Stéphane Dalmat ( 43 ). Après avoir découvert la coupe UEFA l'année passée il allait découvrir en 99/00 la Ligue des Champions où lui et ses coéquipiers termineront derniers du groupe D lors de la seconde phase de poules ( derrière la Lazio Rome, Chelsea et Feyenoord Rotterdam ) après avoir fini deuxièmes du groupe D lors de la première phase derrière Manchester United. Par contre en championnat ce ne sera pas du tout le même parcours que l'exercice précédent puisque l'O.M évitera une relégation en seconde division suite à sa 17ème place finale mais surtout grâce à une meilleure différence de buts par rapport au premier relégable, Nancy, ( 0 contre -2 ).
 
STEPHANE PORATO
Après une seconde année assez délicate l'ancien de Toulon décidera de quitter la Canebière ce qui amènera l'AS Monaco, champion de France en titre, à s'intéresser à lui pour pallier le départ de Fabien Barthez à Manchester United. Le choix de faire revenir Porato en Principauté avait été acté du fait qu'il avait été la doublure de Barthez de 1995 à 1998 et surtout qu'il connaissait parfaitement la maison monégasque. Mais avant de signer un contrat de cinq ans avec une indemnité d'environ 35 millions de francs son éventuel retour sur le Rocher avait soulevé l'hostilité de certains supporters monégasques et des interrogations du prince Albert. Et son retour à Monaco en tant que numéro unconnaîtra quelques défaillances avec des petits soucis physiques, des résultats médiocres et surtout une aventure européenne plus que désastreuse. Mais malgré cela sa saison 00/01 se soldera avec 37 rencontres toutes compétitions confondues ( dont 25 en D1 ) ce qui fera de lui le quatrième monégasque le plus utilisé par le coach Claude Puel ex-aequo avec Shabani Nonda et à six unités de Marco Simone, à cinq de Ludovic Giuly et à trois de Martin Djetou. Collectivement l'année débutera de la plus belle des manières avec l'acquisition du Trophée des Champions aux dépens de Nantes ( aux tirs aux buts après un 0-0 final après prolongations ) mais la suite sera plus laborieuse avec une élimination dès la phase de poules de la Ligue des Champions ( quatrième et dernière place du groupe D derrière Sturm Graz, Galatasaray et les Glasgow Rangers ) et une piètre onzième place finale acquise en championnat à six points du premier relégable et à une longueur d'une qualification pour l'Intertoto tout en ayant l'une des meilleures attaques ( 53 derrière Nantes ( 58 ) et Lyon ( 57 ) ) et l'une des plus faibles défenses ( 50 derrière Strasbourg ( 61 ) et Saint-Etienne ( 56 ) ). La seule satisfaction monégasque de cette année là sera le parcours en coupe de la Ligue où l'ASM atteindra la finale qu'elle perdra 2-1 après prolongations contre l'O.L.
La saison 01/02 sera plus délicate pour l'ancien marseillais du fait qu'à cause d'un nouvel entraîneur en la personne de Didier Deschamps et d'un nouveau gardien en la personne de Flavio Roma il sera relégué à la seconde place dans la hiérarchie des goals. Finalement suite à une blessure du portier italien il accumulera quand même seize matchs toutes compétitions confondues ( dont douze en Ligue 1 ) ce qui lui permettra de prendre part aux parcours jusqu'en quarts de finale des deux coupes nationales ( défaite 2-1 contre Bordeaux, futur vainqueur de l'épreuve, en coupe de la Ligue et défaite aux tirs aux buts contre Nîmes en coupe de France après un 1-1 final après prolongations ) et à la laborieuse quinzième place finale acquis een championnat à six points du premier relégable.
 
STEPHANE PORATO
Et la saison 02/03 sera encore plus difficile pour le natif de Colombes puisque Deschamps décidera de le redescendre comme le troisième gardien de Monaco derrière Roma et Tony Silva. Alors ne supportant plus sa situation il acceptera au début du mois d'Octobre 2002 à être prêté en Ligue 2 du côté de Créteil afin de récupérer un statut de titulaire. Et en débarquant dans le club de la banlieue parisienne ce dernier était alors troisième de la Ligue 2 et jouait clairement la montée en Ligue 1 grâce à des éléments d'expérience tels que Ramon Vega, Olivier Frapolli, Patrick Blondeau, Samir Amirèche, Marc Libbra, Bernard Bouger et Sébastien Dallet pour neciter qu'eux. Mais la suite se détériorera au point que Créteil terminera l'année à lutter pour éviter une relégation en National qui sera finalement empêchée par une 17ème place finale avec cinq points d'avance sur le premier relégable tout en ayant l'une des plus faibles défenses ( 42 ex-aequo avec Laval, Gueugnon et Valence derrière Istres ( 53 ), Clermont ( 51 ), Nancy ( 47 ) et Reims ( 45 ) ). A titre personnel le joueur prêté par Monaco terminera la saison 02/03 malgré une arrivée tardive avec trente matchs toutes compétitions confondues ( dont 26 en Ligue 2 ) ce qui fera de lui le septième élément le plus utilisé par les deux coachs ( Noël Tosi puis Jean-Michel Cavalli à partir d'Avril 2003 ) derrière Titi Buengo ( 41 ), Benjamin Genton ( 40 ), le duo Amirèche-Libbra ( 34 ), Guillaume Norbert ( 32 ) et Dallet ( 31 ).
 
STEPHANE PORATO
Pour la saison 03/04 il sera de retour en Principauté et remarquera que Deschamps n'avait pas changé sa position sur lui puisqu'il sera encore le gardien numéro trois de Monaco et toujours derrière Roma et Sylva. Et son statut de remplaçant du gardien remplaçant ne lui conviendra pas du tout ce qui amènera des grosses tensions avec son entraîneur. Finalement sa saison 03/04 sera complètement blanche avec aucun match de joué ce qui lui vaudra de voir ses coéquipiers atteindre les quarts de finale de la coupe de la Ligue ( perdu 1-0 contre Chäteauroux, futur finaliste ), finir vice-champion de France à une longueur de Lyon ( tout en ayant la meilleure attaque avec 66 buts de marqués ) et surtout disputer la finale de la Ligue des Champions qu'ils perdront 3-0 contre Porto après avoir terminé leader du groupe C lors de la phase de poules ( devant le Deportivo La Corogne, le PSV Eindhoven et AEK Athènes ) et éliminé aux tours suivants le Lokomotiv Moscou, le Real Madrid et Chelsea.

Durant l'été 2004 fatigué de sa situation il demandera à la direction monégasque de résilier la dernière année de contrat qu'il lui restait à l'amiable. Et un mois après avoir quitté la Principauté il rebondira en Corse du côté de l'AC Ajaccio où il retrouvera pour la première fois depuis trois ans un statut de numéro un en Ligue 1. Et là sa première année ajacienne sera satisfaisante avec 38 matchs toutes compétitions confondues ( dont 35 en championnat ) ce qui fera de lui le deuxième acéiste le plus utilisé ex-aequoa vec Rodrigo à une longueur d'Abdelnasser Ouadah. Collectivement malgré des changements d'entraîneur en cours d'année ( Dominique Bijotat, Olivier Pantaloni et Rolland Courbis ) l'ACA terminera à une quatorzième place finale mais avec seulement trois points d'avance sur le premier relégable tout en ayant l'une des plus faibles attaques ( 36 à égalité avec toulouse et Caen et derrière Istres ( 25 ), Bastia ( 32 ) et le duo Metz-Nantes ( 33 ) ).
Malgré un quart de finale en coupe de la Ligue ( perdu 1-0 contre le futur vainqueur de l'épreuve, Nancy ) la saison 05/06 se terminera par une relégation en Ligue 2 acquise par une 18ème place finale à six points du premier relégable tout en ayant la seconde plus mauvaise attaque ( 27 derrière Metz ( 26 ) ) et la troisième défense la plus perméable ( 53 derrière Metz ( 59 ) et Strasbourg ( 56 ) ). A titre personnel l'ancien marseillais sera encore l'un des hommes de base d'Ajaccio en finissant au quatrième rang du classement des joueurs les plus utilisés par les deux coachs ( Courbis puis José Pasqualetti à partir de Janvier 2006 ) avec 34 matchs toutes compétitions confondues ( dont 33 en Ligue 1 ) ex-aequo avec Daouda Jabi et Lucas Pereira et à six unités de Xavier Collin, à cinq de Rodrigo et à quatre de Kamel Chafni.
 
STEPHANE PORATO
Ne voulant pas suivre l'AC Ajaccio en seconde division le colombien decidera de tenter à 33 ans une expérience à l'étranger ce qui l'amènera à aller passer un essai à Chelsea pour essayer de gagner la place de numéro trois du fait que les Blues étaient à la recherche d'un nouveau gardien pour pallier les blessures de Petr Cech et Carlo Cudicini. Finalement son test se soldera par une réponse négative puisque les dirigeants de Chelsea préféreront rappeler le suédois Magnus Hedman pour être la doublure du portugais Hilario le temps des indisponibiltés de Cech et Cudicini.
Alors après son échec anglais il trouvera refuge en Espagne en Novembre 2006 après avoir signé en faveur du Deportivo Alavès qui évoluait en seconde division. Et même en concurrence avec son compatriote Nicolas Ardouin et l'argentin Roberto Bonano il réussira quand même à totaliser 22 matchs de championnat où les Babazorros termineront à une désastreuse 17ème place finale évitant de peu une relégation en D3.
 

L'ancien monégasque restera bien en seconde division espagnole mais ce sera sous la tunique de Xerez où il s'imposera comme numéro un lors de la saison 07/08 en accumulant 34 matchs toutes compétitions confondues dont 32 en championnat.
Après avoir terminé quinzième de la D2 à l'issue de sa première année chez les Azulinos il étoffera son palmarès en 08/09 d'un surprenant titre de champion d'Espagne de D2 ( conquis avec une longueur d'avance sur le duo Real Saragosse-Tenerife ) mais aura perdu sa place de titulaire au profit de sa doublure Chema du fait qu'il n'aura joué qu'une rencontre de championnat et une de coupe nationale.
 
STEPHANE PORATO
Ensuite du fait qu'il ne recevra pas l'offre intéressante pour lui Porato annoncera l'arrêt de sa carrière qui aurait pu être bien meilleure du fait qu'il aurait dû devenir une référence à son poste. Mais le fait qu'il avait été barré par Barthez que ce soit à Monaco et en équipe de France il verra rapidement son nom s'ajouter dans la liste des futurs ex-espoirs pour ne jamais le voir s'effacer. Vraiment dommage.

Sélection : 1

Suite à ses belles prestations avec Marseille en 98/99 Porato se verra récompenser en Novembre 1999 en honorant sa première et unique sélection avec l'équipe de France contre la Croatie en amical ( victoire 3-0 ).
 
STEPHANE PORATO
RECONVERSION :

Dès l'arrêt de sa carrière Porato retournera à Monaco pour s'occuper pendant trois ans des gardiens de but de la section amateure, de l'école de foot à l'équipe C. De 2009 à 2012 il se fera les dents en planifiant et organisant les sessions d'entraînement pour les gardiens tout en étant l'adjoint du coach de l'équipe C de l'ASM en Promotion d'Honneur.

Durant l'été 2012 il resortira les gants pour garder les cages de l'équipe 3 de Monaco,qui évoluait en Pomotion Honneur B, où il aura comme partenaire un certain Jan Koller.

A l'issue de la saison 12/13 il sera même appelé en équipe de France de football de plage par le sélectionneur Stéphane Franois.

Ensuite lors des derniers six mois de la saison 13/14 il s'occupera des U15 de Monaco qui étaient en difficulté et réussira à les sauver.

De Juillet à Décembre il s'exilera en Arabie Saoudite pour être l'adjoint du coach Laurent Banide au sein du club d'Al-Orobah.

Après son petit séjour en Arabie il reviendra en Principauté pour s'occuper à nouveau des équipes de jeunes voire amateures.

N.B :

En 2012 il fera également parlé de lui dans la rubrique des faits divers lorsqu'il sera reconnu coupable d'abandon de famille et condamné à deux mois de prison avec sursis et à 19 200 euros de pension à payer à son ex-femme pour l'entretien et l'éducation de leur fille majeure.

PALMARES :

-1997 : Champion de France ( Monaco ).
-1999 : Finaliste de la coupe UEFA ( Marseille ).
-2001 : Finaliste de la coupe de la Ligue ( Monaco ).
-2009 : Champion d'Espagne de D2 ( Xerez ).

BILAN DE CARRIERE :

-1991 à 1993 : Toulon ( France ) 2 matchs joués.
-1993 à 1998 : Monaco ( France ) 19 matchs joués.
-1998 à 2000 : Marseille ( France ) 59 matchs joués.
-2000 à 2002 : Monaco ( France ) 37 matchs joués.
-2002 à 2003 : Créteil ( France ) 26 matchs joués.
-2003 à 2004 : Monaco ( France ) 0 match joué.
-2004 à 2006 : AC Ajaccio ( France ) 68 matchs joués.
-2006 à Nov 2006 : Sans club.
-Nov 2006 à 2007 : Alavès ( Espagne ) 22 matchs joués.
-2007 à 2009 : Xerez ( Espagne ) 33 matchs joués.
 
 
 


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#Posté le mardi 14 avril 2020 11:09

Modifié le mardi 14 avril 2020 11:26

RONAN LE CROM

 
La carrière professionnelle de Ronan Le Crom durera 17 années mais ce sera plus dans la peau d'une doublure car il ne réalisera que quatre saisons complètes en tant que titulaire indiscutable en Ligue 1 ( deux avec Guingamp et deux avec Troyes ). Et avec un temps de jeu faiblard sur toute la durée de sa carrière il étoffera tout de même son palmarès d'un titre de champion de France de Ligue 2 avec Châteauroux et un autre de Ligue 1 avec le PSG. Lors de sa dernière année pro il ne jouera qu'une seule rencontre sous la tunique parisienne mais cela ne se passera pas trop bien puisqu'il se fera expulser après seulement vingt minutes sur le terrain pour une faute dans la surface.
 
RONAN LE CROM
Ronan Le Crom est né en 1974 à Lorient dans le Morbihan. Passionné de ballon rond il débutera dans le football à l'âge de sept ans au sein de l'US Goéland, club de Larmor-Plage où il apprendra les premiers rudiments footballistiques pour devenir un ailier droit. Mais en parallèle du ballon rond il pratiquera également d'autres sports comme par exemple le volley-ball qui lui permettra de développer ses réflexes, sa détente et son adresse avec la balle qui lui seront très utiles dans le futur lorsqu'il choisira de se reconvertir au poste de gardien de but.
A dix ans il rejoindra le club de sa commune natale où après deux ans de présence il se repositionnera dans les buts ce qui l'amènera à apprendre à arrêter les buts alors que jusqu'ici il avait été formé pour en marquer. Et à son nouveau poste il tirera rapidement son épingle du jeu grâce aux qualités qu'il avait acquis en pratiquant le volley-ball. A préciser qu'il avait voulu être gardien du fait qu'il voulait essayer d'égaler un jour ses idoles qu'étaient Joël Bats et Rinat Dassaev. Il gravira les échelons des étapes des jeunes Merlus jusqu'à ses seize ans date à laquelle il se fera remarquer par les recruteurs de l'AJ Auxerre lors d'un tournoi disputé à Saint-Brieuc en 1990. Et là à seize ans il saisira cette opportunité d'intégrer un centre de formation d'un club professionnel afin d'essayer d'atteindre le doux rêve de tout jeune footballeur c'est-à-dire de devenir joueur pro. Et là il poursuivra son apprentissage de dernier rempart tout en intégrant dès sa première année la réserve auxerroise où il va cotoyer de nombreux futurs grands joueurs de l'AJA comme Fabien Cool, Alain Goma, Laurent Ciechelski, Franck Rabarivony et Didier Otokoré pour ne citer qu'eux. De 1990 à 1992 il sera bien présent en équipe B mais ne jouera aucune rencontre avec du fait qu'il était cantonné dans le rôle de doublure du titulaire qu'était Fabien Cool. Il devra attendre la mi-Décembre 1992 pour disputer son tout premier match avec la réserve icaunaise au sein du championnat de troisième division contre l'équipe B de Saint-Etienne ( victoire 1-0 ). Finalement les quelques rencontres qu'il jouera en D3 lui permettront de prendre part à la première place finale acquise dans le groupe Centre avec neuf points d'avance sur le duo Chatellerault-Nevers  tout en ayant les meilleures attaques ( 65 ) et défenses ( 13 ex-aequo avec Grenoble ) de toute la division.
Et il vivra même une superbe fin de saison 92/93 puisqu'il inscrira sa toute première ligne à son palmarès après l'acquisition de la coupe Gambardella aux dépens du RC Lens sur le score de 1-0.
Ensuite il travaillera dur mais sans jamais réussir à atteindre l'équipe première car il faut dire que son entraîneur emblématique Guy Roux possédait l'un des meilleurs gardiens du championnat de France en la personne de Lionel Charbonnier et une très bonne doublure avec Fabien Cool tout en précisant que lorsque ce dernier sera prêté à Gueugnon pour la saison 93/94 Roux préférera nommer Sébastien Renaud comme numéro deux derrière Charbonnier. Alors de 1993 à 1996 il se contentera d'évoluer en réserve ajaïste avec laquelle il finira leader du groupe D du National 2 93/94 ( avec six points d'avance sur Troyes tout en ayant les meilleures attaques ( 87 ) et défenses ( 19 ) ), leader du groupe C en 94/95 ( avec trois points d'avance sur l'équipe B de Lyon tout en ayant la meilleure défense avec 17 buts d'encaissés ) et leader du groupe C en 95/96 avec neuf points d'avance sur Saint-Priest avant de s'adjuger le titre de champion de France de la division.
Finalement même en ayant été formé dans l'un des clubs qui étaient réputés pour sortir des gardiens de grande qualité tels que Joël Bats, Bruno Martini et Lionel Charbonnier lelorientais n'aura jamais l'opportunité de prouver qu'il avait bel et bien le potentiel pour s'imposer dans l'effectif professionnel de l'AJ Auxerre même si ce n'était qu'en numéro deux. A préciser que durant la saison 94/95 il avait été en concurrence avec Cool au mois de Mars 1995 pour être la doublure de Charbonnier mais malheureusement il jouera de malchance puisqu'il se blessera mettant fin à cette occasion de s'asseoir sur les bancs de touche de l'élite française.
A notifier également que depuis son arrivée dans l'Yonne en plus de gravir les étapes au sein du club auxerrois le morbihanais sera l'un des témoins privilégiés pour voir l'équipe première remporter le championnat de France 1996 et deux coupes de France en 1994 et 1996 tout en atteignant les demi-finales de la coupe UEFA en 1993 et les quarts de la coupe des Coupes en 1995.

Et du fait qu'il voulait vraiment lancer sa carrière professionnelle il demandera aux dirigeants d'Auxerre d'être prêté pour la saison 96/97 ce qui l'amènera à atterrir à Châteauroux qui évoluait en Ligue 2. Et là il n'arrivera pas en Indre en étant sûr d'étre titulaire dans les buts castelroussins puisque le coach Victor Zvunka préférait utiliser Frédéric Guéguen, présent au club depuis une saison. Alors son prêt berrichon le verra quand même disputer ses premières rencontres professionnelles puisque le coach Zvunka fera tout de même appel à lui à 17 reprises pendant le championnat de seconde division. Et ses statistiques lui permettront de voir son nom comme tous ceux de ses coéquipiers ( Jean-Claude Fernandes, Nicolas Baudoin, Ferdinand Coly, Nicolas Weber, Raouf Bouzaiene, Pierre Chavrondier, Laurent Debrosse, David Le Frapper, Yann Lachuer, Laurent Dufresne et Jason Mayélé entre autres ) au titre de champion de France de Ligue 2 conquis avec une longueur d'avance sur Toulouse tout en ayant la deuxième attaque la plus prolifique ( 54 à égalité avec Martigues, Gueugnon et Sochaux ) et la défense la plus imperméable avec seulement 27 buts d'encaissés.
 
RONAN LE CROM
Et même avec une expérience assez correcte le lorientais n'aura même l'honneur de découvrir l'élite avec Châteauroux du fait qu'il retournera à Auxerre durant l'été 1997 mais à peine revenu il repartira illico-presto en prêt qui se déroulera cette fois-ci du côté de l'ASOA Valence évoluant aussi en Ligue 2. Mais son expérience valentinoise se déroulera comme à Châteauroux puisque l'entraîneur drômois, Léonce Lavagne, partira dès le départ de la saison 97/98 avec l'expérimenté Vincent Yazmadjian comme titulaire au poste de gardien de but. Mais comme à la Berrichonne il aura sa chance de prouver ses qualités ce qui l'amènera à accumuler 18 matchs toutes compétitions confondues dont 17 en championnat. Et ce temps de jeu lui vaudra de participer au beau parcours de Valence en Ligue 2 validé par une septième place finale avec huit points de retard sur le podium synonyme d'accession à l'étage supérieur.

Après deux ans de prêt il reviendra à Auxerre pendant l'été 1998 et deviendra la doublure de Cool qui venait de récupérer la place de titulaire dans les cages icaunaises après le départ de Charbonnier aux Glasgow Rangers. Mais Cool ne lui laissera aucune miette ce qui l'amènera de voir du banc de touche ses coéquipiers se faire sortir dès le troisième tour de l'Intertoto ( défaite 2-1 score cumulé contre l'Espanyol Barcelone ( 1-1 à domicile et défaite 1-0 en Espagne ) ), atteindre les quarts de finale de la coupe de la Ligue ( perdu 1-0 contre Sochaux et terminer à une laborieuse quatorzième place finale acquise à deux points du premièr relégable. Alors après s'être assis comme doublure sur les pelouses de la Ligue 1 le morbihanais gardera les cages de la réserve de l'AJA en CFA où cette dernière finira première du groupe A ( avec 31 points d'avance sur Besanon tout en ayant les meilleures attaques ( 75 ) et défenses ( 18 ) ) puis remportera la phase finale des réserves.
La saison 99/00 sera identique de la précédente mais réussira quand même à disputer sa toute première rencontre au sein de l'élite française lors d'une suspension ou d'une blessure de Cool. Et ce petit temps de jeu lui vaudra quand même de prendre part à la huitième place finale avec un repêchage en coupe Intertoto après le refus de Saint-Etienne, sixième, de participer à cette compétition. En parallèle de son statut de doublure en Ligue 1 il sera toujours goal dans l'équipe réserve avec laquelle il terminera une nouvelle fois première du groupe A de la CFA avec cinq points d'avance sur Dijon tout en ayant les meilleures attaques ( 76 ) et défenses ( 32 ).
Suite au départ à la retraite de Roux ce sera Daniel Rolland qui prendra sa succession et là le nouvel entraîneur ajaïste lui donnera un peu de temps de jeu même si ce ne sera pas trop abondant du fait qu'il ne totalisera que sept matchs toutes compétitions confondues ( un en Ligue 1, quatre en coupe de France et deux en Intertoto ). Ses statistiques enregistrées lui vaudront de participer au parcours jusqu'à la finale de l'Intertoto ( perdue 3-1 score cumulé contre le VFB Stuttgart ( défaite 2-0 à domicile et 1-1 en Allemagne ) ), à celui jusqu'en quarts de la coupe de France ( perdu 4-1 après prolongations contre Nantes ) et à une piètre treizième place finale acquise en Ligue 1 à quatre points du premier relégable ( tout en ayant l'une des plus faibles attaques ( 31 ex-aequo avec Marseille derrière Strasbourg ( 28 ) ). A préciser tout de même que l'ancien castelroussin sera encore le dernier rempart de la réserve avec laquelle il finira cette fois-ci au troisième rang du groupe D de la CFA à 17 points de Lusitanos Saint-Maur et à neuf de Cherbourg.
Après une année d'absence Roux reviendra aux commandes de l'AJA et dès son retour il fera savoir à Le Crom qu'il fera comme à son habitude en faisant jouer tous les matchs à son gardien titulaire alors que le second restera assis sur le banc de touche pour regarder. Et là cette déclaration le mettra en colère mais ne dira rien pour le bien de l'équipe. Alors il ne se contentera que d'une rencontre de championnat ce qui lui vaudra de prendre part à la qualification pour le tour préliminaire de la Ligue des Champions acquise par une troisième place finale à sept points de Lyon et à cinq d'Auxerre. Et à part ce match en Ligue 1 sa saison 01/02 se passera essentiellement en CFA où avec ses équipiers de la réserve il terminera à la première place du groupe D avec une longueur d'avance sur Cherbourg tout en ayant la meilleure attaque avec 64 buts d'inscrits.
 
RONAN LE CROM
En 2002 le lorientais décidera à 28 ans de quitter Auxerre pour de bon car à l'âge qu'il avait il n'avait joué que 44 matchs professionnels dont neuf avec l'AJA et il voulait vraiment lancer sa carrière. Et il n'attendra pas longtemps pour recevoir un coup de téléphone du nouvel entraîneur de l'En Avant Guingamp, Bertrand Marchand, du fait que ce dernier voulait le morbihanais comme numéro un pour la saison 02/03. Faut dire que Marchand avait été subjugué par celui qui gardait les cages de la réserve d'Auxerre lors d'une rencontre en CFA contre l'équipe B de Rennes dont il était le coach. Alors comme c'était l'occasion qu'il attendait depuis si longtemps il ne réfléchira pas à deux fois pour repartir en Bretagne afin d'essayer de s'imposer au sein du club costarmoricain. Et là il débutera le championnat de Ligue 1 en tant que titulaire et en réalisant des prestations de plus en plus satisfaisantes il ne ratera aucune journée jusqu'à la fin de la saison 02/03. A préciser que pour sa toute première année complète en tant que numéro un il encaissera 46 buts ce qui fera de l'EAG la huitième défense la plus perméable derrière Sedan ( 59 ), le duo Strasbourg-Montpellier ( 54 ), AC Ajaccio ( 49 ), le duo Bastia-Troyes ( 48 ) et Le Havre ( 47 ). Et en ajoutant à ses statistiques enregistrées en championnat les trois matchs qu'il jouera en coupe de France et les deux en coupe de la Ligue il terminera comme le guingampais le plus utilisé avec 43 matchs toutes compétitions confondues en devançant de deux unités le duo Stéphane Carnot-Florent Malouda. Et collectivement le club costarmoricain réalisera un exercice hexagonal de toute beauté puisqu'il finira au septième rang de l'élite à six points du titre de champion de France, à trois du toutr préliminaire de la Ligue des Champions et à deux de la coupe UEFA ce qui l'amènera à ne se contenter que d'une qualification pour l'Intertoto.
Par contre la saison 03/04 ne sera pas aussi belle que la précédente du fait que l'EAG sera relégué en Ligue 2 suite à sa 18ème place finale acquise à une longueur du premier non relégable tout en ayant l'une des plus faibles attaques ( 36 derrière Toulouse ( 31 ), les duos AC Ajaccio-Bastia ( 33 ) et Lens-Metz ( 34 ) et Le Mans ( 35 ) ) et la seconde défense la plus perméable avec 58 buts d'encaissés derrière Montpellier ( 74 ). A titre personnel l'ancien auxerrois confirmera son statut de titulaire indiscutable en finissant pour la seconde année consécutive comme le joueur le plus utilisé par le coach Marchand avec cette fois-ci 42 matchs toutes compétitions confondues avc encore aucune absence en championnat.
 
RONAN LE CROM
N.B :

A préciser que ses deux bonnes années guingampaises seront remarquées par le sélectionneur de l'équipe de France, Jacques Santini, qui le présélectionnera dans la liste des 38 joueurs pour l'Euro 2004 mais finalement il n'ira pas au Portugal du fait que Santini prendra Fabien Barthez, Grégory Coupet et Mickaël Landreau pour être les trois gardiens des Bleus pour disputer le tournoi.

Il était partant pour suivre Guingamp en Ligue 2 mais reviendra sur sa décision lorsqu'il apprendra que les dirigeants costarmoricains avaient recruté Thierry Debès pour en faire le gardien numéro un. Alors il fera savoir à la direction de l'EAG qu'il quitterait les Côtes-d'Armor s'il recevait des propositions intéressantes. Finalement l'opportunité qu'il attendait viendra de l'AS Saint-Etienne, tout frais promu en Ligue 1, sous forme de prêt mais ce sera pour être la doublure de Jérémie Janot. Son aventure dans le Forez se soldera avec une seule rencontre de disputée en Janvier 2005 lors des 32ème de finale de la coupe de France contre Nîmes mais il ratera complètement son match au point que les Verts perdront 3-2 après avoir mené 2-0. Alors ce sera du banc de touche qu'il verra ses coéquipiers atteindre les demi-finales de la coupe de la Ligue ( perdue 1-0 contre Strasbourg, futur vainqueur de l'épreuve ) et surtout terminer à une surprenante sixième place finale acquise en championnat à dix points du tour préliminaire de la Ligue des Champions et à deux de la coupe UEFA ce qui les amènera à ne se contenter que de l'Intertoto.

Durant l'été 2005 il sera de nouveau prêté pour la saison 05/06 chez un promu de l'élite et cette fois-ci ce sera à Troyes tout en sachant que l'entraîneur troyen, Jean-Marc Furlan, voulait faire de lui son gardien titulaire pour la saison 05/06. Et là il réalisera une année pleine avec quarante matchs toutes compétitions confondues ( avec aucune absence en championnat ) faisant ainsi de lui le joueur le plus utilisé à égalité avec Benjamin Nivet. Pour sa troisième année en tant que titulaire il encaissera 47 buts ce qui amènera l'ESTAC à finir comme la cinquième défense la plus perméable à égalité avec Sochaux et Toulouse derrière Metz ( 59 ), Strasbourg ( 56 ), AC Ajacio ( 53 ) et Rennes ( 49 ). Collectivement le promu aubois atteindra son objectif de se maintenir parmi l'élite en terminant 17ème avec six points de retard sur le premier relégable.
Par contre la saison 06/07 se terminera mal puisque l'ESTAC sera relégué en Ligue 2 suite à sa 18ème place finale acquise avec quatre longueurs de retard sur le premier non relégable tout en ayant la seconde défense la plus perméable avec 54 buts d'encaissés derrière Sedan ( 58 ). A titre personnel l'ancien Vert sera encore l'un des hommes de base du coach Furlan en accumulant 36 matchs toutes compétitions confondues ( dont 35 en Ligue 1 ) ce qui fera de lui le deuxième troyen le plus utilisé à trois unités de Yann Lachuer.
 
RONAN LE CROM
Libre de tout contrat durant l'été 2007 il recevra un coup de fil de son ancien entraîneur d'Auxerre, Guy Roux, qui venait de s'engager avec le RC Lens et qui cherchait une doublure pour Vedran Runje. Et au départ il n'était pas trop chaud pour retravailler avec Roux ce qui l'amènera à demander à son agent de chercher une autre opportunité. Mais début Juillet 2007 il n'avait toujours rien de concret et comme c'était le moment de s'inscrire à Pôle Emploi il reviendra sur sa décision en signant rapidement à Lens tout en précisant que deux heures après son engagement avec les Sangs et Ors il apprendra que le FC Lorient le voulait. Finalement sa relation avec Roux sera plus calme mais ils ne bosseront pas longtemps ensemble puisqu'à la fin Août 2007 l'ancien entraîneur auxerrois décidera de démissionner après un début de championnat laborieux. Et ce sera sous les ordres de Jean-Pierre Papin qu'il totalisera six matchs toutes compétitions confondues avec une en coupe de France et cinq en coupe de la Ligue où il jouera même la finale que lui et ses partenaires perdront 2-1 contre le PSG. Par contre il ne jouera aucune minute en Ligue 1 où ce sera du banc de touche qu'il verra ses coéquipiers être relégués à l'étage inférieur suite à sa 18ème place finale acquise à deux points du premier non relégable tout en ayant l'une des plus faibles défenses ( 52 ex-aequo avec Auxerre derrière Metz ( 64 ), Strasbourg ( 55 ) et Caen ( 53 ) ).
 
RONAN LE CROM
Pendant l'intersaison de 2008 le lorientais refera son baluchon pour rallier l'Isère afin de s'engager à Grenoble, tout frais promu en Ligue 1, pour y être la doublure de Grégory Wimbée. Alors sa saison 08/09 se soldera avec seulement un match de championnat et cinq en coupe de France ce qui lui vaudra de participer au maintien acquis par une treizième place finale en Ligue 1 ( à sept points du premier relégable tout en ayant la plus mauvaise attaque avec 24 buts d'inscrits ) et au parcours jusqu'en demi-finales de la coupe de France que le GF38 perdra 1-0 contre Rennes.
Lorsqu'il avait signé à Grenoble c'était prévu que Wimbée fasse la première année et que l'ancien ajaïste récupère sa place pour la saison 09/10. Mais pendant l'été 2009 il apprendra dans la presse que le club isérois était entré en contact avec Grégory Coupet ce qui l'amènera à aller voir Mécha Bazdarevic qui fera le surpis d'apprendre cette information. Finalement Coupet ne viendra pas mais Grenoble fera signer le stéphanois Jody Viviani. Malgré cela l'ancien lensois décidera de rester en Isère afin d'honorer son contrat même si c'était dans le rôle de doublure. Et suite aux choix de Bazdarevic, certains ne lui plairont pas, il jouera en alternance avec Viviani ce qui l'amènera à toaliser 19 rencontres toutes compétitions confondues donze seize en Ligue 1. Et même en jouant peu il finira quand même au treizième rang du classement des isérois les plus utilisés derrière Nassim Akrour ( 41 ), Danijel Ljuboja ( 37 ), Laurent Battles ( 36 ), Nicolas Dieuze ( 34 ), Daisuke Matsui ( 32 ), Alaixys Romao ( 31 ), le duo David Sauget-Laurent Courtois ( 28 ) Jean Calvé ( 26 ), Bostjan Cesar ( 25 ), Jody Viviani ( 21 ) et Jimmy Juan ( 20 ). Collectivement le championnat de France sera un vrai caucheamrd au point de terminer bon dernier avec seulement 23 points ( 5 victoires, 8 nuls et 25 défaites ) tout en ayant l'une des plus faibles attaques ( 31 ex-aequo avec Boulogne derrière Saint-Etienne ( 27 ) et Sochaux ( 28 ) ).
 
RONAN LE CROM
Libre de tout contrat durant l'été 2010 le morbihanais de 36 ans se maintiendra en forme un temps à Troyes et un autre à Lorient mais sans avoir aucune offre ce qui l'amènera à être sans club pendant la premièr epartie de la saison 10/11. Il faudra qu'il attende le mois de Décembre 2010 pour recevoir un coup de téléphone de son agent Fabrice Picot du fait que l'AS Nancy-Lorraine cherchait une doublure pour Damien Grégorini après la blessure de Gennaro Bracigliano. Alors il débarquera en Lorraine avec un contrat de six mois à la clé mais ce dernier prendra effet à parir du 01 Janvier 2011 date d'ouverture du mercato hivernal. Son passage nancéien se soldera avec aucune rencontre de jouée ce qui lui vaudra de voir du banc de touche ses collègues terminer à une treizième place finale à quatre points du premier relégable et à huit d'une qualification européenne tout en ayant l'une des plus faibles défenses ( 48 ex-aequo avec Lorient et Nice derrière Arles-Avignon ( 70 ), Lens ( 58 ) et Caen ( 51 ) ).

Sans club pendant l'été 2011 il ira s'entraîner avec le PSG du fait que son entraîneur Antoine Kombouaré souhaitait préparer la saison 11/12 avec un troisième gardien afin d'accompagner Nicolas Douchez et Alphonse Areola. Il sera même retenu dans le groupe parisien pour les matchs amicaux face à Innsbruck et la Roma suite à la blessure du numéro un qu'était Douchez. Cette préparation estivale n'aboutira à rien puisqu'entre-temps les dirigeants du PSG recruteront l'italien Salvatore Sirigu comme numéro un ce qui amènera Douchez à passer numéro deux et Areola numéro trois.
En Octobre 2011 Nîmes, club de National, lui proposera une opportunité de retouver les joies du terrain mais l'ancien troyen mettra son veto à cette dernière.
Au début du mois de Janvier 2012 le PSG se souviendra de lui car le nouvel entraîneur parisien en la personne de Carlo Ancelotti cherchait un troisième gardien du fait que pour lui Areola était trop jeune pour être un numéro trois. Alors il signera un contrat de six mois avec le PSG mais ne jouera aucune minute jusqu'à la fin de la saison 11/12 ce qui lui vaudra de voir comme spectateur ses coéquipiers terminer troisièmes du groupe F lors de la phase de poules de la Ligue Europa ( derrière l'Athletic Bilbao et le Red Bull Salzbourg ), atteindre les quarts de finale de la coupe de France ( perdu 3-1 contre Lyon, futur vainqueur de l'épreuve ) et terminer vice-champions de France à trois points de Montpellier ( tout en ayant la meilleure attaque avec 75 buts de marqués ).
Son contrat sera prolongé pour la saison 12/13 ce qui l'amènera à disputer les rencontres amicales durant l'été 2012 mais en compétition officielle il ne jouera qu'une rencontre de championnat lors de la 38ème et dernière journée. Et là ça ne se passera pas trop bien pour lui car après avoir remplacé Areola à la 61ème minute il se fera expulser 22 minutes plus tard pour une faute dans la surface. Mais ses quelques minutes de jouées lui permettront de voir son nom associé à tous ceux de ses équipiers au titre de champion de France conquis avec douze points d'avance sur Marseille tout en ayant les meilleures attaques ( 69 ) et défenses ( 23 ). Les autres compétitions que disputera le PSG ce sera comme spectateur qu'ils verra ses coéquipiers atteindre les quarts de finale de la coupe de la Ligue ( perdu aux tirs aux buts contre l'ASSE, futur vainqueur de l'épreuve, après un 0-0 final après prolongations ), les quarts de la coupe de France ( perdu aussi aux tirs aux buts et cette fois-ci contre Evian Thonon Gaillard, futur finaliste, après un 1-1 final après prolongations ) et les quarts de la Ligue des Champions ( perdu à cause de la règle des buts inscrits à l'extérieur contre Barcelone après un 3-3 score cumulé ( 2-2 à domicile et 1-1 en Catalogne ) ).
Et ce sera sur ce titre de champion de France que Le Crom décidera de mettre un terme à pratiquement 39 ans à sa carrière qui aura été longue mais pas du tout régulière car en 17 années de professionnalisme il n'aura à son actif que quatre saisons pleines.

RECONVERSION :

Un an après l'arrêt de sa carrière Le Crom rencontrera les frères Cantona ( Eric et Joël ) qui lui proposeront d'intégrer l'équipe de France de football de plage. Alors très curieux il décidera de porter la tunique des Bleus de Beach-Soccer et sera tout fier d'avoir le maillot tricolore sur ses épaules car c'était un gros regret de sa carrière de n'avoir pas intégré l'équipe de France A même s'il avait été présélectionné en 2004 par Jacques Santini lorsqu'il évoluait à Guingamp.

Ensuite il deviendra commercial à Euro Sports Assur au sein de l'UNFP qui était un cabinet d'assurance proposant des assurances spécialisées aux footballeurs professionnels.
 
RONAN LE CROM
PALMARES :

-1997 : Champion de France de Ligue 2 ( Châteauroux ).
-2008 : Finaliste de la coupe de la Ligue ( Lens ).
-2013 : Champion de France ( PSG ).

BILAN DE CARRIERE :

-1990 à 1996 : Auxerre ( France ) 0 match joué.
-1996 à 1997 : Châteauroux ( France ) 17 matchs joués.
-1997 à 1998 : Valence ( France ) 17 matchs joués.
-1998 à 2002 : Auxerre ( France ) 3 matchs joués.
-2002 à 2004 : Guingamp ( France ) 76 matchs joués.
-2004 à 2005 : Saint-Etienne ( France ) 0 match joué.
-2005 à 2007 : Troyes ( France ) 73 matchs joués.
-2007 à 2008 : Lens ( France ) 0 match joué.
-2008 à 2010 : Grenoble ( France ) 17 matchs joués.
-2010 à Janv 2011 : Sans club.
-Janv 2011 à 2011 : Nancy ( France ) 0 match joué.
-2011 à Janv 2012 : Sans club.
-Janv 2012 à 2013 : PSG ( France ) 1 match joué.
 
 
 
 


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#Posté le samedi 11 avril 2020 09:21

NICOLAS DIEUZE

 
Nicolas Dieuze débutera sa carrière professionnelle à Toulouse comme attaquant et après une expérience de deux saisons à Bastia il se repositionnera comme milieu défensif car comme joueur offensif il lui manquait de vitesse et surtout avait trop de générosité. Et ce changement de poste reboostera sa carrière au point de devenir un titulaire indiscutable au Téfécé, au Havre puis à Grenoble. Et après avoir failli partir évoluer aux Etats-Unis il restera une année sans jouer avant de vivre une belle aventure avec un club du National, Luzenac, avec lequel il vivra une montée en Ligue 2 mais la DNCG mettra son veto pour l'accession à cause d'un budget trop faible pour évoluer à ce niveau.
 
NICOLAS DIEUZE
Nicolas Dieuze est né en 1979 à Albi dans le Tarn. Passionné de ballon rond il prendra très jeune sa première licence de jeune footeux au sein du club de sa commune natale où il apprendra tous les rudiments footballistiques pour devenir un bon attaquant il gravira tous les échelons des équipes des jeunes albigeois tout en intégrant les sélections départementales et régionales. Et lors de la saison 93/94 il se fera remarquer par quelques recruteurs de clubs professionnels et là à quinze ans le jeune tarnais ne réfléchira pas longtemps pour rejoindre une équipe pro car une telle opportunité n'arriverait peut-être une seconde fois. Finalement il jettera son dévolu sur Toulouse du fait que ce n'était pas trop éloigné de son domicile familial et que le club haut-garonnais avait une bonne réputation pour lancer la carrière de ses jeunes très prometteurs comme il l'avait fait auparavant avec Fabien Barthez, Anthony Bancarel, Dominique Arribagé, Laurent Battles, Michel Pavon et Laurent Battles pour ne citer qu'eux. Alors il poursuivra sa formation offensive tout en évoluant avec les équipes des jeunes toulousains avant d'intégrer trois ans après son arrivée la réserve du Téfécé au sein de laquelle il allait cotoyer des futurs pros comme Lamine Diatta, Mamadou Seck, Fabrice Jau, Nicolas Seube, Mehdi Nafti, Christophe Avezac et Fabien Audard pour ne citer qu'eux. Et après s'être fait les dents durant deux saisons en équipe ses qaulités convaincront l'entraîneur de l'équipe première, Alain Giresse, de l'intégrer au groupe professionnel pendant la saison 99/00 ce qui amènera le tarnais de pratiquement vingt ans à s'entraîner avec des joueurs expérimentés tels qu'Alain Gouaméné, Thorsten Walther, William Prunier, José Manuel Galdames, Yannick Rott, Louis Gomis, Derek Mcinnes, Thierry Moreau, Ronnie Ekelund, Marc Libbra, Vladimir Petrovic, Samuel Ipoua et Ahmed Maharzi entre autres. Et avec des concurrents comme Libbra, Petrovic, Ipoua et Maharzi pour composer l'attaque toulousaine il savait que ça serait difficile pour lui d'engranger un temps assez conséquent jusqu'à la fin de la saison 99/00. Finalement Giresse le lancera dans le grand bain du professionnalisme en faisant appel à lui à deux reprises dans le championnat de France de Ligue 2 ce qui lui permettra de prendre part à l'accession à l'étage supérieur acquise par une troisième place finale avec vingt points de retard sur Lille et quatre de Guingamp tout en ayant la seconde défense la plus imperméable avec 31 buts d'encaissés à six unités du LOSC.
La situation de l'albigeois changera en Octobre 2000 lorsque Robert Nouzaret deviendra le nouvel entraîneur du Téfécé en lieu et place de Giresse. Car dès son arrivée Nouzaret fera entièrement confiance au jeune attaquant de 21 ans du fait que ce dernier lui faisait penser à Fabrice Divert qu'il avait cotoyé à Caen et Montpellier lorsqu'il coachait ces deux clubs. Et en étant associé au colombien Victor Bonilla il accumulera 23 matchs toutes compétitions confondues ( dont 22 en Ligue 1 ) faisant ainsi le onzième toulousain le plus utilisé derrière Bonilla ( 36 ), les duos Christophe Revault-Cédric Uras ( 32 ), Prunier-Jean-Christophe Rouvière ( 31 ) et Bruno Carotti-Alfredo Cascini ( 30 ), Thierry Moreau ( 28 ), Dianbobo Baldé ( 25 ) et Laurent Courtois ( 24 ) tout en précisant que son temps de jeu amènera les départs d'Ipoua ( Novembre 2000 ), Petrovic ( Janvier 2001 ) et Libbra ( Février 2000 ) en cours d'année. Et pour une première année complète il finira comme le deuxième meilleur buteur avec six buts d'inscrits en championnat derrière Bonilla ( 15 ). Collectivement le promu haut-garonnais ne réussira pas à garder sa place parmi l'élite du fait qu'il terminera seizième comme premier relégable à trois points du maintien ( tout en ayant l'une des plus mauvaises attaques ( 34 derrière Strasbourg ( 28 ), le duo Auxerre-Marseille ( 31 ) et Metz ( 35 ) ) et défenses ( 49 derrière Strasbourg ( 61 ), Saint-Etienne ( 56 ) et Monaco ( 50 ) ) mais le pire arrivera quelques semaines plus tard lorsque la DNCG reléguera le Téfécé administrativement en National suite à un déficit de 70 millions de francs.
 
NICOLAS DIEUZE
 
Suite à la descente de Toulouse au troisième échelon du football français le tarnais se retrouvera libre comme l'air durant l'été 2001 ce qui lui vaudra de nombreuses offres de clubs de Ligue 1. Alors au départ il ne voulait pas trop quitter son club formateur puisqu'il pensait qu'il avait encore beaucoup de choses à apprendre mais le fait d'évoluer en National pour la saison 01/02 ne lui plaisait pas trop. Finalement il continuera son ascencion footballistique en Ligue 1 puisqu'il jettera son dévolu sur le SC Bastia où il allait retravailler avec son ancien coach de Toulouse, Robert Nouzaret. Mais son début d'aventure sur l'Ile de Beauté ne sera pas du tout facile car son transfert au Sporting avait été acté pour compenser les départs de Frédéric Née et Pierre-Yves André mais très rapidement les supporters bastiais verront que l'ancien toulousain n'avaient pas du tout les mêmes qualités de l'ancien duo d'attaquants qui avaient marqué pratiquement les 3/4 des buts corses pendant leur association. Alors suite à ses critiques l'albiégeois commencera à douter mais malgré cela il gardera toute la confiance de Nouzaret au point qu'il réalisera une saison 01/02 pleine avec quarante matchs toutes compétitions confondues ( dont trente en Ligue 1 ) ce qui fera de lui le joueur le plus utilisé devançant d'une longueur le duo Cyril Jeunechamp-Tony Vairelles et de deux Patrick Beneforti. Et du fait qu'il n'inscrira que deux buts en championnat et un en coupe de la Ligue les dirigeants du SCB termineront par reprocher à Nouzaret d'avoir fait trop jouer l'ancien toulousain alors qu'à leurs yeux il était trop improductif. Et là l'entraîneur bastiais répobdra à ses dirigeants que si Vairelles avait marqué autant debuts ( 19 ) durant toute la saison le travail de Dieuze n'y était nullement étranger. Collectivement sa première année insulaire lui permettra de découvrir les joutes européennes en disputant l'Intertoto mais le Sporting n'ira pas plus loin que le second tour suite à sa défaite 2-0 score cumulé contre Slaven Belupo ( deux défaites par 1-0 ). Et au sein des compétitions domestiques le SCB réalisera une année correcte avec un quart de finale de la coupe de la Ligue ( perdu 1-0 contre Lorient, futur finaliste ), une finale de coupe de France perdue 1-0 contre Lorient et une onzième place finale acquise en Ligue 1 à huit points du premier relégable et à cinq d'une qualification pour l'Intertoto tout en ayant l'une des plus faibles défenses ( 44 derrière Lorient ( 64 ), Guingamp ( 57 ), Rennes ( 51 ) et Metz ( 47 ) ).
 
NICOLAS DIEUZE
Alors que Bastia avait récolté des très bons résultats ses dirigeants décideront de débarquer Nouzaret pour donner les clés de son équipe à Gérard Gili. Et là le nouveau coach bastiais fera comprendre au tarnais qu'il ne compterait pas du tout sur lui pour composer son attaque du fait qu'il possédait deux attaquants de grande expérience tels que Florian Maurice et Lilian Laslandes. Alors jusqu'à la trêve hivernale il ne jouera que les utilités ce qui l'amènera à ne totaliser que six présences sur les feuilles de matchs de la Ligue 1.
Et durant les vacances d'hiver il recevra une proposition de Toulouse, qui était promu en Ligue 2 après une année passée en National, afin qu'il vienne donner un coup de pouce pour accéder à la Ligue 1. Et pour lui c'était une énorme bouffée d'oxygène ce qui l'amènera à demander au Sporting de le prêter à son club formateur jusqu'à la fin de la saison 02/03. Alors qu'il lui restait trois ans et demi de contrat avec le SCB il fera l'objet d'un prêt de six mois avec une option d'achat à l'issue de ce dernier. Et là sous les ordres d'Erick Mombaerts il accumulera du temps de jeu avec seize rencontres toutes compétitions confondues ( dont quatorze en Ligue 2 avec un but de marqué ) mais sans être un titulaire indiscutable du fait qu'il avait beaucoup de mal à retrouver du rythme selon son coach. Et même si ses prestations avaient été assez compliquées il prendra part tout de même au titre de champion de France de Ligue 2 et surtout à l'accession au plus haut niveau français, deux ans après la relégation du Téfécé en National, acquise avec quatre points sur Le Mans et cinq sur Metz tout en ayant la seconde attaque la plus prolifique ( 50 derrière Metz ( 52 ) ) et la défense la plus imperméable avec seulement 24 buts d'encaissés.
Durant l'été 2003 son prêt se transformera en transfert définitif et dès que ce dernier sera finalisé Mombaerts aura une discussion avec l'ancien bastiais du fait qu'il trouvait que pour un attaquant Dieuze manquait de vitesse et était souvent trop généreux. Alors pour relancer sa carrière le coach du Téfécé lui proposera de se reconvertir en milieu de terrain car son défaut ( manque de vitesse ) et sa qualité ( générosité ) étaient fait pour ce poste. Et là à 24 ans l'albigeois acceptera ce challenge afin de rebooster sa carrière et afin de s'adapter à ce poste de récupérateur le coach Mombaerts l'enverra faire ses gammes tous les week-ends avec l'équipe de CFA. Alors que les dirigeants du Téfécé s'interrogeaient pour recruter un milieu défensif physique Mombaerts mettra fin aux recherches du fait qu'il voulait miser sur Dieuze à ce poste. Finalement le tarnais se fera rapidement à son nouveau rôle en réalisant de grosses prestations ce qui l'amènera à accumuler trente matchs toutes compétitions confondues ( dont 26 en Ligue 1 avec trois buts de marqués ) malgré la concurrence de Julien Cardy. Et ses statistiques lui permettront de finir comme le onzième haut-garonnais le plus utilisé ex-aequo avec Cardy derrière Christophe Revault ( 42 ), le duo Lucien Aubey-Cédric Fauré ( 39 ), Florent Balmont ( 38 ), le duo Pedrag Ocokoljic-Achille Emana ( 36 ), Christophe Avezac ( 35 ), Eduardo ( 34 ), Issoumaïla Dao ( 32 ) et Nabil Taïder ( 31 ). Colectivement l'objectif du TFC sera atteint puisque le promu haut-garonnais se maintiendra en Ligue 1 grâce à sa seizième position finale acquise avec une longueur d'avance sur le premier relégable tout en ayant l'attaque la moins prolifique avec seulement 31 buts de marqués.
La saison 04/05 verra l'ancien tarnais confirmer qu'il était bel et bien devenu une sentinelle devant la défense puisqu'il sera utilisé en alternance avec Cardy. Alors son année se soldera avec 27 rencontres toutes compétitions confondues ( dont 25 en Ligue 1 avec un but d'inscrit ) faisant ainsi de lui le neuvième joueur le plus utilisé par Mombaerts à égalité avec Pantxi Sirieix et à quatorze unités de Revault,à treize d'Emana, à douze de Taïder, à dix d'Albin Ebondo, à neuf d'Aubey, à sept d'Arribagé et à quatre du duo Thibault Giresse-Daniel Moreira. Collectivement le Téfécé assurera une nouvelle fois son maintien en Ligue 1 en terminant cette fois-ci au treizième rang du classement à quatre points du premier relégable tout en ayant l'une des plus faibles attaques ( 36 à égalité avec l'AC Ajaccio et Caen  et derrière Istres ( 25 ), Bastia ( 32 ) et le duo Metz-Nantes ( 33 ) ).
Malgré un quart de finale en coupe de la Ligue ( perdu 2-0 contre Monaco ) la saison 05/06 sera plus que difficile pour le TFC du fait qu'il ne finira que seizième mais avec tout de même huit points d'avance sur le premier relégable tout en ayant l'une des plus faibles défenses ( 47 à égalité avec Sochaux et Troyes et derrière Metz ( 59 ), Starsbourg ( 56 ), AC Ajaccio ( 53 ) et Rennes ( 49 ) ). A titre personnel l'albigeois sera l'un des hommes de base de Mombaerts en accumulant 37 matchs toutes compétitions confondues ( dont 35 en Ligue 1 avec deux buts de marqués ) ce qui fera de lui le troisième toulousain le plus utilisé à trois longueurs de Moreira et à une de Jérémy Mathieu.
Pour la saison 06/07 le président du Téfécé nommera un nouvel entraîneur en la personne d'Elie Baup mais en même temps il reverra ses ambitions à la baisse au point de fixer l'objectif pour cette nouvelle année entre la huitième et douzième position en Ligue 1 alors qu'il visait l'Europe il y a si peu. Et là le club haut-garonnais réalisera un excellent début de championnat avant d'avoir une baisse de régime pendant l'automne mais le Téfécé se resaisira en effectuant une seconde partie de saison éblouissante au point d'être la meilleure équipe lors de la phase retour ex-aequo avec Marseille. Et cette belle année 06/07 se terminera de la plus belle des manières puisque grâce à une victoire 3-0 sur tapis vert  contre Nantes ( il y avait eu une interruption du match à la suite de l'envahissement du terrain par les supporters nantais ) et une victoire 3-1 sur Bordeaux Toulouse arrachera une qualification pour le tour préliminaire de la Ligue des Champions acquise par une troisième place finale à 23 points de Lyon et à six de Marseille. Et cette qualification en Ligue des Champions était une première dans l'histoire du Téfécé. A titre personnel l'ancien du SC Bastia sera l'un des grands artisans de la belle année toulousaine en totalisant 41 matchs toutes compétitions confondues ( dont 37 en Ligue 1 ) ce qui lui vaudra de finir comme l'élément le plus utilisé par Baup devant le duo Nicolas Douchez-Emana ( 40 ).
La saison 07/08 verra le tarnais de 28 ans découvrir la Ligue des Champions et pour sa première fois il allait affronter le grand Liverpool où il allait devoir jouer contre des joueurs de classe mondiale ou futurs tels que Pepe Reina, Steve Finnan, Jamie Carragher, Sami Hypia, Alvaro Arbeloa, Javier Mascherano, Steven Gerrard, Yossi Benayoun, Ryan Babel, Andriy Voironin, Fernando Torres, Mohamed Sissoko, John Arne Riise et Peter Crouch pour ne citer qu'eux. Et son histoire en Ligue des Champions ne durera que tour le préliminaire du fait que le Téfécé subira deux défaites contre les Reds ( 1-0 et 4-0 ) ce qui amènera le club toulousain à être reversé en coupe UEFA où il finira bon dernier du groupe E lors de la phase de poules derrière le Bayer Leverkusen, le Spartak Moscou, le FC Zurich et le Sparta Prague. Et en championnat ce ne sera pas mieux puisque le TFC ne réalisera pas le même parcours que l'année passée du fait qu'il luttera jusqu'à la dernière journée pour valider son maintien et ce dernier sera obtenu par une 17ème place finale avec deux longueurs d'avance sur le premier relégable. A titre personnel il sera toujours l'une des pièces maîtresses du Téfécé ce qui l'amènera à finir au troisième rang du classement des joueurs les plus utilisés avec 42 matchs toutes compétitions confondues ( dont 33 en Ligue 1 avec quatre buts de marqués ) à deux longueurs du duo Douchez-Hérita Ilunga.
 
NICOLAS DIEUZE
NICOLAS DIEUZE
Alors qu'il avait eu envie de prolonger son contrat avec son club formateur durant l'intersaison de 2007 le président toulousain n'en fera rien du fait qu'il avait trouvé qu'à ce moment là cela n'avait pas été le moment pour le faire. Et suite à cela le tarnais se posera de nombreuses questions tout en vivant une saison 07/08 très compliquée et lorsqu'il apprendra que ce sera Alain Casanova le nouvel entraîneur de Toulouse pour la saison 09/10 il considèrera que c'était le moment de quitter la Haute-Garonne. Et ce sera à ce moment là qu'il recevra un coup de téléphone du Havre, qui venait tout d'être promu en Ligue 1, car le club normand cherchait des joueurs cadres pour guider la jeunesse havraise. Finalement il donnera son accord pour rejoindre la Normandie du fait que le challenge l'attirait et qu'il allait retrouver d'anciens équipiers toulousains comme Christophe Revault et Cédric Fauré. Mais son aventure havraise sera un calvaire car malgré un effectif mélangeant expérience ( Revault, Nicolas Gillet, Abasse Ba, Jérémy Hénin, Guillaume Norbert, Maxime Baca, Olivier Davidas, Damien Tixier, Stéphane Noro, Jean-Michel Lesage, Hassane Alla, Cédric Fauré, Nikola Nikezic, Amadou Alassane et Mamadou Diallo ) et jeunesse ( Peter Franquart, Massamba Sambou, Benjamin Police, Maka Mary, Loïc Nestor, Jean-Armel Kana-Biyik, Florian Marange, Jamel Aït Ben Idir, Selim Bouadla, Jean-Pascal Fontaine, Driis Fettouhi, Kévin Anin, Pierrick Lebourg, Mohamed Youssouf, Yannick Boli, Mohamed Chalali, El-Fardou Ben Nabouhane et Ryan Mendes ) le promu normand n'aura pas les armes pour assurer son maintien ce qui l'amènera logiquement à repartir illico-prsto à l'étage inférieur suite à sa dernière place finale avec seulement 26 points ( 7 victoires, 5 nuls et 26 défaites ) tout en ayant la seconde attaque la moins prolifique ( 30 derrière Grenoble ( 24 ) ) et la défense la plus perméable avec 67 buts d'encaissés. A préciser qu'en parallèle de son exercice hexagonal calamiyeux le HAC trouvera un peu le sourire en atteingant les quarts de finale de la coupe de la Ligue qu'il perdra 1-0 contre Nice. A titre personnel malgré une année plus que pénible l'ancien du Téfécé tiendra son rôle de leader comme c'était prévu à son recrutement puisqu'il finira comme le havrais le plus utilisé par les deux coachs ( Jean-Marc Nobilo puis Frédéric Hantz à partir de Décembre 2008 ) avec 38 matchs toutes compétitions dont 34 en Ligue 1 avec deux buts de marqués sans oublier celui qu'il inscrira en coupes nationales.
 
NICOLAS DIEUZE
Voulant rester évoluer au sein de l'élite il rebondira très vite lorsque Grenoble et son entraîneur Mécha Bazdarecic viendront lui proposer de rejoindre le club isérois. Et là même avec un effectif plus fort que celui du Havre ( Ronan Le Crom, David Jemmali, Milivoje Vitakic, Jean Calvé, Bostjan Cesar, David Sauget, Alaixys Romao, Laurent Battles, Laurent Courtois, Daisuke Matsui, Danijel Ljuboja, Josip Tadic et Nassim Akrour pour ne citer qu'eux ) il vivra la même saison qu'il avait vécu avec le club doyen du football français puisqu'il connaîtra une relégation en Ligue 2 pour la seconde année consécutive acquise encore par une dernière place finale avec cette fois-ci seulement 23 points ( 5 victoires, 8 nuls et 25 défaites ) tout en ayant l'une des plus faibles attaques ( 31 ex-aequo avec Boulogne derrière Saint-Etienne ( 27 ) et Sochaux ( 28 ) ) et la deuxième défense la plus perméable ( 61 derrière Boulogne ( 62 ) ). A titre personnel le tarnais sera de nouveau omniprésent durant toute la saison 09/10 du fait qu'il terminera comme le quatrième grenoblois le plus utilisé par Bazdarevic avec 34 matchs toutes compétitions confondues ( dont 32 en Ligue 1 avec quatre buts de marqués sans oublier celui qu'il inscrira en coupes nationales ) à sept unités d'Akrour, à trois de Ljuboja et à deux de Battles.
Et après cette seconde descente en Ligue 2 d'affilée l'ancien toulousain décidera cette fois-ci de rester dans le navire écroulé afin d'essayer de retrouver l'élite immédiatement. Mais la saison 10/11 de Grenoble sera encore pire que la précédente avec des départs de joueurs importants ( Romao, Akrour, Battles, Calvé, Sofiane Feghouli, Sauget et Ljuboja entre autres ), un changement d'entraîneur dès le départ de l'année ( Yvon Pouliquen en lieu et place de Bazdarevic à partir de Septembre 2010 ), des résultats catastrophiques ( dernier du classement à la vingtième journée ), un déficit prévisionnel de 3,8 millions d'euros à la trêve hivernale, des dettes sociales de 1,2 million d'euros en Janvier 2011, une menace de dépôt de bilan et pour terminer une relégation en National acquise par une dernière position finale avec 33 points ( 7 victoires, 12 nuls et 19 défaites ) tout en ayant l'une des plus faibles attaques ( 36 ex-aequo avec Laval derrière le trio Boulogne-Troyes-Nîmes ( 35 ) ) et la seconde défense la plus perméable ( 60 derrière Vannes ( 61 ) ). Mais le pire arrivera à l'issue de la saison 10/11 lorsque le club isérois sera rétrogradé administrativement en CFA par la DNCG ce qui amènera le GF38 à déposer le bilan auprès du Tribunal de Commerce de Grenoble. Alors tous les joueurs professionnels se retrouveront libres comme l'air du fait que Grenoble n'avait plus de statut pro et pour enfoncer un peu plus le clou dans la plaie le liquidateur judiciaire décidera une relégation en CFA 2.
Et avant de quitter l'Isère l'ancien havrais aura réalisé une année pleine avec 36 matchs toutes compétitions confondues ( dont 34 en Ligue 2 avec deux buts de marqués ) faisant ainsi de lui le deuxième isérois le plus utilisé à deux longueurs de Jody Viviani.
 
NICOLAS DIEUZE
Libre de tout contrat il retournera dans sa région natale où il s'entraînera avec Luzenac tout en précisant qu'il sera sollicité par Châteauroux et recevra des opportunités en Grèce et en Suisse. Mais il n'y aura jamais de suite à ces offres et comme il avait envie de voir autre chose après trois années de galère il décidera à la fin Octobre 2011 d'aller aux Etas-Unis pour effectuer des essais au New England Révolution près de Boston et au Chivas USA, club de la banlieue de Los Angeles. Finalement il ne recevra aucune ofre de contrat ce qui lui vaudra de terminer la saison 11/12 sans club mais continuera à s'entraîner Luzenac où il retrouvera du jus et surtout de l'enthousiasme d'attendre un l'offre d'un projet intéressant.
Et ce projet qu'il attendait impatiemment viendra de Luzenac du fait que le club ariègeois avait comme objectif de monter en Ligue 2 sur les trois prochaines années. Mais la saison 12/13 verra le LAP se battre pour son maintien du fait qu'à l'issue du championnat du National il y aura six clubs sur les vingt qui seront relégués à cause d'une réforme du National ( de vingt à 18 équipes ). Alors Dieuze et ses coéquipiers réussiront à assurer son maintien en réalisant une série de trois victoires en quatre matchs dans les dernières journées ce qui les amènera à finir douzièmes à trois points du premier relégable. A titre personnel malgré une année sans jouer et que le championnat du National était moins élevé que la Ligue 1 et la Ligue 2 l'albigeois réalisera une saison pleine avec 38 matchs toutes compétitions confondues ( dont 36 en championnat avec un but de marqué ) ce qui fera de lui le deuxième luzenacien le plus utilisé ex-aequo avec Jérôme Hergault à deux longueurs de Quentin Westberg.
La saison 13/14 verra Luzenac débuter le championnat de National assez bien au point d'être leader de la seconde à la cinquième journée mais ensuite le club ariègeois parviendra à se maintenir sur le podium au point de finir vice-champion d'automne derrière Orléans. Et la seconde partie de l'exercice sera aussi bien réussie ce qui amènera le LAP à valider son ticket pour la Ligue 2 suite à sa deuxième place finale acquise à deux points d'Orléans tout en ayant la meilleure attaque avec 51 buts de marqués. A titre personnel l'ancien bastiais sera l'un des grands artisans de la belle année ariègeoise en accumulant 33 rencontres toutes compétitions confondues ( dont 32 en National avec trois buts d'inscrits ) ce qui fera de lui le joueur le plus utilisé par le coach Christophe Pellissier à égalité avec Westberg, Julien Outrebon, Idriss Ech-Chergui et Khalid Boutaïb.
 Mais cette belle année se terminera pas de la manière qu'avait prévu les dirigeants et les joueurs de Luzenac du fait que la LFP et la FFF ne trouvaient pas que le stade Paul Fédou n'était pas aux normes de la Ligue 2 ce qui valait au LAP de trouver un autre stade s'il voulait évoluer en seconde division pour la saison 14/15. Finalement Luzenac trouvera un accord avec le Stade Toulousain pour utiliser son enceinte mais devra attendre le feu vert de la LFP. Et la validation de la montée en Ligue 2 prendra encore du plomb dans l'aile lorsque la DNCG notifiera aux dirigeants luzenaciens une interdiction d'accession en seconde division à cause du budget qui n'avait pas encore pris en compte l'accord de principe pour évoluer dans l'enceinte du Stade Toulousain. Suite à cela le LAP fera appel de cette décision tout en se disant confiant de la nouvelle décision du DNCG du fait que le président luzenacien affirmait qu'il allait apporter les garanties nécessaires. Mais un mois plus tard la DNCG prononcera une nouvelle interdiction de montée en Ligue 2 ce qui bloquait Luzenac en National à un moins d'un mois de la reprise des championnats mais la direction du club ariègeois annoncera qu'elle se battra jusqu'au bout quitte à déranger tout en précisant que ce sera soit la Ligue 2 ou soit la fin. Et trois jours après le LAP saisira le Comité National Olympique et Sportif Français ( CNOSF ) pour tenter de modifier la décision de la DNCG et commece recours était suspensif le club ariégeois retrouvera provisoirement sa place en Ligue 2. Mais à la fin Juillet 2014 le CNOSF rendra un avis défavorable pour la montée en Ligue 2 ce qui choquera les dirigeants luzanaciens car pour eux il n'y avait aucun déficit et que les comptes étaient équilibrés avec des fonds propres validés par le commissaire aux comptes. Alors Luzenac utilisera son dernier recours en portant l'affaire devant le Tribunal Administratif de Toulouse en référé immédiat. Et là au début du mois d'Août 2014 jour de la reprise du championnat de seconde division le Tribunal Administratif suspendra la décision de la DNCG d'interdire la montée du LAP et demandera au gendarme financier du football français de réexaminer le dossier sous huit jours. Finalement la DNCG donnera son feu vert pour que Luzenac joue en Ligue 2 mais il fallait attendre la validation de cette décision par le conseil d'administration de la LFP. Alors que tous les luzaneciens pensaient qu'ils allaient découvrir la seconde division voilà que les membres du conseil d'administration de la LFP recaleront à l'unanimité le club ariégeois à cause de son stade malgré l'accord établi avec le Stade Toulousain. Mais le LAP ne lâchera pas l'affaire en faisant savoir qu'il allait saisir le Tribunal Administratif de Toulouse en référé pour réclamer une suspension du championnat de Ligue 2 14/15 qui en est déjà à deux journées de disputées. Ensuite il demandera également la conciliation du Ministère des Sports dans son bras de fer avec la LFP tout en disant que si sa requête était acceptée le club ariégeois promettra de renoncer à la saisie  en référé du Tribunal Administratif de Toulouse. Mais quelques heures après sa demande le Ministère des Sports dira qu'il n'était pas du tout habilité à effectuer une médiation ce qui amènera Luzenac à annoncer dans la foulée qu'il y avait bien un accord d'intention avec le Stade Toulousain pour utiliser son stade mais qu'une mise aux normes était nécessaire tout en précisant que le temps des travaux le Téfécé acceptait de prêter le Stadium.
A la mi-Août 2014 le LAP saisira à nouveau le CNOSF et le Tribunal Administratif mais même après pusieurs recours Luzenac n'aura jamais l'autorisation d'évoluer en Ligue 2 pour la saison 14/15 et sera même interdit de disputer le championnat de National mais les dirigeants ariégeois refuseront une proposition d'intégration de l'équipe première en championnat de France Amateur 2 ( cinquième division ). Finalement au lieu d'évoluer en Ligue 2 la direction de Luzenac annoncera son retrait du club qui libérera tous les joueurs de son équipe première ce qui amènera le LAP à continuer d'exister à travers son équipe réserve qui évoluait en Division d'Honneur Régionale ( septième division nationale et seconde division régionale ). Vraiment terrible pour tout le club ariégeois qui avait largement mérité sa montée en Ligue 2 sur le terrain.
Alors suite à cette bizarre affaire Dieuze décidera à 35 ans de mettre un terme à quinze ans de professionnalisme à la fin Septembre 2014 du fait qu'il n'avait plus du tout envie de repartir vers une nouvelle aventure au point de partir vers une nouvelle carrière.
 
NICOLAS DIEUZE
RECONVERSION :

Dès l'arrêt de sa carrière Dieuze gèrera ses différents activités comme une enseigne de football et un restaurant mitoyen sans oublier un autre restaurant ( tous situé à Toulouse ) et un site d'annonces qui combine les principes de base du réseau social et les capacités avancées de l'Internet mobile. Et en parallèle de toutes ses activités il deviendra chroniqueur pour les Violets.com dans la rubrique Dieuze S'en Mêle.

Ensuite il travaillera avec son ancien agent pour repérer et accompagner les jeunes footballeurs vers la réussite.

PALMARES :

-2002 : Finaliste de la coupe de France ( Bastia ).
-2003 : Champion de France de Ligue 2 ( Toulouse ).

BILAN DE CARRIERE :

-1999 à 2001 : Toulouse ( France ) 24 matchs joués pour six buts de marqués.
-2001 à Janv 2003 : Bastia ( France ) 36 matchs joués pour deux buts de marqués.
-Janv 2003 à 2008 : Toulouse ( France ) 170 matchs joués pour onze buts de marqués.
-2008 à 2009 : Le Havre ( France ) 34 matchs joués pour deux buts de marqués.
-2009 à 2011 : Grenoble ( France ) 66 matchs joués pour six buts de marqués.
-2011 à 2012 : Sans club.
-2012 à Septembre 2014 : Luzenac ( France ) 68 matchs joués pour quatre buts de marqués.
 
 
 
 
 
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#Posté le mardi 07 avril 2020 13:14

Modifié le mardi 07 avril 2020 13:25

OLIVIER THOMERT

 
Sans passer par un centre de formation Olivier Thomert découvrira le monde professionnel au Mans où ses prestations lui vaudront un transfert au sein de l'élite du côté du RC Lens. Et là dans le Nord de la France il s'imposera sans trop de difficultés dans le onze type des Sangs et Ors tout en découvrant les joutes européennes en disputant la Ligue des Champions et la coupe UEFA. Ensuite il continuera son ascension footballistique à Rennes mais il aura beaucoup de mal à se faire à sa nouvelle formation au point de subir de nombreuses critiques après la défaite en finale de la coupe de France 2009 contre Guingamp. Et après sa période rennaise sa carrière prendra un coup avec six mois difficiles au Mans, un échec du côté du club espagnol d'Hercules Alicante avant de faire un second retour au Mans pour une saison avant de mettre un terme à quatorze ans de professionnalisme.
 
OLIVIER THOMERT
Olivier Thomert est né en 1980 à Versailles dans les Yvelines. Il tombera dans la passion du ballon rond grâce à son oncle ce qui l'amènera à prendre sa toute première licence de jeune footeux au sein du petit club de Vitry-sur-Seine avant de poursuivre sa formation d'attaquant voire ailier gauche à Romainville, Colombes, Montreuil puis Levallois tout en ayant le doux rêve de devenir un joueur professionnel. Et en gravissant les échelons des équipes de jeunes le versaillais montrera un talent reconnu au point d'honorer de nombreuses sélections en équipes régionales. Mais malgré son potentiel il ne réussira pas à se faire remarquer par le club de ses rêves qu'était le PSG du fait que les superviseurs du club de la capitale le trouvaient trop frêle. Et le fait de ne pas avoir tapé dans l'oeil du PSG sera un gros regret pour l'adolescent originaire de la région parisienne. Alors il continuera à travailler pour atteindre son objectif de devenir footballeur pro tout en tentant à quatorze ans de forcer la chance en tapant aux portes de plusieurs centres de formation mais à chaque fois on le jugera trop frêle pour le haut niveau. Et lorsque certains clubs lui ouvriront leurs portes l'adloescent sera obligé de dire non suite au veto familial du fait que ses parents n'avaient aucune envie de voir leur fils s'envoler de ses propres ailes pour essayer d'atteindre le monde si dur du professionnalisme. Alors le natif de Versailles acceptera la décision de ses parents tout en continuant à approfondir ses qualités dans ses divers clubs de la région parisienne et en continuant ses études en cas où il échouerait dans le football.
Lorsqu'il évoluera à Levallois lors de la saison 98/99 il était postier le jour et footballeur le soir. Et au sein du championnat de CFA 2 il jouera pour le plaisir tout en profitant des primes d ematch pour améliorer un peu le quotidien de sa famille.
Convaincu qu'il avait le potentiel pour évoluer au niveau professionnel son entraîneur de Levallois le signalera au Mans, club de Ligue 2, qui viendront le superviser avant de lui proposer de rallier la Sarthe comme l'avait fait un ancien joueur de Levallois deux ans auparavant, un certain Didier Drogba. Et là à 19 ans il n'hésitera pas longtemps pour accepter la propositon du cub sarthois car pour lui il n'aurait peut-être pas une seconde opportunité comme celle-ci pour atteindre son rêve de devenir professionnel. Alors avec un statut de stagiaire professionnel il découvrira un univers qu'il ne connaissait pas du tout en doublant le nombre de séances d'entraînements et en fréquentant des joueurs expérimentés du haut niveau tels qu'Olivier Pédemas, Claude Fichaux, Denis Arnaud, Stéphane Boulila, Mohamed Haddadou, Stéphane Samson et Olivier Pickeu pour ne citer qu'eux. Et comme il était là où il avait toujours rêvé d'être il sera motivé pour prouver à l'entraîneur Marc Westerloppe qu'il avait aussi sa place au sein de l'effectif manceau en compagnie des autres jeunes pousses du MUC comme Mickaël Ravaux, Laurent Bonnart, Frédéric Thomas, Yohan Hautcoeur, Christophe Freitas, James Fanchone, Didier Patio sans oublier Didier Drogba, Yoann Poulard, David Charrièras, David Camara, Jérôme Drouin et Mohammed Sylla. Alors la saison 99/00 sera une année d'acclimatation pour le versaillais et finalement son travail aux entraînements sera récompensé lorsque le coach Westerloppe lui fera fouler à quatre reprises les pelouses du championnat de Ligue 2 et aura même la grande joie d'inscrire son tout premier but à ce niveau. Pas mal quand même pour un joueur qui évoluait encore en CFA 2 l'année précédente. Et ce peu de temps de jeu lui vaudra de participer à la neuvième place finale acquise à quinze points du premier relégable et à onze du podium synonyme d emontée à l'étage supérieur.
La saison 00/01 verra sa carrière être vraiment lancée car même avec deux changements de coach en cours d'année ( Westerloppe, Alain Pascalou puis Thierry Goudet ) il s'immiscera un peu plus dans le onze manceau avec vingt apparitions sur les feuilles de matchs toutes compétitions confondues dont seize en seconde division tout en précisant qu'il marquera un but au sein d'un des deux coupes nationales. Collectivement le championnat sera moins réussi que le précédent puisque le MUC ne terminera que quatorzième à onze points du premier relégable tout en ayant l'une des plus faibles attaques ( 37 à égalité avec Wasquehal et Créteil derrière Martigues ( 30 ), AC Ajaccio ( 32 ) et Angers ( 35 ) ).
Pour la saison 01/02 il montera encore d'un cran en finissant comme le douzième joueur le plus utilisé par le coach Goudet avec 26 rencontres toutes compétitions confondues ( dont 24 en Ligue 2 avec cinq buts de marqués ) à treize unités du duo Pédemas-Drouin, à douze de Poulard, à dix du trio Bonnart-Daniel Cousin-Samson, à neuf d'Arnaud, à huit de Fichaux, à six du duo Philippe Correia-Fanchone et à quatre de Damien Bridonneau. Collectivement Le Mans réalisera un beau championnat en arrachant une surprenante cinquième place finale loupant de sept points la quatrième position synonyme d'accompagner l'AC Ajaccio, Strasbourg et Nice en Ligue 1.
 
OLIVIER THOMERT
Ses belles prestations avec Le Mans ne seront pas du tout passées inaperçues puisque le tout récent vice-champion de France de Ligue 1, le RC Lens, n'hésitera pas à miser une indemnité de transfert de 1,83 million d'euros pour l'acquérir. Et en arrivant dans le Pas-de-Calais il passait encore dans un univers bien différent de celui du Mans puisqu'il allait cotoyer de nombreux internationaux comme Jacek Bak, Adama Coulibaly, Rigobert Song, Ferdinand Coly, Pape Sarr, Papa Bouba Diop, Seydou Keita et John Utaka pour ne citer qu'eux. Et même au milieu d'un effectif haut de gamme ( en plus des internationaux cités précédemment il y avait également Guillaume Warmuz, Zoumana Camara, Abdoulaye Faye, Eric Sikora, Cyril Rool, Yoann Lachor, Dagui Bakari, Jocelyn Blanchard, Antoine Sibierski, Stéphane Pédron, Charles-Edouard Coridon, Daniel Moreira et voire Tony Vairelles ) il réussira à se faire une place au sein du onze des Sangs et Ors grâce à son pied gauche et à ses puissants déboulés qui étaient sa marque de fabrique. Et pour sa première année en Ligue 1 il accumulera 31 matchs toutes compétitions confondues ( dont 24 en Ligue 1 tout en précisant qu'il inscrira son unique but en Ligue des Champions ) faisant ainsi le dixième joueur le plus utilisé par Joël Muller ex-aequo avec Bakari et derrière Moreira ( 49 ), Sibierski ( 48 ), Utaka ( 47 ), Song ( 46 ), Blanchard ( 41 ), Seydou Keita ( 38 ), Bak ( 36 ), Coulibaly ( 36 ) et Coridon ( 32 ). Collectivement il découvrira à 22 ans la plus prestigieuse des coupes européennes qu'était la Ligue des Champions au sein de laquelles il foulera les pelouses des plus grands clubs européens comme le Milan AC, le Bayern Munich et le Deportivo La Corogne tout en jouant contre des grands joueurs tels que Paolo Maldini, Clarence Seedorf, Andriy Shevchenko, Filippo Inzaghi, Andrea Pirlo, Oliver Kahn, Willy Sagnol, Bixente Lizarazu, Mehmet Scholl, Michael Ballack, Hasan Salihamidzic, Giovane Elber, Claudio Pizarro, Donato, Jorge Andrade, Nourredine Naybet, Lionel Scaloni, Joan Capdevilla, Mauro Silva, Roy Makaay, Juan Carlos Valeron et Diego Tristan pour ne citer qu'eux. Et pour sa première campagne en Ligue des Champions il terminera troisième du groupe G lors de la phase de poules ( derrière le Milan AC et le Deportivo La Corogne ) ce qui l'amènera à être reversé la coupe UEFA où lui et ses coéquipiers se feront sortir dès leur entrée en lice dans cette compétition par le FC Porto, futur vainqueur de l'épreuve, ( défaite 3-0 au Portugal et victoire 1-0 à domicile ). Et pour son tout premier championnat de France de Ligue 1 il finira au huitième rang du classement à huit points du tour préliminaire de la Ligue des Champions et à sept de la coupe UEFA tout en précisant qu'au départ le RCL avait arraché une qualification pour l'Intertoto mais du fait qu'il gagnera le Challenge du fair-play de Ligue 1 et après qualification de la France par tirage au sort de l'UEFA, s'est vu attribuer une place pour le tour préliminaire de la Coupe UEFA.
La saison 03/04 verra l'ancien manceau confirmer sa bonne première année lensoise et surtout qu'il avait vraiment sa place au plus haut niveau français. Et ce fait il terminera comme le Sang et Or le plus utilisé par le coach Muller avec 46 matchs toutes compétitions confondues dont 36 en Ligue 1 avec cinq buts de marqués. Et là avec de telles statistiques il pouvait dire que ses années galères lors de son adolescence n'étaient que du passé. Collectivement le club du Pas-de-Calais se fera éliminer dès le second tour de la coupe UEFA par Gaziantepspor ( deux défaites par 3-0 et 3-1 ), atteindra les quarts de finale de la coupe de la Ligue ( perdu 4-0 contre Sochaux, futur vainqueur de l'épreuve ) et finira une nouvelle fois huitième de la Ligue 1 tout en ayant l'une des plus mauvaises attaques ( 34 ex-aequo avec Metz derrière Toulouse ( 31 ) et le duo AC Ajaccio-Bastia ( 33 ) ) et avec une qualification pour l'Intertoto à la clé mais les dirigeants lensois refuseront d'y participer.
La saison 04/05 verra les Sangs et Ors atteindre pour la seconde année d'affilée les quarts de finale de la coupe de la Ligue ( perdu cette fois-ci 3-0 contre Saint-Etienne ) et réalisera un championnat correct avec une septième place finale acquise à onze points du tour préliminaire de la Ligue des Champions et à trois de la coupe UEFA ce qui amènera les nordistes à se contenter d'une qualification pour l'Intertoto. A titre personnel le versaillais sera encore l'un des hommes de base du RCL malgré un chnagement d'entraîneur en cours d'année ( Francis Gillot en lieu et place de Muller à partir de Janvier 2005 ) ce qui lui vaudra de terminer au douzième rang des lensois les plus utilisés avec 31 rencontres toutes compétitions confondues ( dont 28 en Ligue 1 avec six buts de marqués ) à onze unités de Cousin, à dix de Charles Itandje, à huit de Seydou Keita, à six du quatuor Nicolas Gillet-Alou Diarra-Eric Carrière-Utaka ( 37 ), à quatre du duo Eric Cubilier-Jérôme Leroy, à trois de Benoît Assou-Ekotto et à deux de Patrick Barul.
La saison 05/06 débutera très bien pour Thomert et ses coéquipiers en s'adjugeant l'Intertoto aux dépens de Cluj ( 1-1 en Roumanie et victoire 3-1 à domicile ) ce qui les amènera à disputer la coupe UEFA où ils atteindront les seizièmes de finale qu'ils perdront 3-1 score cumulé contre Udinese ( défaite 3-0 en Italie et victoire 1-0 à domicile ). En championnat le RCL réalisera un bon parcours en arrachant une belle quatrième place finale acquise à deux longueurs du tour préliminaire de la Ligue des Champions et se qualifiant pour la coupe UEFA grâce à une meilleure différence de buts par rapport à Marseille ( +14 contre +9 ). A titre personnel l'ancien du MUC sera égal à lui-même en accumulant 46 matchs toutes compétitions confondues ( dont 29 en Ligue 1 avec six buts d'inscrits ) ce qui fera de lui le neuvième Sang et Or le plus utilisé par Gillot derrière le duo Itandje-Yohan Démont ( 52 ), le trio Assou-Ekotto-Seydou Keita-Jussié ( 51 ), le duo Vitorino Hilton-Cousin ( 50 ) et Adama Coulibaly ( 48 ). Et avec six buts en championnat, un en Intertoto, un en UEFA et deux en coupes nationales il finira comme le deuxième meilleur buteur artois derrière Cousin ( 21 ) et devant Aruna Dindane ( 9 ) et Jussié ( 8 ).
 
OLIVIER THOMERT
OLIVIER THOMERT
Pour la saison 06/07 il était parti pour effectuer encore une année pleine mais pendant la trêve hivernale il recevra une offre du Stade Rennais du fait que son entraîneur Pierre Dréossi voulait changer d'ailier gauche pour terminer l'année. Alors tenté de vivre un nouveau challenge il acceptera de rejoindre l'Ille-et-Vilaine après avoir totalisé 23 matchs toutes compétitions confondues avec le RCL ( dont 17 en Ligue 1 avec deux buts de marqué sans oublier celui qu'il inscrira en coupes nationales ) tout en précisant que l'ailier gauche rennais, Olivier Monterrubio, faisait lui le voyage inverse pour remplacer Thomert à Lens. Mais ses premiers mois en Rouge et Noir seront compliqués puisqu'il aura du mal à s'imposer et surtout à tenir la comparaison avec son prédécesseur Monterrubio car il était un joueur physique et puissant alors que Monterrubio était rapide et technique. Alors il sera rapidement sifflé par les supporters rennais qui lui reprochaient sa nonchalance et ses lacunes techniques. Finalement sa seconde partie de la saison 06/07 se soldera avec onze matchs joués en Ligue 1 ce qui lui permettra de prendre part à la quatrième place finale acquise par Rennes à une longueur du tour préliminaire de la Ligue des Champions et se qualifiant ainsi pour la coupe UEFA grâce à une meilleure différence de buts par rapport à Lens, Bordeaux et Sochaux ( +8 contre +6, +4 et -2 ).
La saison 07/08 verra l'ancien sarthois s'imposer dans le onze des Rouges et Noirs grâce à son physique de déménageur du fait qu'il n'hésitait pas à donner un coup de pouce aux tâches défensives tout en étant dan sle même temps décisif offensivement. Alors sa première année pleine avec Rennes se soldera avec 31 matchs toutes compétitions confondues ( dont 25 en Ligue 1 avec cinq buts de marqués sans oublier celui qu'il inscrira en coupe de la Ligue ) ce qui fera de lui le dixième Rouge et Noir le plus utilisé par les deux coachs ( Dréossi puis Guy Lacombe à partir de Décembre 2007 ) ex-aequo avec Stéphane M'Bia à seize unités de Jimmy Briand, à quatorze de Petter Hansson, à onze d'Olivier Sorlin, à huit de Mickaël Pagis, à sept de Jérôme Leroy, à cinq de Bruno Cheyrou, à quatre de Rod Fanni et à une du duo Sylvain Marveaux-Sylvain Wiltord. Collectivement le Stade Rennais n'ira pas plus loin que la phase de poules de la coupe UEFA ( dernier du groupe D derrière Hambourg, Bâle, Brann et le Dinamo Zagreb ) et réalisera un nouveau championnat correct avec une sixième place finale acquise à quatre points du tour préliminaire de la Ligue des Champions et loupera la coupe UEFA à cause d'uneplus mauvaise différence de buts par rapport à Saint-Etienne ( +3 contre +13 ) ce qui l'amènera à se contenetr que de l'Intertoto.
La saison 08/09 sera tout à fait convenable car malgré une élimination dès le premier tour de la coupe UEFA ( à cause de la règle du but inscrit à l'extérieur après un 2-2 score cumulé contre Twente ( victoire 2-1 à domicile et défaite 1-0 aux Pays-Bas ) après avoir franchi l'Intertoto contre Tavria Simferopol ( aux tirs aux buts après un 1-1 score cumulé ( chaque équipe avait gagné 1-0 à domicile ) ) le club de l'Ille-et-Vilaine atteindra la finale de la coupe de France ( perdue 2-1 contre Guingamp ) puis finira septième de l'élite à dix points du tour préliminaire de la Ligue des Champions et à trois de la Ligue Europa. A titre personnel l'ancien lensois sera l'un des hommes de base de Lacombe en totalisant 33 matchs toutes compétitions confondues ( dont 23 en Ligue 1 avec quatre buts de marqués ) ce qui fera de lui le treizième élément le plus utilisé derrière Nicolas Douchez ( 50 ), Rod Fanni ( 49 ), Fabien Lemoine ( 48 ), Carlos Bocanegra ( 47 ), Petter Hansson ( 46 ), Moussa Sow ( 45 ), Jérôme Leroy ( 42 ), Mickaël Pagis ( 40 ), Romain Danzé ( 37 ), le duo Kader Mangane-Stéphane M'Bia ( 35 ) et Jimmy Briand ( 34 ).  
 
OLIVIER THOMERT
Le début de la saison 09/10 sera très délicat pour le versaillais du fait qu'il avait été marqué psychologiquement par les critiques qu'il avait essuyé suite à la finale de la coupe de France perdue contre Guingamp ( il avait évolué comme avant-centre pour pallier l'absence de Briand sur blessure mais ratera complètement sa finale ), vu son transfert à l'Espanyol de Barcelone échoué et sans oublier de parler de l'arrivée d'un nouvel entraîneur en la personne de Frédéric Antonetti qui ne comptera pas trop sur lui pour composer son onze type. Et jusqu'à la trêve hivernale il ne totalisera que deux matchs en Ligue 1 et deux en coupe de la Ligue ce qui amènera les dirigeants rennais à vouloir s'en débarrasser afin d'alléger leur masse salariale. Finalement le Stade Rennais et l'ancien Sang et Or se mettront d'accord pour mettre un terme au contrat liant le club d'Ille-et-Vilaine et le versaillais. Alors pour finir la saison 09/10 l'ancien du Levallois retournera au Mans au début du mois de Février 2010 pour se relancer en s'engageant avec le club sarthois pour cinq mois. Mais les quelques mois qu'il passera au MUC ne seront pas une grande réussite puisqu'il ne sera seulement présent qu'à quatre reprises sur les feuilles de matchs de l'élite. Et même en jouant peu il participera quand même à la relégation en Ligue 2 acquise par une 18ème place finale avec huit points de retard sur le premier non relégable tout en ayant l'une des plus faibles attaques ( 36 ex-aequo avec Toulouse derrière Saint-Etienne ( 27 ), Sochaux ( 28 ) et le duo Boulogne-Grenoble ( 31 ) ) et défenses ( 59 derrière Boulogne ( 62 ) et Grenoble ( 61 ) ).  

Libre de tout contrat durant l'été 2010 il décidera de quitter la France pour rejoindre le championnat d'Espagne en signant un contrat d'un an avec Hercules Alicante, tout frais promu en Liga. Et son expérience en Liga sera mitigée puisqu'il ne réussira pas à s'imposer dans le onze type des deux entraîneurs ( Esteban Vigo puis Miroslav Djukic à partir de Mars 2011 ) du fait qu'il ne totalisera que 19 matchs toutes compétitions confondues dont 18 en championnat avec un but de marqué. Collectivement ce sera une saison 10/11 délicate également puisque les Herculanos termineront avant-derniers de la Liga à neuf points du premier non relégable tout en ayant l'une des plus faibles attaques ( 36 ex-aequo avec Almeria derrière le Deportivo La Corogne ( 31 ) et Sporting Gijon ( 35 ) ) et défenses ( 60 ex-aequo avec Getafe derrière Almeria ( 70 ), Malaga ( 68 ), Real Sociedad ( 66 ) et Séville ( 61 ) ).
 
OLIVIER THOMERT
Se retrouvant de nouveau libre comme l'air pendant l'été 2011 il attendra l'offre intéressante mais cette dernière n'arrivera jamais ce qui l'amènera à passer la saison 11/12 sans club.
Durant l'intersaison 2012 il reviendra au Mans afin de s'entraîner puis s'engager deux mois plus tard avec le club sarthois pour la troisième fois de sa carrière. Avant sa signature d'une année le MUC avait été rétrogradé en National par la DNCG mais après un appel au Comité National Olympique et Sportif Français la DNCG décidera de lever la rétrogradation administrative du fait que les actionnaires manceaux et la municipalité de la ville du Mans avaient fait des efforts pour améliorer la santé financière du MUC. Alors l'ancien de Hercules évoluera bien en Ligue 2 mais la saison 12/13 sera difficile pour lui en ne totalisant que 17 rencontres toutes compétitions confondues ( dont quinze en championnat avec deux buts de marqués ) tout en voyant la situation s'aggraver avec un déficit de 7,5 millions d'euros en Décembre 2012, des offres de reprise et de recapitalisation du MUC étudiées avant le passage devant la DNCG à la fin Février 2013 ( cette dernière lui laissera un délai jusqu'à la fin de la saison pour mener à bien sa recapitalisation ), le non paiement des salaires du mois de Février 2013, un changement de présidence pour un euro symbolique à la fin Mars 2013, un changement de coach en Avril 2013 ( Régis beunardeau en lieu et place de Denis Zanko ) et une relégation en National acquise par une 18ème place finale à deux longueurs du premier non relégable tout en ayant l'une des plus faibles attaques ( 39 ex-aequo avec Lens et Niort et derrière Clermont ( 33 ), GFC Ajaccio ( 34 ), Arles-Avignon ( 36 ) et Istres ( 38 ) ) et la défense la plus perméable avec 62 buts d'encaissés. Et le pire arrivera car à l'issue de la saison 12/13 la DNCG rétrogradera dans un premier temps le MUC en CFA avant de le reléguer finalement en Division d'Honneur en raison de ses graves difficultés financières. Ensuite le CNOSF proposera à la FFF au mois d'Août 2013 la réintégration du Mans en CFA ce qu'elle acceptera tout en précisant qu'en même temps le président saisira le Tribunal Administratif de Nantes pour demander le retour du MUC en National afin de pouvoir sauver son statut professionnel. Au mois de Septembre 2013 la DNCG décidera d'intégrer l'équipe mancelle en CFA après l'avoir rétrogradée en Division d'Honneur mais quelques semaines plus tard le Tribunal Administratif de Nantes rejettera le recours en urgence déposé trois jours plus tôt ce qui amènera illico-presto la liquidation judiciaire du Mans à cause d'une dette de 14,4 millions d'euros. Finalement la liquidation sera prononcée à la mi-Octobre 2013 par le Tribunal du Commerce du Mans ce qui concernera à la fois la société anonyme sportive professionnelle ( SASP ) et la société commerciale Le Mans MCO qui employaient chacune trente salariés. Et pour enfoncer le clou un peu plus la FFF décidera de nouveau la relégation du MUC en Division d'Honneur de la Ligue du Maine.
Et après cette pénible année 12/13 Thomert décidera à 33 ans de mettre un terme à sa carrière après avoir vécu quatre saisons plus que délicates.
 
OLIVIER THOMERT
RECONVERSION :

Après l'arrêt de sa carrière Thomert retournera dans le Nord de la France pour devenir coach-adjoint chez les jeunes du RC Lens tout en continuant à se faire plaisir tous les jeudis dans des matchs de gala contre les pompiers, la police ou des entreprises aux côtés d'anciens Sangs et Ors célèbres tels que Daniel Moreira, Eric Sikora, Didier Sénac et Guillaume Warmuz pour ne citer qu'eux.

Et six ans après avoir mis fin à sa carrière de footballeur Thomert sortira de sa retraite pour évoluer en Régional 2, équivalent de la septième division, sous la tunique de Claye-Souilly, club de Seine-et-Marne.
 
OLIVIER THOMERT
PALMARES :

-2009 : Finaliste de la coupe de France ( Rennes ).

BILAN DE CARRIERE :

-1999 à 2002 : Le Mans ( France ) 44 matchs joués pour six buts de marqués.
-2002 à Janv 2007 : Lens ( France ) 134 matchs joués pour 19 buts de marqués.
-Janv 2007 à Janv 2010 : Rennes ( France ) 61 matchs joués pour neuf buts de marqués.
-Janv 2010 à 2010 : Le Mans ( France ) 4 matchs joués.
-2010 à 2011 : Hercules Alicante ( Espagne ) 18 matchs joués pour un but de marqué.
-2011 à 2012 : Sans club.
-2012 à 2013 : Le Mans ( France ) 15 matchs joués pour deux buts de marqués.
 
 
 


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#Posté le vendredi 03 avril 2020 13:23

ABOU DIABY

 
La carrière d'Abou Diaby aura été un énorme échec du fait qu'elle aura été parsemée de nombreuses blessures qui l'empêcheront de réaliser des saisons pleines. De 2004 à Février 2019, date à laquelle il annoncera l'arrêt de sa carrière, il accumulera 43 blessures en dix ans ce qui l'amènera à totaliser 1554 jours d'absences devenant ainsi un chiffre record d'environ quatre années sans jouer soit la moitié de la durée de son passage à Arsenal( neuf ans et demi ). Et lorsqu'il sera épargné par les pépins physiques ses prestations lui permettront d'honorer 21 sélections en équipe de France et surtout de disputer la coupe du monde 2010 en Afrique du Sud.
 
ABOU DIABY
Vassiriki Abou Diaby dit Abou Diaby est né en 1986 à Aubervilliers en Seine-Saint-Denis. Passionné de ballon rond le gamin d'origine ivoirienne prendra sa toute première licence de jeune footeux à l'âge de huit ans au sein du club de sa commune natale où pendant quatre ans il apprendra ses premiers rudiments footballistiques pour devenir un bon milieu de terrain pouvant aussi bien évoluer comme récupérateur ou comme relayeur.
A douze ans il rejoindra le Red Star où il y restera trois saisons avant d'intégrer le PSG pour la saison 01/02 tout en précisant qu'après sa première année au sein du club audonien il incorporera en 1999 pour trois ans le centre de préformation français de l'Institut National du Football de Clairefontaine. A l'INF de Clairefontaine il fera parti de la promotion 1986 au sein de laquelle il cotoyera des futurs professionnels tels que Sébastien Bassong, Habib Bellaïd, Hatem Ben Arfa, Garra Dembélé, Ricardo Faty, Geoffrey Jourden, Helmi Loussaief, Jonathan Martins Pereira, Olivier N'Siabamfumu, Alexandre Raineau et Quentin Westberg pour ne citer qu'eux. Et cette génération de gamins prometteurs se fera connaître par le documentaire A la Clairefontaine réalisé par Bruno Sevaistre et qui sera diffusé par Canal+. Et les seize épisodes filmés feront découvrir la vie d'un groupe de jeunes espoirs en formation sur trois années dès leur arrivée jusqu'à leur départ en parlant de leurs parcours sportifs, leurs rêves, leurs progrès mais aussi leurs inquiétudes, leurs désillusions ou leurs espoirs lorsqu'ils rejoindront un centre de foramtion d'un club professionnel à la finde leur troisième année à l'INF.
A la fin de son cycle il aurait pu rallier le centre de formation du PSG mais le service des ressources humaines du club parisien mettra trop de temps à envoyer une lettre d'engagement à ses parents. Et sans ce courrier à la fin du mois d'Avril 2002 le jeune albertivillarien sera donc libre ce qui amènera un agent à l'emmener à Auxerre où finalement il décidera de rejoindre son centre de formation au sein duquel il y retrouvera un ancien compère de l'INF Clairefontaine en la personne de Garra Dembélé.
Alors à seize ans il poursuivra sa formation de milieu de terrain tout en intégrant dès sa première année dans l'Yonne la réserve auxerroise au sein de laquelle il évoluera aux côtés de Sébastien Hamel, Jean-Pascal Mignot, Younes Kaboul, Bacary Sagna, Eric Assati, Kuami Agboh, Mohamed Sissoko, Hassan Yebda, Pantxi Sirieix, David Vandenbossche et son pote Garra Dembélé pour ne citer qu'eux. A préciser que sa première saison ajaïste ne sera pas du tout loupée car en plus d'avoir joué un peu avec l'équipe B de l'AJA il emmènera son équipe des 16 ans jusqu'au titre de champion de France et surtout se fera remarquer par le coach emblématique du groupe professionnel qu'était Guy Roux. Et là trouvant que c'était un môme sérieux, intelligent, très talentueux et bien développé physiquement Roux décidera de l'emmener en stage à la montagne avec les professionnels pour préparer la saison 03/04 ce qui l'amènera à en profiter pour se faire remarquer lors d'un match amical contre le Dinamo Zagreb où il y avait huit membres de l'équipe nationale de Croatie tout en précisant que l'entraîneur auxerrois l'avait placé à un poste inhabituel pour lui ( ailier gauche ). Alors même s'il continuera sa progression en équipes de jeunes le natif d'Aubervilliers s'entraînera pendant cette année 03/04 avec Fabien Cool, Johan Radet, Philippe Mexès, Jean-Alain Boumsong, Jean-Joël Perrier-Doumbé, Lionel Mathis, Amdy Faye, Benjani Mwaruwari, Yann Lachuer, Kanga Akalé, Olivier Kapo et Djibril Cissé qui avaient remporté la saison précédente la coupe de France aux dépens du PSG ( 2-1 ). Finalement son année 03/04 se déroulera principalement en équipes de jeunes et B ce qui l'amènera à voir en tant que spectateur l'équipe première s'incliner 2-1 contre Lyon lors du Trophée des Champions, atteindre les huitièmes de finale de la coupe UEFA ( perdu 4-1 score cumulé contre le PSV Eindhoven ( 1-1 à domicile et défaite 3-0 aux Pays-Bas ) ) et les demi-finales de la coupe de la Ligue ( perdue aux tirs aux buts contre Nantes après un 0-0 final après prolongations ) sans oublier la quatrième place finale acquise en Ligue 1 à dix unités du tour préliminaire de la Ligue des Champions.
Au tout début de la saison 04/05 le jeune homme de 18 ans verra le coach Roux le lancer dans le grand bain de l'élite française à la mi-Août 2004 lors de la seconde journée de la Ligue 1 contre Rennes ( victoire 3-1 ). Ensuite il rajoutera à son actif quatre autres présences sur les feuilles de matchs du championnat de France et connaîtra même ses deux premières en coupe d'Europe ce qui lui vaudra de prendre part à la huitième place finale acquise en Ligue 1 et au parcours jusqu'en quarts de finale de la coupe UEFA ( perdu 4-2 score cumulé contre le futur vainqueur de l'épreuve, le CSKA Moscou, ( défaite 4-0 en Russie et victoire 2-0 à domicile ) ). Ensuite son année sera gâchée par une double fracture tibia-péroné ce qui l'empêchera d'accumuler un peu de temps de jeu au sein des coupes nationales où ses coéquipiers atteindront les quarts de finale de la coupe de la Ligue ( perdu aux tirs aux buts contre Caen, futur finaliste, après un 1-1 final après prolongations ) et s'adjugeront la coupe de France aux dépens de Sedan sur le score de 2-1.
 
ABOU DIABY
Pour la saison 05/06 il travaillera sous les odres d'un nouvel entraîneur en la personne de Jacques Santini après la retraite de Roux mais l'ancien coach de Lyon ne comptera pas trop sur son milieu de terrain de 19 ans au point que ce dernier ne totalisera que sept rencontres toutes compétitions confondues jusqu'à la trêve hivernale ( cinq en Ligue 1 avec son premier et unique but à ce niveau et deux en coupe UEFA ( élimination dés le premier tour contre Levski Sofia à cause de la règle du but inscrit à l'extérieur après un 2-2 score cumulé ( victoire 2-1 à domicile et défaite 1-0 en Bulgarie ) ).
Alors pour engranger du temps de jeu et surtout pour vraiment lancer sa carrière le jeune albertivillarien décidera de quitter l'AJ Auxerre pour accepter l'offre que lui faisait Arsène Wenger, entraîneur d'Arsenal. Et ce sera ainsi qu'il débarquera chez les Gunners avec un contrat de quatre ans et demi à la clé et surtout de rejoindre la colonie française du club londonien au sein de laquelle on pouvait y trouver Pascal Cygan, Gaël Clichy, Mathieu Flamini, Robert Pirès et Thierry Henry sans oublier les anciens pensionnaires de la Ligue 1 comme Emmanuel Adebayor et Alexandre Song. Et là malgré la concurrence de Gilberto Silva, Flamini et Cesc Fabregas l'ancien auxerrois réussira à accumuler un temps de jeu assez conséquent jusqu'à la fin de la saison 05/06 avec seize matchs toutes compétitions confondues dont douze en Premier League avec son tout premier but à ce niveau. Et finalement ses statistiques lui permettront de découvrir la Ligue des Champions ( parcours jusqu'en finale qu'Arsenal perdra 2-1 contre Barcelone ) et de prendre part à la quatrième place finale acquise en championnat avec une qualification pour le tour préliminaire de la prochaine Ligue des Champions à la clé. A préciser également que ses premiers mois anglais se finiront de la plus moche des manières puisqu'au début du mois de Mai 2006 il sera victime d'un sévère tacle à la cheville droite d'un joueur de Sunderland qui l'éloignera des terrains durant huit mois et surtout lui fera manquer le 17 Mai la finale de la Ligue des Champions 2006 contre le Barça.  
Pour la saison 06/07 reprendra la compétition au début de l'année 2007 mais peu de temps après il retrouvera l'infirmerie à cause d'une blessure à un genou puis d'une entorse à une cheville. Ensuite il reviendra sur les terrains en Mars 2007 ce qui l'amènera à boucler la saison avec seulement treize rencontres toutes compétitions confondues ( douze en Premier League avec un but de marqué et un en coupe d'Europe ) lui valant ainsi de participer à la quatrième position finale acquise en championnat ( avec une nouvelle qualification pour le tour préliminaire de la Ligue des Champions ) et au parcours jusqu'en huitièmes de finale de la Ligue des Champions ( perdu 2-1 score cumulé contre le PSV Eindhoven ( défaite 1-0 aux Pays-Bas et 1-1 à domicile ) ). Ces nouveaux pépins physiques lui vaudront de voir comme spectateur ses coéquipiers atteindre la finale de la coupe de la Ligue qu'ils perdront 2-1 contre Chelsea.
Même s'il subira une indisponibilité de 43 jours suite à une entorse dans la cuisse et les muscles fessiers il réalisera tout de même sa saison la plus aboutie depuis le début de sa carrière avec 28 matchs toutes compétitions confondues ( dont quinze en Premier League avec un but de marqué sans oublier celui qu'il inscrira en coupes nationales et les deux en Europe ). Collectivement les Gunners atteindront les quarts de finale de la Ligue des Champions ( perdu 5-3 score cumulé contre Liverpool ( 1-1 à domicile et défaite 4-2 à Anfield Road ) et arracheront une énième qualification pour le tour préliminaire de la prochaine Ligue des Champions acquise cette fois-ci par une troisième place finale en championnat à quatre points de Manchester United et à deux de Chelsea.
Même s'il terminera comme le douzième Gunner le plus utilisé avec 36 matchs toutes compétitions confondues ( ex-aequo avec William Gallas et derrière Denilson ( 51 ), Nicklas Bendtner ( 50 ), Bacary Sagna ( 49 ), Alexandre Song ( 47 ), le quatuor Manuel Almunia-Emmanuel Eboué-Robin Van Persie-Samir Nasri ( 44 ), le duo Kolo Touré-Gaël Clichy ( 41 ) et Emmanuel Adebayor ( 37 ) ) la saison 08/09 sera gâchée par des soucis physiques qui lui occasionneront 88 jours d'absences ( cinq pour un claquage à l'aine, 69 pour une entorse dans la cuisse et les muscles fessiers et quatorze pour une blessure musculaire à l'extomac ). Collectivement il ne disputera aucune minute en coupe de la Ligue ( élimination en quarts de finale contre Burnley sur le score de 2-0 ) mais par contre il sera bien présent en Ligue des Champions jusqu'en demi-finales ( deux défaites par 1-0 et 3-1 contre Manchester United ), en Cup jusqu'en demi-finales ( défaite 2-1 contre Chelsea, futur vainqueur de l'épreuve ) et en Premier League avec encore une qualification pour le tour préliminaire de la prochaine Ligue des Champions acquise cette fois-ci par une quatrième place finale à 18 points de M.U, à quatorze de Liverpool et à onze de Chelsea.

N.B :

Magré une année encore plus aboutie que la précédente ses absences sur blessures amèneront son ancien entraîneur auxerrois, Guy Roux, à dire que Diaby était un cadeau de la nature pour un coach et un amoureux du football mais malheureusement il était monté sur deux allumettes avec un point de colle au milieu ce qui lui valait un manque de solidité des membres inférieurs. A préciser que depuis son arrivée à Arsenal Diaby avait subi une quinzaine de blessures au point de ne jouer que 63 matchs de 90 minutes de Premier League en trois ans et demi.

Afin d'être opérationnel à cent pour cent pour toute la saison 09/10 l'ancien icaunais ira faire un stage intense de reconstruction physique à base de séances journalières alternant musculation et endurance avec un entraîneur d'athlétisme à l'Institut National du Sport, de l'Expertise et de la Performance. Finalement ses heures de travail à l'INSEP seront payantes puisqu'il réalisera une très bonne saison 09/10 même s'il loupera 21 jours pour des problèmes à un mollet mais aura réussi à s'imposer dans l'entrejeu des Gunners et surtout à montrer toute l'étendue de son talent au point que les supporters d'Arsenal se remettront à le comparer à Patrick Vieira à cause de son gabarit et de son style de jeu. Et avec quarante matchs toutes compétitions confondues ( dont 29 en championnat avec six buts de marqués sans oublier celui qu'il inscrira en Europe ) il terminera comme le troisième londonien le plus utilisé par Wenger à cinq longueurs de Thomas Vermaelen et à quatre de Sagna. Collectivement le club londonien réalisera une bonne année avec un quart de finale en coupe de la Ligue ( perdu 3-0 contre Manchester City ( l'ancien de l'INF Clairefontaine ne jouera pas une seule minute de cette compétition ) ), un quart en Ligue des Champions ( perdu 6-3 score cumulé contre Barcelone ( 2-2 à domicile et défaite 4-1 en Catalogne ) ) et une qualification directe pour la prochaine Ligue des Champions acquise par une troisième place finale en championnat à onze points de Chelsea et à dix de Manchester United.
Pour la saison 10/11 l'albertivillarien voulait confirmer son excellente année passée mais dès le départ de la Premier League il subira un tacle violent d'un joueur de Bolton sur la même cheville droite déjà victime d'une telle agression en Mai 2006. Et ce sera le début d'une saison galère puisqu'après son indisponiblité à cause de sa cheville ( quatorze jours ) il en vivra quatre autres avec 62 jours pour une blessure à la malléole et une élongation au mollet ( d'Octobre à Décembre 2010 ), 32 jours pour une entorse ( tout le mois de Janvier 2011 ), une lésion aux adducteurs en Mars 2011 et une rechute au mollet en Avril 2011. Alors sa saison 10/11 se soldera avec seulement vingt rencontres toutes compétitions confondues dont seize en Premier League avec deux buts d'inscrits. Et ce temps de jeu très faiblard lui permettra quand même de participer au parcours en Ligue des Champions ( élimination en huitièmes de finale par Barcelone, futur vainqueur de l'épreuve, ( victoire 2-1 à domicile et défaite 3-1 en Catalogne ) ), à celui jusqu'en quarts de la Cup ( défaite 2-0 contre Manchester United ) et à la qualification pour le tour préliminaire de la prochaine Ligue des Champions acquise par une quatrième place finale en Premier League à 22 points de M.U et à trois du duo Chelsea-Manchester City. Par contre ce sera comme spectateur qu'il verra ses coéquipiers atteindre la finale de la coupe de la Ligue qu'ils perdront 2-1 contre BirminghamCity.
Et La saison 11/12 sera encore plus pénible pour l'ancien auxerrois car après une opération durant l'été 2011 d'une cheville lui valant une absence de 131 jours ( de Juillet à Novembre 2011 ) il rechutera début Décembre 2011 après avoir fait deux petites apparitions en équipe première en se blessant aux ischio-jambiers ( 97 jours d'indisponibiltés ) puis retrouvera encore l'infirmerie en Mars 2012 ( 17 jours pour des problèmes à une cuisse ) et Mai 2012 ( 17 jours pour des problèmes à un mollet ). Finalement son année 11/12 se soldera avec seulement cinq apparitions sur les feuilles de matchs toutes compétitions confondues ( quatre en Premier League et une en Europe ) lui permettant ainsi de jouer un peu en championnat ( troisième à 19 points du duo Manchester City-Manchester United ) et en Ligue des Champions ( élimination en huitièmes de finale par le Milan AC ( défaite 4-0 en Italie et victoire 3-0 à domicile ) ). Et une nouvelle fois ce sera encore de loin qu'il verra ses partenaires atteindre les quarts de finales de la coupe de la Ligue qu'ils perdront 1-0 contre Manchester City.

N.B :

A préciser qu'à cause d'un corps à bout de force et des blessures récurrentes l'entraîneur de l'INSEP avait qui Diaby s'était entraîné en 2009 confiera que l'ancien ajaïste avait une jambe droite d'un gamin de dix ans et une jambe gauche d'un athlète de 25 ans tout en précisant que son mollet gauche travaillait pour deux. Et pour expliquer ce disfonctionnement physique le coach d'athlétisme argumentera en disant qu'après trois opérations à une cheville le corps de Diaby a été totalement déséquilibré entre sa jambe gauche et droite Et du fait d'évoluer dans un championnat où le jeu était particulièrement dur la jambe droite de l'ancien pensionnaire de Clairefontaine, meurtrie par tous les blessures, ne pouvait plus supporter des efforts intenses et réguliers alors que la gauche compensait naturellement la faiblesse de la droite. Et de ce fait son corps se déséquilibrera au niveau musculaire parce qu'une jambe travaillant pour les deux occasionnera des tensions dans les cuisses, mollets et genoux.

Alors suite à cette pénible saison 11/12 le milieu de terrain d'Arsenal décidera de retourner à l'INSEP pendant un mois durant l'été 2012 pour se remettre sur pied totalement avec un programme hyper intensif. Mais cela ne se passera pas trop bien car comme son corps avait été poussé au-delà de ses limites physiques ( surtout sa jambe gauche ) il souffrait d'une fibrose au mollet gauche ( amas de noeuds musculaires ) qui nécessitera une prise en charge d'un kiné afin de faire exploser la fibrose avec de la glace dans une serviette. Et lorsque l'amas de noeuds aura disparu il pourra se renforcer musculairement grâce à des séances de musculation et à des séances de sprints afin d'etre en forme pour le début de la saison 12/13. Alors au départ de cette dernière Diaby espérait réaliser une année pleine comme en 09/10 mais la malédiction continuait à s'acharner sur lui. Car dés Septembre 2012 il sera absent 104 jours pour un claquage à une cuisse et plus d'un mois après son retour à la compétition en Janvier 2013 il repartira 18 jours à l'infirmerie pour des problèmes à un mollet. Et le pire arrivera à la fin Mars 2013 lorsqu'il sera victime d'une rupture des ligaments croisés ce qui lui vaudra une opération et surtout une indisponibilité estimée entre huit et neuf mois. Alors sa saison 12/13 se soldera avec quinze matchs toutes compétitions ( dont onze en Premier League ) ce qui l'amènera à prendre part au parcours en Ligue des Champions ( élimination en huitièmes de finale par le Bayern Munich, futur vainqueur de l'épreuve, ( à cause de la règle des buts inscrits à l'extérieur après un 3-3 score cumulé ( défaite 3-1 à domicile et victoire 2-0 en Allemagne ) ) ) et à la qualification pour le tour préliminaire de la prochaine Ligue des Champions acquise par une quatrième place finale en championnat à seize points de M.U, à cinq de Man City et à deux de Chelsea. Et pour une énième fois il ne sera pas du tout présent pour le parcours des Gunners jusqu'en quarts de finale de la coupe de la Ligue qu'ils perdront aux tirs aux buts contre le futur finaliste, Bradford, après un 1-1 final après prolongations.
Alors qu'il était en pleine rééducation suite à sa rupture des ligaments croisés une inflammation du tendon rotulien suivi d'une infection nosocomiale viendront retarder son retour à la compétition. Et là il reviendra en France pour retravailler avec le coach de l'INSEP pendant cinq mois à raison de dix séances de cinq heures par semaine pour essayer de se retaper avant la fin de la saison 13/14. Mais ses adducteurs le lâcheront au printemps 2014 lors d'un match avec les U21 d'Arsenal ce qui l'amènera à débuter son année à la mi-Mai 2014 lors de la dernière journée de la Premier League contre Norwich City. Avec cette seule rencontre de jouée il prendra part à la quatrième place finale avec une qualification au tour préliminaire de la prochaine Ligue des Champions à la clé ( à sept points de Man City, à cinq de liverpool et à trois de Chelsea ) mais par contre ce sera de loin qu'il verra ses coéquipiers atteindre les huitièmes de finale de la Ligue des Champions ( perdu 3-1 score cumulé contre le Bayern Munich ( défaite 2-0 à domicile et 1-1 en Alleamgne ) ) et remporter la Cup aux dépens de Hull City sur le score de 3-2.
Suite à une blessure inconnue ( vingt jours ) et une à un mollet ( 279 jours ) sa saison 14/15 se résumera qu'à 67 minutes lors d'un match de coupe de la Ligue à la mi-Septembre 2014 contre Southampton ( défaite 2-1 ). Alors comme d'habitude ce sera de très loin qu'il verra ses partenaires s'adjuger le Community Shield ( 3-0 contre Manchester City ), atteindre les huitièmes de finale de la Ligue des Champions ( élimination à cause de la règle des buts inscrits à l'extérieur après un 3-3 score cumulé contre Monaco ( défaite 3-1 à domicile et victoire 2-0 en Principauté ) ), se qualifier directement pour la prochaine Ligue des Champions grâce à leur troisième place finale acquise en Premier League ( à douze longueurs de Chelsea et à quatre de Man City ) et surtout remporter pour la deuxième année d'affilée la Cup en venant à bout cette fois-ci d'Aston Villa ( 4-0 ).
 
ABOU DIABY

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ABOU DIABY
A l'issue de la saison 14/15 suite à ses blessures à répétition les dirigeants des Gunners décideront de libérer son milieu de terrain français après neuf années et demies de présence à Arsenal. A préciser que toutes les blessures qu'il aura connu au sein du club londonien auront fait l'objet de beaucoup d'articles de la part des médias britanniques. Et à notifier également que de Janvier 2006 à 2015 il aura été victime de 42 blessures lui valant ainsi 1554 jours d'absence soit 222 semaines ce qui représente environ quatre ans sans jouer soit près de la moitié de la durée de son passage à Arsenal.
Et même avec la réputation d'un joueur très fragile l'Olympique de Marseille viendra lui proposer durant l'été 2015 un contrat tout en sachant qu'il n'avait plus joué depuis Septembre 2014. Alors dès son arrivée sur la Canebière l'ancien Gunner s'emploiera à se remettre en forme pour retrouver au plus vite les terrains et après avoir repoussé son retour à plusieurs reprises il jouera enfin depuis Septembre 2014 son premier match en Mars 2016 avec la réserve phocéenne contre Marignane. Ensuite la semaine suivante il se verra rejouer en Ligue 1 lors de la 31ème journée contre le Stade Rennais avant de rajouter à son compteur deux autres rencontres de championnat et une de coupe de France. Son faible temps de jeu lui permettra de participer au parcours jusqu'en finale de la coupe de France ( perdue 4-2 contre le PSG ) et à la piètre treizième place finale acquise au sein de l'élite ( à neuf points du premier relégable et à dix d'une qualification européenne ). Par contre sa remise en forme l'empêchera  de prendre part au parcours en coupe de la Ligue ( élimination en quarts de finale contre Toulouse ( défaite 2-1 après prolongations ) ) et en Ligue Europa ( élimination en seizièmes de finale contre l'Athletic Bilbao ( défaite 1-0 à domicile et 1-1 en Espagne ) ).
La saison 16/17 sera pratiquement blanche car à cause d'une blessure à la malléole ( douze jours ) et d'une autre à une cheville ( 172 jours ) il ne sera opérationnel qu'à partir de fin Février 2017 ce qui l'amènera à ne disputer que deux petits matchs de Ligue 1 jusqu'à la fin de l'année. Alors avec seulement ses deux rencontres de jouées il aura quand même pris part à la qualification de l'O.M pour la prochaine Ligue Europa acquise par une cinquième place finale.
 
ABOU DIABY

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Après n'avoir joué que six matchs toutes compétitions confondues sous la tunique marseillaise il quittera la Canebière pendant l'été 2017 tout en ayant l'espoir de rejouer au plus haut niveau. Finalement à la fin Février 2019 Diaby annoncera l'arrêt de sa carrière car pour lui il était vraiment temps de dire stop du fait que son corps ne suivait plus suite à tous ses pépins physiques. A 32 ans passés il mettait fin à treize ans de professionnalisme durant lesquels il n'aura totalisé que 199 matchs toutes compétitions confondues sous les tuniques d'Auxerre, Arsenal et Marseille à cause des blessures à répétition. Un vrai gâchis vu le potentiel qu'il possédait et qui lui prévoyait une grande carrière.

Sélection : 16

Même avec de nombreuses blessures qui auront jalonnées sa carrière Diaby aura réussi à honorer seize sélections avec l'équipe de France mais ses passages à l'infirmerie le priveront de trois Euros ( 2008, 2012 et 2016 ) et d'une coupe du monde ( 2014 ).

Avant d'intégrer les A Diaby avait été champion d'Europe avec les moins de 19 ans en remportant l'Euro de la catégorie en 2005 suite à une victoire 3-1 en finale contre l'Angleterre.

Ensuite il sera appelé en Espoirs en Février 2006 avant que Raymond Domenech fasse appel à lui en A en Mars 2007 pour jouer contre la Lituanie ( victoire 1-0 ) lors d'un match qualificatif pour l'Euro 2008 où il entrera en jeu en remplaçant Florent Malouda. Quatre jours plus tard il sera titulaire lors de sa seconde cape pour affronter l'Autriche en amical ( victoire 1-0 ).

Suite à sa belle saison 09/10 le joueur d'Arsenal sera retenu pour faire parti des 23 Bleus pour disputer la coupe du monde en 2010 en Afrique du Sud. Lors des matchs de préparation il sera l'auteur de prestations plus que convaincantes au point que Domenech fera de lui l'un de ses titulaires indiscutables lors des trois rencontres du groupe A. Finalement la France sera éliminée dès le premier tour ( quatrième derrière l'Uruguay, le Mexique et l'Afrique du Sud ) tout en vivant une grosse crise en interne ( insultes de Nicolas Anelka envers Domenech et grève des tricolores lors d'un entraînement ) mais malgré tout cela Diaby sera l'une des rares satisfactions de ce Mundial côté français.

Suite à ce fiasco sud-africain il sera rappelé par le nouveau sélectionneur Laurent Blanc au début du mois de Septembre pour affronter la Biélorussie comptant pour la campagne de qualification pour l'Euro 2012 ( défaite 1-0 ).

Mais ensuite ses nombreuses blessures le feront disparaître du monde des Bleus à partir du début du mois de Juin 2011 mais il fera quand même parti en Septembre 2012 de la liste des joueurs convoqués par le nouveau sélectionneur Didier Deschamps pour disputer les deux premiers matchs des éliminatoires de la coupe du monde 2014 face à la Finlande et la Biélorussie. Finalement il honorera sa dernière sélection contre la Finlande ( victoire 1-0 avec son unique but en Bleu ) puisqu'ensuite il ne sera plus rappelé par Deschamps à cause de ses blessures et surtout de l'éclosion de Paul Pogba.
 
ABOU DIABY
RECONVERSION :

Pour l'instant aucun renseignement pour dire ce que fait Diaby depuis l'arrêt de sa carrière.

PALMARES :

-2006 : Finaliste de la Ligue des Champions ( Arsenal).

BILAN DE CARRIERE :

-2004 à Janv 2006 : Auxerre ( France ) 10 matchs joués pour un but de marqué.
Janv 2006 à 2015 : Arsenal ( Angleterre ) 124 matchs joués pour quatorze buts de marqués.
-2015 à 2017 : Marseille ( France ) 5 matchs joués.

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#Posté le mardi 31 mars 2020 10:36

Modifié le dimanche 05 avril 2020 04:33

SEBASTIEN SQUILLACI

 
Après avoir été formé à Toulon et rejoint l'AS Monaco à l'âge de 18 ans Sébastien Squillaci attendra quatre années avant de s'imposer en équipe première du club de la Principauté après avoir réussi son prêt de deux saisons en Ligue 2 du côté de l'AC Ajaccio avec en guise de récompense une montée parmi l'élite pour le club corse. Devenu titulaire indiscutable à l'ASM il fréquentera le haut du classement de la Ligue 1, remportera la coupe de la Ligue et disputera la finale de la Ligue des Champions ce qui lui permettra d'intégrer l'équipe de France à partir d'Août 2004. Ensuite après des passages fructueux à Lyon et Séville il s'exilera en Angleterre pour porter la tunique d'Arsenal mais là ce sera un échec retentissant. Alors il reviendra en France où il rebondira à Bastia avant de mettre un terme à sa carrière à 37 ans suite à une rupture des ligaments croisés.
 
SEBASTIEN SQUILLACI
Sébastien Squillaci est né en 1980 à Toulon dans le Var. Il tombera très jeune dans la passion du ballon rond au point de prendre sa toute premièrelicence de jeune footeux à l'âge de six ans au sein du petit club de La Seyne-sur-Mer. Et là il apprendra tous les rudiments footballistiques pour devenir un bon défenseur central tout en gravissant toutes les étapes des équipes des jeunes seynois. Lors de la saison 95/96 ses qualités défensives seront remarqués par les recruteurs du grand club régional qu'était le SC Toulon qui évoluait maintenant en National 1 mais accèdera en seconde division à l'issue de cette année là. Alors à seize ans le jeune varois ne réfléchira pas à deux fois pour rejoindre le Sporting car même si ce dernier venait tout juste de retrouver la D2 c'était pour lui une énorme opportunité d'atteindre son objectif de devenir joueur professionnel. Et sa première année au SCT le verra continuer sa formation défensive tout en intégrant épisodiquement la réserve toulonnaise au sein de laquelle ses prestations seront convaincantes au point que le nouvel entraîneur de l'équipe première pour la saison 97/98, Albert Emon, ne l'invite à venir s'entraîner avec le groupe professionnel pour préparer le championnat de France de D2. Et de ce fait voilà celui qu'on surnommait " Toto " ( en hommage de l'attaquant italien Salvatore Schillaci ) allait cotoyer pendant les séances d'entraînements des joueurs expérimentés comme Franck Zingaro, Stéphane Demol, Georges Santos, Frédéric Tatarian, Philippe Carvalho, François Vanverberghe, Patrick Vervoort, Jean-Marc Ferreri, David Maresu, Didier Rabat, Philippe Mazzuchetti, Nordine Mouka, Patrice Marquet et Patrick Revelles pour ne citer qu'eux. Et à 17 ans il savait très bien que ça serait difficile pour lui d'engranger un temps de jeu assez conséquent mais finalement il apparaîtra quand même à six reprises sur les feuilles de matchs de la D2 lui permettant ainsi de prendre part au maintien du promu varois acquis par une quatorzième place finale tout en ayant la deuxième défense la plus friable avec 57 buts d'encaissés derrière celle d'Epinal ( 75 ).

Le peu de temps de jeu accumulé en seconde division lui vaudra d'attirer le regard des superviseurs de l'AS Monaco et là le varois de 18 ans n'hésitera pas de faire le trajet Toulon-Monaco du fait qu'à l'ASM il avait encore plus de chance de pouvoir s'imposer dans le monde professionnel. En débarquant sur le Rocher il découvrira un univers bien différent de celui qu'il avait connu à Toulon tout en sachant qu'il lui faudrait du temps pour prouver qu'il avait le potentiel pour prétendre atteindre l'équipe première monégasque. Mais même en travaillant énormément de 1998 à 2000 il ne réussira pas à convaincre les deux entraîneurs de l'équipe pro ( Jean Tigana puis Claude Puel à partir de Janvier 1999 ) de lui donner sa chance ce qui amènera le varois à n'évoluer qu'en réserve au sein de laquelle il cotoyera Tony Silva, Gaël Givet, Julien Rodriguez, Nicolas Plestan, David Di Tommaso, John Arne Riise, Pontus Farnerud, Moussa N'Diaye, Salif Diao, Djibril Sidibé, Sébastien Carole et Souleymane Camara pour ne citer qu'eux. Durant ses deux premières années en Principauté il verra l'équipe A atteindre les huitièmes de finale de la coupe UEFA 98/99 et 99/00 ( 3-2 score cumulé contre Marseille, futur finaliste, la première année ( 2-2 à domicile et défaite 1-0 sur la Canebière ) et 4-2 score cumulé contre Majorque la seconde année ( défaite 4-1 en Espagne et victoire 1-0 à domicile ) ), les demi-finales de la coupe de France 99/00 ( perdue 1-0 contre Nates, futur vainqueur de l'épreuve ) et remporter le titre de champion de France 99/00 avec sept points d'avance sur le PSG tout en ayant l'attaque la plus prolifique avec 69 buts de marqués.

Alors voulant du temps de jeu il demandera aux dirigeants de Monaco d'être prêter pour la saison 00/01 et de ce fait il débarquera sur l'Ile de Beauté pour rejoindre l'AC Ajaccio qui avait un partenariat avec le club de la Principauté ce qui lui vaudra d'arriver en compagnie de son équipier Tony Silva. Et là le coach Baptiste Gentili décidera de lui faire entièrement confiance en l'installant comme titulaire indiscutable au sein de la charnière ajacienne au côté d'Eric Colling tout en évoluant également à certaines occasions avec Christophe Destruhaut ou Philippe Burle. Finalement son prêt en Corse sera une grande réussite puisqu'il se soldera avec 38 matchs toutes compétitions confondues ( dont 36 en D2 avec ses deux premiers buts à ce niveau ) lui valant ainsi de terminer comme le deuxième acéiste le plus utilisé à une longueur de Steve Savidan. Collectivement l'ACA réalisera un championnat honorable en finissant au douzième rang du classement avec douze points d'avance sur le premier relégable tout en ayant la seconde attaqua la moin sprolifique avec 32 buts de marqués à deux unités de Martigues.
Suite à cette belle année 00/01 Monaco et l'AC Ajaccio se mettront d'accord pour prolonger d'une année le prêt de l'ancien toulonnais ce qui amènera ce dernier à travailler avec un entraîneur très réputé comme Rolland Courbis. Et là sous les ordres de l'ancien coach de Marseille le jeune défenseur de 21 ans confirmera son statut de titulaire au sein de la défense ajacienne aux côtés d'Eric Colling, David Jaureguiberry et Martial Robin sans oublier le gardien Stéphane Trévisan. A préciser que la ligne défensive de l'ACA terminera comme la défense la plus imperméable avec seulement 25 buts d'encaissés à égalité avec Beauvais. Finalement la saison 01/02 sera encore un prêt très réussi pour le varois puisqu'avec 36 rencontres toutes compétitions confondues ( dont 33 en D2 avec cinq buts de marqués ) il finira comme le cinquième ajaccien le plus utilisé ex-aequo avec Samba N'Diaye et à quatre unités de Trévisan, à trois de Cyril Granon et à deux du duo Robin-Xavier Bécas. Et en plus d'avoir enregistré de belles statistiques personnellement et collectivement il sera l'un des héros de l'ACA après avoir validé son ticket pour l'élite et son titre de champion de France de D2 grâce à une première place finale avec quatre points d'avance sur le RC Strasbourg.
 
SEBASTIEN SQUILLACI
De retour sur le Rocher après deux années pleines à Ajaccio le toulonnais trouvera à l'ASM un nouvel entraîneur en la personne de Didier Deschamps qui devra travailler pour la saison 02/03 avec un effectif mélangeant expérience ( Flavio Roma, Franck Jurietti, Philippe Léonard, Lucas Bernardi, Vassilis Zikos, Ludovic Giuly, Marcelo Gallardo, Dado Prso et Shabani Nonda ) et jeunesse ( Gaël Givet, Julien Rodriguez, Rafael Marquez, Eric Cubilier, Hassan El-Fakiri, Patrice Evra, Pontus Farnerud, Jérôme Rothen et Souleymane Camara ). Et d'entrée de jeu il disputera son tout premier match de Ligue dès le départ du championnat de France contre Troyes avant de s'imposer petit à petit au sein du onze type monégasque. Et de ce fait son retour en Principauté se soldera avec 41 matchs toutes compétitions confondues ( dont 35 en Ligue 1 avec ses deux premiers buts de marqués à ce niveau sans oublier les deux qu'il inscrira en coupe de la Ligue ) ce qui fera de lui le deuxième joueur le plus utilisé à égalité avec Evra et Giuly à une longueur de Rothen. Après avoir réussi à s'imposer dans le onze monégasque le varois réalisera également une très bonne année collectivement puisque l'ASM remportera la coupe de la Ligue aux dépens de Sochaux ( 4-1 ) et finira vice-champion de France à une unité de l'Olympique Lyonnais tout en ayant la meilleure attaque avec 66 buts d'inscrits. En un mot son éclosion monégasque sur tous les plans lui vaudra d'être élu meilleur défenseur central de Ligue 1 par le journal L'Equipe, espoir de la saison par le magazine France Football et révélation de la saison par France Football aussi.
La saison 03/04 le verra être en concurrence avec Givet et Rodriguez mais réussira quand même à enregistrer des statistiques convenables avec 37 matchs toutes compétitions confondues ( dont 27 en Ligue 1 avec cinq buts de marqués sans oublier le premier but européen de sa carrière inscrit en Ligue des Champions ) ce qui fera de lui le quatorzième joueur le plus utilisé par Deschamps ex-aequo avec Hugo Ibarra et derrière Rodriguez ( 52 ), Givet ( 50 ), les trios Roma-Rothen-Jaroslav Plasil ( 49 ) et Evra-Edouard Cissé-Bernardi ( 47 ), Prso ( 45 ), Emmanuel Adebayor ( 44 ) et le trio Zikos-Giuly-Fernando Morientes ( 42 ). Lors de cette saison 03/04 le varois découvrira les joutes européennes en disputant la Ligue des Champions où lui et ses coéquipiers atteindront la finale qu'ils perdront 3-0 contre le FC Porto après avoir éliminé aux tours précédents le Lokomotiv Moscou, le Real Madrid et Chelsea. Et au sein des compétitions domestiques l'ASM réalisera aussi des parcours corrects en atteignant les quarts de finale de la coupe de France ( perdu 1-0 contre Châteauroux, pensionnaire de Ligue 2 et futur finaliste ) et en terminant troisième de l'élite à quatre points de Lyon et à un du PSG.
Encore barré par la paire Givet-Rodriguez l'ancien ajaccien accumulera tout de même plus de temps de jeu suite à des blessures de Rodriguez au point de terminer la saison 04/05 comme le onzième monégasque le plus utilisé avec quarante matchs toutes compétitions confondues ( dont 28 en Ligue 1 avec trois buts de marqués ) à douze longueurs d'Evra, à dix du duo Adebayor-Mohamed Kallon, à neuf du duo Roma-Givet, à quatre de Maicon, à trois de Diego Perez, à deux du duo Zikos-Javier Saviola et à une de François Modesto. Collectivement ce sera encore une belle année pour Monaco avec deux demi-finales au sein des coupes nationales ( défaite 3-1 contre Caen en coupe de la Ligue et défaite 1-0 contre Sedan en coupe de France ) et une nouvelle troisième place finale acquise en championnat avec cette fois-ci seize points de retard sur Lyon et quatre sur Lille. Par contre en Ligue des Champions ce ne sera pas le même parcours que l'année précédente du fait qu'après avoir franchi le tour préliminaire contre Gorica ( deux victoires par 3-0 et 6-0 ) et fini premiers du groupe A lors de la phase de poules ( devant Liverpool, l'Olympiakos et le Deportivo La Corogne ) la route des joueurs du Rocher s'arrêtera en huitièmes de finale suite à une défaite 3-0 score cumulé contre le PSV Eindhoven ( deux défaites par 1-0 et 2-0 ).
La saison 05/06 ne sera pas la plus réussie depuis son retour en Principauté en 2002 puisque l'ASM ne passera pas le tour préliminaire de la Ligue des Champions contre le Betis Séville ( défaite 1-0 en Espagne et 2-2 à domicile ), n'ira pas plus loin que les seizièmes de finale de la coupe UEFA ( 2-1 score cumulé contre Bâle ( défaite 1-0 en Suisse et 1-1 à domicile ) ) et finira à une piètre dixième place finale en championnat ( à dix points du tour préliminaire de la Ligue des Champions, à huit de la coupe UEFA et à sept de l'Intertoto ). La seule satisfaction de l'année monégasque sera le parcours en coupe de la Ligue jusqu'en demi-finales que Monaco perdra 1-0 contre Nice. A titre personnel après le départ de Rodriguez aux Glasgow Rangers le varois sera titulaire au sein de la charnière centrale au côté de Givet ce qui lui vaudra de terminer au cinquième rang du classement des joueurs les plus utilisés par les trois entraîneurs ( Deschamps, Jean Petit et Francesco Guidolin ) avec 39 matchs toutes compétitions confondues ( dont 27 en Ligue 1 avec un but de marqué sans oublier celui qu'il inscrira en Europe ) à sept unités de Bernardi, à cinq de Camel Meriem et à quatre du duo Givet-Modesto.
 
SEBASTIEN SQUILLACI
Après quatre années de bons et loyaux services à Monaco l'ancien du SC Toulon voudra tenter un nouveau challenge ce qui l'amènera à s'engager durant l'été 2006 avec Lyon, quintuple champion de France consécutivement. Et chez les Gones il s'imposera rapidement comme un titulaire indiscutable au sein de la charnière centrale au côté du brésilien Cris au point d'envoyer Claudio Caçapa et Patrick Müller sur le banc de touche. Alors sa première saison dans le Rhône lui permettra de terminer comme le dixième lyonnais le plus utilisé par le coach Gérard Houllier avec 39 matchs toutes compétitions confondues ( dont 28 en Ligue 1 avec trois buts de marqués ) ex-aequo avec Sidney Govou et à huit unités du duo Kim Källström-Florent Malouda, à six de Jérémy Toulalan, à cinq du duo Cris-Eric Abidal, à trois de Juninho, à deux du duo Anthony Réveillère-Grégory Coupet et à une de Tiago. Et son transfert à l'O.L lui vaudra surtout d'étoffer son palmarès du Trophée des Champions ( gagné aux tirs aux buts contre le PSG après un 1-1 final après prolongations ) et surtout du titre de champion de France que le club rhodanien s'adjugera cette fois-ci avec 17 points d'avance sur Marseille tout en ayant les meilleures attaques ( 64 ) et défenses ( 27 ). A préciser aussi que l'ancien monégasque atteindra les huitièmes de finale de la Ligue des Champions ( perdu contre l'AS Roma ( 0-0 en Italie et défaite 2-0 à domicile ) ) et disputera la finale de la coupe de la Ligue qu'il perdra 1-0 contre les Girondins de Bordeaux.
Au début de la saison 07/08 il ne sera pas présent sur la feuille de match du Trophée des Champions ( gagné 2-1 contre Sochaux ) mais ensuite il sera l'un des grands artisans du doublé coupe -championnat ( réalisé par victoire de 1-0 contre le PSG en coupe de France et aux quatre points d'avance en Ligue 1 sur Bordeaux tout en ayant l'attaque la plus prolifique avec 74 buts de marqués ) sans oublier les parcours jusqu'en quarts de finale de la coupe de la Ligue ( perdu 1-0 contre Le Mans ) et huitièmes de la Ligue des Champions ( perdu 2-1 score cumulé contre Manchester United, futur vainqueur de l'épreuve, ( 1-1 à domicile et défaite 1-0 en Angleterre ). A titre personnel le varois sera l'un des Gones les plus utilisés du nouvel entraîneur Alain Perrin en accumulant 48 rencontres toutes compétitions confondues ( dont 34 en Ligue 1 ) ce qui fera de lui le quatrième rhodanien le plus utilisé à six unités de Källström, à quatre de Karim Benzema et à trois de Mathieu Bodmer.
 
SEBASTIEN SQUILLACI
Après son aventure lyonnaise le toulonnais voudra tenter une expérience à l'étranger et là il jettera son dévolu sur la Liga en s'engageant avec le FC Séville contre une indemnité d'environ 6,5 millions d'euros. Et comme à Lyon il s'imposera immédiatement au sein de la charnière centrale des Sevillistas où il sera souvent associé avec son compatriote Julien Escudé. Finalement sa première année espagnole se soldera avec 43 matchs toutes compétitions confondues ( dont 32 en Liga tout en précisant qu'il marquera un but en coupe nationale ) faisant ainsi de lui le sixième joueur le plus utilisé par le coach Manolo Jimenez derrière Jesus Navas ( 49 ), Romaric ( 48 ), Andrés Palop ( 47 ), Renato ( 45 ) et Fernando Navarro ( 44 ). Collectivement même si Séville n'ira pas plus loin que la phase de poules de la coupe UEFA ( quatrième du groupe C derrière le Standard de Liège, le VFB Stuttgart et Sampdoria ) la suite de la saison 08/09 sera bien meilleure avec une demi-finale de coupe d'Espagne ( perdue contre l'Athletic Bilbao ( victoire 2-1 à domicile et défaite 3-0 à l'extérieur ) ) et une qualification directe pour la prochaine Ligue des Champions acquise par une belle troisième place finale en Liga à 25 points du Barça et à vingt du Real.
Pour la saison 09/10  l'ancien lyonnais verra son temps de jeu diminuer de moitié sûrement dû aux choix des deux entraîneurs ( Jimenez puis Antonio Alvarez à partir de Mars 2010 ) et à des soucis physiques ce qui l'amènera à ne totaliser que 21 matchs toutes compétitions confondues dont seize en Liga avec un but de marqué sans oublier les deux qu'il inscrira en coupe d'Europe. Et même en jouant mois ses statistiques lui permettront quand même d'inscrire à son palmarès la coupe d'Espagne ( gagnée 2-0 contre l'Atlético Madrid ) et participer au parcours en Ligue des Champions jusqu'en huitièmes de finale ( perdu 3-2 score cumulé contre le CSKA Moscou ( 1-1 en Russie et défaite 2-1 à domicile ) ) et à la quatrième place finale acquise en Liga avec une qualification pour le tour préliminaire de la prochaine Ligue des Champions.
 
SEBASTIEN SQUILLACI
Après avoir préparé la saison 10/11 avec le FC Séville mais ne jouera plus jamais sous la tunique du club andalou puisqu'avec la fin du mois d'Août 2010 il acceptera l'offre que lui faisait l'équipe anglaise d'Arsenal. Alors il débarquera chez les Gunners contre une indemnité de 6,5 millions d'euros et un contrat de trois ans à la clé tout en étant à son arrivée à la troisième position dans la hiérarchie des défenseurs centraux derrière Laurent Koscielny et Thomas Vermaelen et devant Johan Djourou. Mais suite à la blessure de Vermaelen le coach Arsène Wenger alternera entre l'ancien ajaccien et le suisse Djourou pour former la défense centrale londonienne avec le français Koscielny ce qui l'amènera à finir comme le treizième joueur le plus utilisé avec 33 matchs toutes compétitions confondues ( dont 23 en Premier League avec un but de marqué sans oublier celui qu'il inscrira en coupe d'Europe ) ex-aequo avec Robin Van Persie derrière Andrey Arshavin ( 52 ), Jack Wilshere ( 49 ), Samir Nasri ( 46 ), le duo Gaël Clichy-Marouane Chamakh ( 44 ), Bacary Sagna ( 43 ), le duo Koscielny-Alexandre Song ( 42 ), Theo Walcott ( 38 ), Djourou ( 37 ), Cesc Fabregas ( 36 ) et Tomas Rosicky ( 34 ). Collectivement il prendra part au parcours en Ligue des Champions jusqu'en huitièmes de finale ( perdu 4-3 score cumulé contre Barcelone, futur vainqueur de l'épreuve, ( victoire 2-1 à domicile et défaite 3-1 en Catalogne ) ), à celui en Cup jusqu'en quarts ( défaite 2-0 contre Manchester United ) et à la quatrième place finale acquise en championnat avec une qualification pour le tour préliminaire de la prochaine Ligue des Champions à la clé. Par contre il ne jouera aucune minute en coupe de la Ligue où ses coéquipiers atteindront la finale qu'ils perdront 2-1 contre Birmingham City.
Et même avec un temps de jeu très correct la première année du varois à Arsenal sera jugée bien trop irrégulière par le coach Wenger ce qui amènera ce dernier à ne plus lui faire confiance pour la saison 11/12. Et de ce fait il ne jouera qu'une rencontre de Premier League, deux en Cup, deux en coupe de la Ligue et une en coupe d'Europe ce qui lui vaudra de participer respectivement à la troisième place finale acquise en championnat ( qualification directe pour la Ligue des Champions ), au parcours jusqu'en quarts de finale de la coupe de la Ligue ( perdu 1-0 contre Manchester City ) et à celui jusqu'en huitèmes de la Ligue des Champions ( perdu 4-3 score cumulé contre le Milan AC ( défaite 4-0 en Italie et victoire 3-0 à domicile ) ).
La saison 12/13 sera encore pire pour l'ancien Gone puisqu'elle sera pratiquement blanche du fait qu'il ne disputera qu'une rencontre de Ligue des Champions lui valant ainsi de prendre part au parcours jusqu'en huitièmes de finale de la compétition que les Gunners perdront contre le Bayern Munich, futur vainqueur de l'épreuve, à cause de la règle des buts inscrits à l'extérieur après un 3-3 score cumulé ( défaite 3-1 à domicile et victoire 2-0 en Allemagne ). Et ce sera plus des tribunes qu'il verra ses partenaires atteindre les quarts de finale de la coupe de la Ligue ( perdu aux tirs aux buts contre Bradford City, futur finaliste, après un 1-1 final après prolongations ) et terminer au quatrième rang de la Premier League avec une qualification pour le tour préliminaire de la Ligue des Champions à la clé.
 
SEBASTIEN SQUILLACI
Après deux années plus que difficiles à Arsenal il décidera de revenir en France et plus précisément en Corse afin de s'engager avec le SC Bastia où à 33 ans il rejoindra d'autres trentenaires comme lui tels que Mickaël Landreau, Fehti Harek, François Modesto, Ndri Romaric, Julien Sablé, Araujo Ilan et Toifilou Maoulida pour ne citer qu'eux. Et là son retour en Ligue 1 sera une réussite pour le varois puisqu'il réalisera une saison 13/14 pleine avec 34 matchs toutes compétitions confondues ( dont 31 en championnat avec trois buts de marqués ) ce qui fera de lui le quatrième bastiais le plus utilisé par Frédéric Hantz ex-aequo avec Wahbi Khazri et à quatre unités de Romaric, à deux de Modesto et à une de Ryad Boudebouz. Collectivement le Sporting effectuera un parcours honorable en Ligue 1 en finissant au dixième rang du classement à neuf points du premier relégable et à douze d'une qualification européenne tout en ayant l'une des plus faibles défenses ( 56 derrière AC Ajaccio ( 72 ), Valenciennes ( 65 ) et Sochaux ( 61 ) ).
Malgré des petis pépins physiques l'ancien Gone terminera comme l'un des joueurs les plus utilisés par les deux entraîneurs ( Claude Makélélé puis Ghislain Printant à partir de Novembre 2014 ) avec 29 matchs toutes compétitions confondues ( dont 25 en Ligue 1 tout en précisant qu'il marquera un but en coupe de la Ligue ) derrière Guillaume Gillet ( 44 ), le duo Alphonse Areola-Julian Palmieri ( 39 ), Boudebouz ( 38 ), le duo Modesto-Mathieu Peybernes ( 34 ) Floyd Ayité ( 33 ) et Romaric ( 31 ). Collectivement malgré un changement de coach encours d'année le SCB réalisera une bonne saison 14/15 avec une douzième place finale acquise en Ligue 1 ( à dix points du premier relégable tout en ayant l'une des plus faibles attaques ( 37 derrière Nantes ( 29 ), Metz ( 31 ), Lens ( 32 ) et Rennes ( 35 ) ) et surtout une finale de coupe de la Ligue disputée et perdue 4-0 contre le PSG. A préciser que durant le parcours en coupe de la Ligue l'ancien Gunner inscrira le tir au but victorieux en demi-finale contre Monaco ( après un 0-0 final après prolongations ) mais en finale il se fera expulser à la vingtième minute concédant ainsi un pénalty et laissant ses coéquipiers en infériorité numérique plus de 70 minutes.
Durant l'été 2015 la DNCG décidera d'envoyer le Sporting en Ligue 2 du fait que ce dernier n'avait pas apporté les garanties financières nécessaires pour valider son maintien puisqu'il lui manquait pour cela 1,3 million d'euro. Finalement le SCB conservera sa place en Ligue 1 après le transfert de Boudebouz à Montpellier pour 1,7 million d'euro même si pour cela le club corse aura été obligé de faire appel du fait que la DNCG avait en premier lieu maintenu sa décision car au moment du transfert l'argent n'était pas encore matériellement présent sur les comptes de la formation bastiaise. Et la suite verra le Sporting réaliser un bon championnat de France 15/16 en terminant à une honorable dixième place finale acquise à onze points du premier relégable et à huit d'une qualification européenne tout en ayant l'une des plus faibles attaques ( 36 derrière Troyes ( 28 ) et Nantes ( 33 ) ). A titre personnel l'ancien monégasque sera encore l'un des hommes de base de Bastia en terminant comme le cinquième joueur le plus utilisé des deux entraîneurs ( Printant puis François Ciccolini à partir de Janvier 2016 ) avec 33 matchs toutes compétitions confondues ( dont 31 en Ligue 1 avec deux buts de marqués ) ex-aequo avec Seko Fofana à sept unités de Gaël Danic, à deux du duo Jean-Louis Leca-Julian Palmieri et à une de Floyd Ayité.
La saison 16/17 verra l'ancien ajaccien la commencer comme titulaire mais son année se terminera en Octobre 2016 lorsqu'il sera victime d'une rupture des ligaments croisés du genou droit. Alors avec seulement dix matchs de joués en Ligue 1 il participera à la relégation du SCB en seconde division suite à la dernière place finale acquise à trois points du premier non relégable et à deux du 18ème ( barrage de relégation ) tout en ayant l'attaque la moins prolifique avec seulement 29 buts d'inscrits à égalité avec Nancy. Et pour enfoncer un peu plus le clou après une saison calamiteuse aussi bien sportivement que sur le plan extra-sportif ( un supporter bastiais frappera un joueur du PSG ( le brésilien Lucas ), insultes racistes de certains supporters corses à l'encontre de Mario Balotelli, problèmes en coulisses entre les actionnaires du SCB et une trentaine de supporters et pour finir les supporters et les stadiers du club corse s'en prendront à des joueurs de Lyon ) le Sporting se verra être rétrogradé par la DNCG en National 1 pour ne pas avoir présenté les garanties pour jouer en Ligue 2 ce qui l'amènera à perdre son statut professionnel et de se voir rétrograder finalement en National 3.
Et même s'il avait prolongé son aventure avec Bastia d'une année pendant l'été 2017 Squillaci annoncera en Novembre 2017 l'arrêt de sa carrière professionnelle durant laquelle il aura connu des heures de gloire avec Monaco, Lyon et Séville alors qu'il avait eu un peu de mal à s'imposer au plus haut niveau.
 
SEBASTIEN SQUILLACI
Sélection : 21

Une semaine après avoir fêté ses 24 ans Squillaci honorera sa première sélection en équipe de France à la mi-Août 2004 contre la Bosnie-Herzégovine ( 1-1 ) et s'installera petit à petit en foramnt la charnière centrale des Bleus avec son équipier monégasque Gaël Givet. Mais lorsque Lilian Thuram fera son retour en sélection il disparaîtra du monde tricolore ce qui l'amènera à louper la coupe du monde 2006 en Allemagne.
Ensuite entre Février 2007 et Mai 2008 il rajoutera trois capes à son compteur ce qui lui permettra de faire parti de la liste des Bleus retenus pour disputer l'Euro 2008 organisé en Autriche et en Suisse. Finalement il ne jouera aucune minute de la compétition et ce sera du banc de touche qu'il verra ses coéquipiers ne pas dépasser le premier tour suite à leur quatrième place finale acquise dans le groupe C derrière les Pays-Bas, l'Italie et la Roumanie.
Après avoir disparu du monde des Bleus quelques mois il y réapparaîtra régulièrement à partir de Mars 2009 ce qui lui vaudra d'être retenu pour disputer la coupe du monde 2010 en Afrique du Sud. Mais pour son premier tournoi mundial rien ne se passera comme prévu du fait qu'il ne jouera qu'une seule rencontre ( contre l'Afrique du Sud ), que les Bleus vivront une élimination dès le premier tour suite à une quarième place finale acquise dans le groupe A ( derrière l'Uruguay, le Mexique et l'Afrique du Sud ) et surtout que la France fera la une de la presse mondiale à cause d'une grève de ses joueurs qui marquera l'histoire de l'équipe tricolore ( suite à l'exclusion de Nicolas Anelka après ses insultes envers le sélectionneur Raymond Domenech ).
Et après cette désastreuse coupe du monde Squillaci verra son histoire se terminer définitivement avec l'équipe de France bloquant ainsi son compteur à 21 sélections.
 
SEBASTIEN SQUILLACI
RECONVERSION :

Dès l'arrêt de sa carrière Squillaci deviendra l'entraîneur des moins de quinze ans du FC Bastia-Borgo.

PALMARES :

-2002 : Champion de France de D2 ( AC Ajaccio ).
-2003 : Vainqueur de la coupe de la Ligue ( Monaco ).
-2004 : Finaliste de la Ligue des Champions ( Monaco ).
-2007 : Champion de France et finaliste de la coupe de la Ligue ( Lyon ).
-2008 : Champion et vainqueur de la coupe de France ( Lyon ).
-2010 : Vainqueur de la coupe d'Espagne ( Séville ).
-2015 : Finaliste de la coupe de la Ligue ( Bastia ).

BILAN DE CARRIERE :

-1996 à 1998 : Toulon ( France ) 6 matchs joués.
-1998 à 2000 : Monaco ( France ) 0 match joué.
-2000 à 2002 : AC Ajaccio ( France ) 69 matchs joués pour sept buts de marqués.
-2002 à 2006 : Monaco ( France ) 117 matchs joués pour onze buts de marqués.
-2006 à 2008 : Lyon ( France ) 62 matchs joués pour trois buts d emarqués.
-2008 à 2010 : Séville ( Espagne ) 48 matchs joués pour un but de marqué.
-2010 à 2013 : Arsenal ( Angleterre ) 24 matchs joués pour un but de marqué.
-2013 à Nov 2017 : Bastia ( France ) 97 matchs joués pour cinq buts de marqués.
 
 
 


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#Posté le samedi 28 mars 2020 13:44

Modifié le samedi 28 mars 2020 13:55

GERARD FARISON

 
Joueur emblématique de l'AS Saint-Etienne Gérard Farison ne portera que le maillot Vert pendant ses treize années de professionnalisme ce qui l'amènera à être encore aujourd'hui le cinquième stéphanois ayant joué le plus de fois avec l'ASSE avec 410 matchs toutes compétitions confondues. Et en tant que pur stéphanois il se construira un beau palmarès avec cinq titres de champion de France, trois coupes nationales et sans oublier de préciser qu'il disputera une demi-finale et une finale de coupe des Champions qu'il les perdra toutes les deux contre le Bayern Munich.
 
GERARD FARISON
Gérard Farison est né en 1944 à Terrenoire dans la Loire. Passionné de ballon il apprendra ses premiers rudiments footballistiques au sein du petit club de sa commune natale pour devenir un bon élément pouvant évoluer sur le flanc gauche du terrain, tout d'abord comme ailier avant de devenir latéral. Disposant d'un potentiel intéressant ce sera logiquement qu'il rejoindra à l'adolescence le grand club régional qu'était l'AS Saint-Etienne du fait que sa commune natale était située dans la banlieue stéphanoise et qu'elle sera rattachée à Saint-Etienne à partir de 1970. Alors il appronfondira sa formation de joueur gaucher tout en gravissant les équipes des jeunes Verts et en inscrivant une première ligne à son palmarès en s'adjugeant la coupe Gambardella en 1963 aux dépens du CASG Paris sur le score de 3-0. Ensuite sa progression prendra un peu de retard par rapport à d'autre joueurs du fait qu'avant d'être intégré au sein de la réserve professionnelle de l'ASSE il sera longtemps cantonné à évoluer avec la troisième équipe du club stéphanois qui évoluait en Promotion d'Honneur tout en précisant qu'en parallèle du football il réussira à obtenir un CAP de mécanicien gareur ( régleur de métiers à tisser ).
Et il aura vraiment pris du retard en cours de route puisqu'il ne signera son premier contrat de stagiaire que pendant l'été 1967 alors qu'il avait déjà 23 ans. Et ensuite l'entraîneur de l'équipe première, Albert Batteux, décidera de l'incorporer en cours de saison 67/68 au groupe des Verts, qui avaient été sacrés champions de France l'année passée, ce qui amènera le forézien pure souche de cotoyer durant les séances d'entraînements des joueurs chevronnés tels que Georges Carnus, Bernard Bosquier, Robert Herbin, Georges Polny, Vladimir Durkovic, Aimé Jacquet, Roland Mitoraj, Rachid Mekhloufi, André Fefeu, Frédéric N'Doumbé et les prometteurs Georges Bereta, Jean-Michel Larqué, Hervé Revelli, Salif Keita et voire Patrick Parizon, Francis Camérini et Patrick Revelli entre autres. Alors il savait très bien que ça serait plus que difficile pour lui d'engranger un temps de jeu plus que conséquant au sein d'un effectif aussi riche en individualités. Finalement le coach Batteux le lancera dans le grand bain de l'élite française en le faisant évoluer comme ailier gauche contre Lille à la mi-Juin 1968 ( victoire 3-0 ). Et cette seule rencontre de jouée lui permettra d'inscrire son nom à tous ceux des autres Verts au titre de champion de France remporté avec onze points d'avance sur l'OGC Nice tout en ayant la meilleure attaque ( 78 ) et défense ( 30 ). Par contre il ne pourra pas rajouter à son palmarès l'acquisition de la coupe de France que ses partenaires gagneront 2-1 contre les Girondins de Bordeaux.
Il s'entraînera bien avec l'équipe première durant la saison 68/69 mais il sera seulement présent sur la feuille de match du Challenge des Champions que Saint-Etienne s'adjugera à la mi-Août 1968 aux dépens de Bordeaux sur le score de 5-3. Ensuite ce sera du banc de touche ou des tribunes qu'il verra les Verts se faire éliminer dès le premier tour de la coupe des Champions par le Celtic Glasgow ( victoire 2-0 à domicile et défaite 4-0 en Ecosse ) et remporter son troisième titre national d'affilée avec cette fois-ci deux longueurs d'avance sur Bordeaux tout en ayant la défense la plus imperméable avec seulement 26 buts d'encaissés.
Même barré par Bosquier, Herbin, Polny, Durkovic, José Broissart et Camérini il se verra quand même totaliser dix rencontres de D1 lui valant ainsi d'étoffer son palamrès d'un second titre de champion de France conquis cette fois-ci avec onze points d'avance sur Marseille tout en ayant la meilleure attaque ( 88 ) et défense ( 30 ). Par contre ce sera comme spectateur qu'il verra ses coéquipiers remporter le Challenge des Champions ( 3-2 contre l'O.M ), se faire éliminer en huitièmes de finale de la coupe des Champions ( 3-1 score cumulé contre le Légia Varsovie ( deux défaites par 2-1 et 1-0 ) ) et s'adjuger la coupe de France aux dépens du FC Nantes ( 5-0 ).
Suite aux pépins physiques de Polny le coach Batteux décidera de vraiment donner sa chance au natif de Terrenoire et là ce dernier ne ratera pas la chance qu'on lui donnait de prouver qu'il avait les qualités pour s'imposer enfin au sein de l'équipe première de l'ASSE. Et la saison 70/71 sera l'année de l'éclosion de Farison du fait qu'il accumulera quarante matchs toutes compétitions confondues dont 35 en D1 et avec 33 titularisations à ce niveau tout en devenant l'un des premiers latéraux modernes du fait qu'il montait souvent sur son aile sans oublier d'être un intraitable défenseur. Vraiment pas mal comme statistiques pour une première saison pleine et en plus cette drnière lui permettra de terminer comme le quatrième Vert le plus utilisé par Batteux à égalité avec Bereta à trois unités de Keita, à deux de Camérini et à une de Herbin. Et collectivement il s'inclinera 2-0 contre Nice lors du Challenge des Champions et terminera vice-champion de France à quatre longueurs de Marseille. A préciser qu'il profitera de cette année là pour disputer sa première rencontre européenne en prenant part au premier tour de la coupe des Champions que Sainté perdra 3-1 score cumulé contre Cagliari ( défaite 3-0 en Italie et victoire 1-0 à domicile ).
Après avoir signé son premier contrat professionnel lors de la saison 70/71 à plus de 26 ans celui qu'on surnommait Tachan, à cause de sa ressemblance avec le chanteur Henri Tachan, confirmera sa bonne année précédente en enregistrant un temps de jeu conséquent malgré une forte concurrence au sein de la défense stéphanoise ( en plus de Farison le coach Batteux pouvait également compter sur Christian Lopez, Herbin, Daniel Sanlaville, Polny, José Broissart, Pierre Repellini et Alain Merchadier ) alors que trois titulaires indiscutables comme Bosquier, Camérini et Durkovic avaient quitté le Forez durant l'été 1971. Finalement sa saison 71/72 se soldera avec 29 rencontres toutes compétitions confondues ( dont 27 en D1 en tant que titulaire ) ce qui fera de lui le sixième forézien le plus utilisé ex-aequo avec Parizon derrière les duos Herbin-Larqué ( 42 ) et Bereta-Patrick Revelli ( 38 ) et Keita ( 34 ). Collectivement l'ASSE se fera sortir dès le premier tour de la coupe UEFA par Cologne ( 1-1 à domicile et défaite 2-1 en République Fédérale d'Allemagne ) et arrachera une moyenne sixième place finale en championnat à douze longueurs du champion marseillais et à une d'une qualification européenne ( tout en ayant l'attaque la plus prolifique avec 81 buts de marqués ).
La nomination de Robert Herbin au poste d'entraîneur en lieu et place de Batteux sera bénéfique pour le stéphanois pure souche puisque le nouveau coach des Verts l'installera comme titulaire indiscutable sur le flanc gauche de la défense de l'ASSE. Alors sa saison 72/73 se soldera avec 37 matchs toutes compétitions confondues ( dont 32 en D1 avec son tout premier but de marqué à ce niveau ) ce qui fera de lui le sixième stéphanois le plus utilisé à sept unités d'Ivan Curkovic, à six du duo Osvaldo Piazza-Bereta, à cinq de Larqué et à deux de Jacques Santini. Collectivement pour la première année de Herbin comme coach les Verts réaliseront des bons parcours au sein des compétitions domestiques en atteignant les quarts de finale de la coupe de France ( perdu 5-3 score cumulé contre le FC Nantes, futur finaliste, ( victoire 2-0 à domicile et défaite 5-1 en Loire-Atlantique ) ) et finissant quatrièmes du championnat à neuf points de Nantes, à quatre de Nice et à deux de Marseille.
La saison 73/74 verra l'ASSE revenir sur le devant de la scène du football français en réalisant un joli doublé coupe-championnat grâce à sa victoire finale en coupe de France contre Monaco ( 2-1 ) et aux huit points d'avance sur le tenant du titre, Nantes, tout en ayant les secondes meilleures attaques ( 74 derrière Angers ( 77 ) ) et défenses ( 40 derrière Nîmes ( 37 ) ). A titre personnel le latéral gauche stéphanois sera l'un des grands artisans de la belle année forézienne en accumulant 41 matchs toutes compétitions confondues ( dont 34 en D1 avec quatre buts de marqués ( pas mal pour un défenseur ) ) ce qui fera d elui le sixième le plus utilisé par Herbin à égalité avec Piazza et Repellini et à six longueurs de Curkovic, à qautre de Bereta, à deux de Christian Synaeghel et à une du duo Larqué-Patrick Revelli.
Le natif de Terrenoire manquera les trois premiers mois de la saison 74/75 à cause d'une blessure à une cuisse contractée lors de la réception d'après-match après la victoire en coupe de France de l'année passée. Mais même en débutant la saison plus tard que ses coéquipiers il réussira à enregistrer de bonnes statistiques avec 41 matchs toutes compétitions confondues ( dont 26 en D1 ) faisant tout de même de lui le huitième stéphanois le plus utilisé derrière Curkovic ( 54 ), le duo Lopez-Piazza ( 53 ), Hervé Revelli ( 52 ), le duo Dominique Bathenay-Larqué ( 48 ) et Patrick Revelli ( 45 ). Collectivement l'ASSE étoffera son palmarès d'un nouveau doublé coupe-championnat conquis cette fois-ci par une victoire finale en coupe de France contre Lens ( 2-0 ) et à ses neuf points d'avance sur Marseille tout en ayant les meilleures attaques (70 ) et défenses ( 39 ). Mais le plus que vivra l'équipe stéphanoise pendant cette année 74/75 sera l'épopée qu'elle effectuera jusqu'en demi-finales de la coupe des Champions qu'elle perdra 2-0 score cumulé contre le teant du titre et futur vainquer de l'épreuve, le Bayern Munich, ( 0-0 à domicile et défaite 2-0 en Allemagne ).
La saison 75/76 verra Sainté remporter son troisième titre de champion de France avec cette fois-ci trois points d'avance sur Nice tout en ayant la deuxième meilleure attaque ( 68 ex-aequo avec Reims derrière Metz ( 72 ) ) et la défense la plus imperméable avec 39 buts d'encaissés. Mais cette année là le club stéphanois sera encore bien présent en coupe des Champions en réalisant un mémorable parcours jusqu'en finale qu'il perdra 1-0 contre le Bayern Munich après avoir sorti le KB Copenhague, les Glasgow Rangers, le Dynamo Kiev et le PSV Eindhoven aux tours précédents. A titre personnel Tachan sera égal à lui-même en finissant comme le neuvième Vert le plus utilisé avec 37 rencontres toutes compétitions confondues ( dont 28 en D1 ) à onze unités du duo Curkovic-Lopez, à huit de Piazza, à sept de Bathenay, à cinq de Larqué, à quatre du duo Gérard Janvion-Santini et à deux de Hervé Revelli.

N.B :

Le gros regret de sa carrière et de cette saison 75/76 sera de ne pas avoir participé à la finale de la coupe des Champions à cause d'une blessure contractée huit jours auparavant dans un match houleux contre Nîmes.  

La saison 76/77 verra les foréziens ne pas dépasser les quarts de finale de la coupe des Champions ( défaite 3-2 score cumulé contre Liverpool, futur vainqueur de l'épreuve, ( victoire 1-0 à domicile et défaite 3-1 en Angleterre ) ) et terminer que cinquième du championnat ( à treize points du champion nantais ) mais finira l'année en remportant la coupe de France aux dépens du Stade de Reims sur le score de 2-1. A titre personnel le latéral gauche réalisera sa saison la plus aboutie depuis le début de sa carrière avec 51 matchs toutes compétitions confondues ( dont 36 en D1 avec deux buts d'inscrits ) ce qui fera de lui le quatrième Vert le plus utilisé à égalité avec Piazza et Bathenay à trois longueurs de Lopez et à deux du duo Curkovic-Patrick Revelli.
La saison 77/78 verra l'ASSE réaliser une année plus que moyenne en se faisant éliminer dès le premier tour de la coupe des Coupes ( 3-1 score cumulé contre Manchester United ( 1-1 à domicile et défaite 2-0 en Angleterre ) et en finissant que septième du championnat à onze points du champion monégasque et à huit d'une qualification européenne. A titre personnel Tachan sera toujours l'une des pièces maîtresses de Saint-Etienne ce qui l'amènera à terminer au second rang du classement des stéphanois les plus utilisés avec 41 rencontres toutes compétitions confondues ( dont 36 en D1 ) ex-aequo avec Lopez à une unité de Curkovic.
Avec les arrivées de Jean-Marie Elie et Bernard Lacombe et le retour de prêt de Jean-François Larios le club stéphanois réalisera un bon championnat de France 78/79 en terminant à une bonne troisième position finale à deux points du champion strasbourgeois lui valant ainsi d'être qualifié pour la prochaine coupe UEFA. A titre personnel Farison tiendra de nouveau son rang en accumulant 38 matchs toutes compétitions confondues ( dont 34 en D1 ) ce qui fera de lui le dixième Vert le plus utilisé derrière les duos Lopez-Elie ( 43 ), Santini-Dominique Rocheteau ( 42 ) et Piazza-Janvion ( 41 ) et le trio Curkovic-Larios-Jacques Zimako ( 40 ).
Avant d'annoncer l'arrêt de sa carrière professionnelle à l'issue de la saison 79/80 il enregistrera encore à plus de 35 ans des statistiques plus que satisfaisantes avec 44 rencontres toutes compétitions confondues ( dont trente en D1 ) ce qui fera de lui comme à son habitude l'un des Verts les plus utilisés derrière Curkovic ( 52 ), Santini ( 51 ), le trio Larios-Elie-Zimako ( 50 ), Janvion ( 48 ), Michel Platini ( 47 ) et Johnny rep ( 46 ). Et avant de quitter le monde pro il réalisera une bonne année collectivement en atteignant les quarts de finale de la coupe UEFA ( perdu contre le futur finaliste, le Borussia Mönchengladbach, ( deux défaites par 4-1 et 2-0 ) ) et les quarts de la coupe de France ( perdu à cause de la règle du but inscrit à l'extérieur contre Montpellier après un 1-1 score cumulé ( 0-0 dans l'Hérault et 1-1 à domicile ) ) et sans oublie rla troisième place finale acquise en championnat à trois points du champion nantais.
 
A préciser qu'en treize années de professionnalisme Farison accumulera 410 matchs toutes compétitions confondues sous la tunique de l'AS Saint-Etienne dont 329 en première division. Et ses statistiques enregistrées lui valent encore aujourd'hui le cinquième Vert ayant le plus joué pour le club forézien derrière René Domingo ( 533 ), Robert Herbin ( 492 ), Loïc Perrin ( 469 ) et Christian Lopez ( 452 ) et juste devant Hervé Revelli ( 402 ), Jean-Michel Larqué ( 399 ) et Gérard Janvion ( 394 ).
 
GERARD FARISON
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GERARD FARISON
Sélection : 1

Plus d'un mois après avoir fêté ses 32 ans Farison sera appelé en équipe de France en Avril 1976 par le sélectionneur Michel Hidalgo pour disputer un match amical contre la Pologne ( victoire 2-0 ). Ce sera son unique sélection en Bleu même s'il jouera une rencontre de gala non officielle contre le Borussia Mönchengladbach en Août 1976 ( victoire 4-2 ) et qu'il sera convoqué une dernière fois en Septembre 1976 pour affronter le Danemark ( 1-1 ) mais sera obligé de déclarer forfait pour se consacrer exclusivement à Saint-Etienne.
 
GERARD FARISON
RECONVERSION :

Dès l'arrêt de sa carrière professionnelle Farison rejoindra l'équipe amateure de l'ES Fréjus pour y être entraîneur-joueur en Division d'Honneur Régionale ( quatre saisons ) tout en étant en parallèle éducateur-moniteur sportif à la Mairie de la commune fréjusienne jusqu'en 2002 date à laquelle il prendra sa retraite.

PALMARES :

-1968 : Champion de France ( Saint-Etienne ).
-1970 : Champion de France ( Saint-Etienne ).
-1974 : Champion et vainqueur de la coupe de France ( Saint-Etienne ).
-1975 : Champion et vainqueur de la coupe de France ( Saint-Etienne ).
-1976 : Champion de France et finaliste de la coupe des Champions ( Saint-Etienne ).
-1977 : Vainqueur de la coupe de France ( Saint-Etienne ).
 
BILAN DE CARRIERE :

-1967 à 1980 : Saint-Etienne ( France ) 329 matchs joué spour sept buts de marqués.
 
 
 
 



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#Posté le mercredi 25 mars 2020 11:47

Modifié le mercredi 25 mars 2020 12:14

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