
Roger Lemerre est né en 1941 à Bricquebec dans la Manche. Ce sera dans le club de sa commune natale qu'il prendra sa première licence de footballeur pour apprendre toutes les gammes footballistiques pour devenir un bon défenseur. Il quittera Bricquebec à 19 ans pour aller évoluer lors de la saison 60/61 à Saint-Lô où il se fera remarquer par quelques clubs plus huppés et ce sera finalement Sedan-Torcy, un club de D1 qui venait de remporter la coupe de France , qui réussira à l'engager.
Pour sa première année dans les Ardennes, il aura la confiance de son coach Louis Dugauguez qui l'utilisera quinze matchs et surtout arrivera à inscrire ses quatre premiers buts au niveau professionnel. Ses bonnes statistiques serviront aussi bien que celles des Synakowski Maryan, Emilio Salaber, Claude Brény et Maxime Fulgenzi à la très bonne cinquième position des Sangliers pendant le championnat 61/62 à seulement cinq points du champion rémois. Pas mal pour un jeunot de vingt qui découvrait l'élite. Pour la saison 62/63 le club ardennais fera encore un excellent parcours en championnat qu'ils termineront à une magnifique troisième place à quatre points du champion monégasque mais pendant cet exercice Roger n'y participera pas trop car il n'aura disputé en tout et pour tout que six rencontres pour un petit but. A préciser également que les Sangliers iront jusqu'en finale de la coupe Drago ( compétition qui comprenait les équipes professionnelles éliminées avant les quarts de finale de la coupe de France ) qu'ils perdront 5-2 contre Sochaux. La saison 63/64 sera plus délicate que les deux précédentes car Sedan ne terminera qu'à la douzième position à égalité avec Nîmes, Rouen et le Stade Français et ce sera le club parisien qui disputera le barrage de relégation en compagnie du RC Paris à cause de leur plus mauvaise différence de buts. Pendant ce championnat Lemerre aura eu plus de temps de jeu en disputant seize rencontres pour sept buts ( qui sera le meilleur total de sa carrière ). En trois exercices le voilà tout de même avec douze d'inscrits pas mal pour un défenseur central. Pour la saison 64/65 deviendra titulaire au sein de la charnière centrale au côté de Pierre Barré mais pour son premier exercice complet ( 31 matchs pour quatre buts ) ce sera très éprouvant car tout au long de l'exercice les sedanais lutteront dans la zone rouge du classement et arriveront à se maintenir en finissant quatorzième à égalité avec le Stade Français et Rouen et à cause d'une plus mauvaise différence de buts ce seront les normands qui disputeront le barrage de relégation en compagnie de Nîmes. Cela fait quand même deux ans de suite que les Sangliers jouent avec le feu. Mais par contre en coupe de France les ardennais retrouveront le sourire car Roger et les Marc Rastoll, Charles Gasparini, Jacques Marie, Yves Herbet et André Perrin iront jusqu'en finale où après avoir fait un match nul 2 à 2 ( après avoir mené 2-0 ) ils perdront 3 à 1 lors de la seconde manche. Dommage car ils auraient mérité de l'emporter également. Pour le championnat 65/66 où Lemerre ne manquera aucune rencontre de la saison Sedan fera un bien meilleur exercice en assurant de cinq points son maintien . Pendant l'été 1966 Sedan fusionnera avec le RC Paris pour sauver le statut professionnel du club parisien et le mélange des clubs sera bien bénéfique car le club réalisera un très bon championnat 66/67 où Roger et ses coéquipiers finiront à une surprenante cinquième place à douze points du champion stéphanois. Ce ne sera pas la même chose pour la saison 67/68 car Lemerre ( qui ne manquera aucune rencontre ) et son club lutteront plus pour le maintien et assureront leur maintien en finissant dixième avec quatre points d'avance sur Strasbourg et Lens les deux clubs qui devaient disputer le barrage de relégation. Le natif de la Manche fera pour la seconde année de suite un championnat ( 68/69 ) complet et en plus pas trop mal du tout car avec ses partenaires il emmènera son club jusqu'à la cinquième place mais avec un retard de quatorze points sur le champion stéphanois. Et grâce à ses saisons très régulières certains clubs seront attirés par ses qualités et finalement il choisira de s'engager avec le FC Nantes qui jouait assez souvent les premières places.

En Loire-et- Atlantique il s'imposera directement au sein de la charnière centrale des Canaris où il aura comme partenaire Jean-Claude Osman. Roger ne loupera que deux rencontres de toute la saison 69/70 et positionnera son club en milieu de tableau plus précisément à la dixième position mais véritablement trop loin de la première place ( 23 points ). L'ancien sedanais et les Gabriel De Michèle, Georges Eo, Bernard Blanchet, Philippe Gondet et Henri Michel se rattraperont en coupe de France où ils atteindront la finale mais cette dernière sera catastrophique car les Canaris prendront une vraie raclée par l'ASSE de Salif Keita et Georges Bereta ( cinq à zéro ). Encore une occasion de ratée pour Lemerre afin d'inscrire un premier titre à son palmarès. Et comme les Verts avaient également remporté le championnat le FC Nantes disputera la coupe des Coupes l'année suivant grâce à sa place de finaliste dans la coupe nationale. Pour la saison 70/71 Osman sera déplacé sur le flanc droit de la défense et ce sera pour cette raison que Roger sera associé en charnière centrale avec le nouveau venu Patrice Rio. Au niveau personnel l'ancien sedanais fera encore un grand championnat ( 37 matchs joués sur 38 ) et au niveau collectif il emmènera son club avec l'aide de ses coéquipiers jusqu'à la troisième position avec un retard de neuf points sur le champion marseillais et cette place vaudra aux nantais d'être qualifié pour la prochaine coupe UEFA. Pendant cette année là Lemerre connaîtra ses premiers matchs européens ( quatre et ce seront les seuls de sa carrière ) en disputant la coupe des Coupes où les Jaunes iront jusqu'aux huitièmes de finale ( éliminés par Cardiff avec une défaite cinq à un à l'aller ).

Pendant l'été 1971 Roger se laissera tenter par le projet que lui proposaient les dirigeant de Nancy ainsi que du coach Antoine Redin. Et entouré de joueurs expérimentés tels que Charles Gasparini, Yves Herbet, Patrick Vicq, Jean Palka, Finn Wiberg et Hubert Zénier ainsi que de petits jeunes comme Roger Formica, Antoine Kuszowski et Yves Mariot, l'ancien nantais, qui ne manquera qu'une rencontre, et le club lorrain feront un honorable championnat 71/72 en terminant en milieu de tableau ( dixième ) assurant largement leur maintien et n'étant pas trop loin de la dernière place qualificative pour l'UEFA ( à trois points ). Pour la saison 72/73 Roger verra arriver dans le groupe nancéien des jeunes joueurs nommés Michel Platini et Carlos Curbelo qui apparaîtront quelques matchs en championnat. Lemerre lui ne manquera aucune rencontre de cet exercice là et avec ses coéquipiers il emmènera l'ASNL jusqu'à une belle sixième place loupant de six points une qualification européenne.

Ce sera sur cette belle année que Roger décidera de rallier le Nord afin de s'engager avec le RC Lens qui venait d'être promu en D1. L'ancien nancéien fera encore une fois un championnat sans absence et avec un bon groupe ( André Lannoy, Jacques Marie, Jean-Marie Elie, Farés Bousdira, Eugeniusz Faber ) il arrivera à maintenir le promu lensois en le positionnant à la dixième place avec seulement trois points d'avance sur le premier relégable, Nancy l'ancien club de Lemerre. La saison 74/75 sera un peu plus délicate pour Roger car le recrutement de Didier Notheaux lui causera la perte de sa place de titulaire au sein de la charnière centrale au côté de Jacques Marie. De ce fait il ne disputera que 19 rencontres du championnat où les Sangs et Ors se classeront septième mais ne participera à aucun match de la belle épopée en coupe de France où les lensois atteindront la finale qu'ils perdront deux à zéro contre le Saint-Etienne de Jacques Santini et Patrick Revelli. Heureusement que l'ancien sedanais n'aura pas participé à cette compétition sinon cela lui aurait fait trois finales de perdues. Une vraie poisse. Et ce sera sur cette saison que Roger décidera de mettre un terme à sa carrière durant laquelle il faisait pratiquement des championnats sans manquer beaucoup de rencontres.

Sélection : 6
Lemerre aura connu sa première sélection en équipe de France en Septembre 1968 pour un match amical contre la RFA ( 1-1 ) en entrant à la 67ème minute à la place de Jean Baeza. Ensuite il ajoutera cinq autres capes jusqu'en Avril 1971 dont la mémorable humiliation subie par la France contre l'Angleterre en amical en Mars 1969 ( 5-0 ).
RECONVERSION :
Aussitôt sa retraite prise, le Red Star, qui venait d'être relégué, viendra lui proposer de devenir l'entraîneur de l'équipe parisienne et même sans avoir d'expérience de ce métier Roger acceptera tout de suite. Et là à la surprise générale il réussira à motiver un groupe composé de bons joueurs ( Jean-Michel Fouché, Victor Hugo Jarra, Georges Eo, André Merelle, Jean-Jacques Amorfini, Daniel Bourgeois, Jean-Claude Bras, Philippe Redon voire même Roger Magnusson ) et l'emmènera jusqu'à la seconde place du groupe B loupant de trois points la première position occupée par Angers. Et comme il y avait une troisième place de disponible pour accéder à l'élite Lemerre et sa troupe avait encore une chance d'y arriver mais il fallait vaincre Laval qui avait terminé second du groupe A. Mais les parisiens n'arriveront pas à se défaire des lavallois en subissant deux défaites ( 1-0 à l'aller et 2-1 au retour ). Dommage car cela aurait été l'apothéose pour Roger de faire remonter le club parisien en D1 dès sa première année comme coach. La saison 76/77 sera moins réussie car Lemerre et sa troupe ne termineront qu'à la neuvième place à neuf points de la seconde. Les années se suivent mais ne se ressemblent pas. La saison 77/78 aura deux visages pour le Red Star. Le premier sera que Roger et ses hommes feront un excellent championnat qui les verra terminer au pied de la deuxième place synonyme de disputer le barrage d'accession à la D1 ( à deux points ) et le second sera que le club sera obligé de déposer le bilan et de ce fait sera relégué en division d'honneur.
Et là après trois bonnes saisons avec le Red Star ce sera le RC Lens ( son dernier club professionnel ), qui venait d'être relégué, qui viendra le chercher pour lui proposer la mission de faire remonter les Sangs et Ors aussi sec parmi l'élite. Et là en possession d'un groupe digne de la D1 ( Hervé Flak, Didier Sénac, Michel Joly, Daniel Leclercq, Robert Sab, Joachim Marx, Pascal Françoise et Robert Llorens ) Roger réussira à atteindre la seconde position à trois points du Stade Brestois d'Alain De Martigny et Louis Floch. Mais cette place vaudra aux lensois de disputer le match entre deuxième et après avoir éliminé l'Olympique Avignonnais ( 2-0 pour les avignonnais à l'aller et 4-1 après prolongation pour les nordistes ) les joueurs de Lemerre se débarrasseront du 19ème de l'élite, le Paris FC, en les battant aux tirs aux buts après deux 0-0 ( aller et retour ). Mission accomplie pour Roger mais il n'ira pas en D1 avec le Racing car il restera en D2 pour s'occuper du Paris FC qui venait lui-même de faire descendre à l'échelon inférieur.
Et là il aura la même mission qu'il avait eu l'année précédente par les dirigeants du RC Lens c'est-à-dire faire remonter le Paris FC aussi sec parmi l'élite. Et là avec des garçons comme Franck Tanasi, Pascal Rousseau, Bruno Knockaert et Bernard Vendrely il ne réussira pas ce pari car il emmènera son club jusqu'à la septième place à sept points de la seconde position synonyme de disputer le match entre deuxième. Mais par contre Lemerre et ses hommes créeront la vraie surprise de la coupe de France 79/80 où ils atteindront les demi-finales qu'ils perdront quatre à trois sur les deux matchs ( défaite des parisiens trois à un à l'aller et victoire deux à un au retour ) contre un autre pensionnaire de D2, l'US Orléans. Par contre la saison 80/81 sera très pénible pour les nerfs de Lemerre et le Paris FC car pendant tout le championnat ils se battront pour éviter la relégation et y arriveront en terminant in-extrémis à la quinzième position avec seulement un petit point qui le séparait du premier relégable, l'UES Montmorillon.
Roger ne repartira pas pour un nouvel exercice et de ce fait restera sans profession jusqu'en Novembre 1981 date à laquelle les dirigeants du RC Strasbourg lui proposeront le poste de coach afin de remplacer Raymond Hild qui venait d'être limogé pour cause de mauvais résultats. Et avec des joueurs comme Félix Lacuesta, Jean-François Jodar, Léonard Specht, Rémy Vogel, Jean-Jacques Marx, Francis Piasecki, Joël Tanter, Vicky Peretz et Plivier Rouyer, l'ancien coach lensois réussira à maintenir l 'équipe alsacienne en la remontant jusqu'à la dixième position avec une petite marge de sécurité de six points, sur Valenciennes qui devait disputer le barrage de relégation. La saison 82/83 sera tout aussi délicate voire plus car entre-temps Strasbourg aura perdu des cadres comme Tanter, Specht, Marx, Peretz et Roland Wagner et de ce fait Lemerre luttera tout le championnat pour éviter la zone rouge et finalement arrivera à maintenir son équipe en D1 grâce à la quinzième place finale acquise par le Racing ( avec deux points d'avance sur Tours le 18ème ).
Pour la saison 83/84 Roger quittera la France pour s'exiler en Tunisie afin de prendre les rênes de l'Espérance Sportive de Tunis.
Au bout d'une année il reviendra en France mais ne reprendra son job de coach que pour la saison 85/86 lorsqu'il s'engagera de nouveau avec le Red Star. Avec une équipe un peu faiblarde il ne pourra mieux faire qu'une seizième place évitant de quatre points la relégation.
Pendant l'été 1986 la Fédération Française de Football lui proposera de prendre en main l'équipe de France Militaire, poste qu'il occupera pendant dix longues années. Pendant ce long bail, après avoir emmené sa troupe à la quatrième place deux années consécutives à la coupe du monde de football militaire en 1991 et 1993, il réussira avec la génération des Wagneau Eloi, Olivier Dacourt, david Sommeil, Vikash Dhorasoo, Geoffrey Toyes, Vincent Fernandez et Charles-Edouard Coridon de remporter la compétition en 1995 en battant en finale l'Iran par un but à zéro.
De 1996 à Mars 1997 Roger sera sans job mais au mois de Mars il sera appelé au chevet du RC Lens afin d'essayer de le sauver d'une descente en D2 qui se profilait à l'horizon à cause des mauvais résultats. Alors il acceptera de remplacer Slavoljub Muslin mais imposera Daniel Leclercq comme adjoint et ce duo arrivera à maintenir les Sangs et Ors en finissant treizième avec huit d'avance sur Nancy le premier relégable. Mission accomplie et Roger quittera sa fonction et laissera la place à Leclercq qui remportera le championnat de France la saison suivante.
En 1998 il deviendra l'adjoint d'Aimé Jacquet le sélectionneur de l'équipe de France et sera présent lorsque la France remportera la coupe du monde 1998 en battant en finale le Brésil par trois buts à zéro.
Et après le sacre mondial des Bleus Jacquet quittera son poste de sélectionneur et ce sera Lemerre qui prendra sa succession. Et là il amènera les Didier Deschamps, Zinedine Zidane, Patrick Vieira, Fabien Barthez et tous les autres à la victoire finale pendant l'Euro 2000 où ils battront l'Italie par deux buts à un grâce au but en or de David Trézéguet ( Sylvain Wiltord avait égalisé dans les dernières secondes du temps additionnel. Par contre pour la coupe du monde 2002 ce sera un vrai désastre car l'équipe de France se fera éliminer dès le premier tour sans avoir marqué le moindre but et de ce fait obtiendra la pire performance pour un champion du monde en titre. Suite à cet échec, Roger sera remercié par la fédération française et sera remplacé par Jacques Santini.

Lemerre retrouvera vite une place et ce sera le poste de sélectionneur de l'équipe nationale de Tunisie avec l'objectif de remporter la CAN 2004 qui se déroulera chez elle. Et là avec les Ali Boumnijel, Hatem Trabelsi, Selim Benachour, Santos, Zied Jaziri et Adel Chedli, Roger réussira l'invraisemblable en remportant la coupe d'Afrique ( la première de l'histoire de la Tunisie ) en battant en finale le Maroc de Noureddine Naybet et Abdeslam Ouaddou par deux buts à un. Le français sera considéré comme un vrai héros. Et en plus il qualifiera sa sélection pour la coupe du monde 2006 où elle ne dépassera pas le premier tour. Après son échec en coupe du monde certaines voix demanderont sa démission ( car avant le mundial son contrat avait été renouvelé de deux ans comme ça avait été fait en 2002 avec l'équipe de France ) mais Lemerre ne capitulera pas. Pour la CAN 2006 Roger et sa troupe ne pourront rééditer leur exploit de 2004 mais tiendront leur rang de champion d'Afrique en allant jusqu'aux quarts de finale qu'ils perdront contre le Nigéria aux tirs aux buts. La CAN 2008 sera du même car la Tunisie ira encore une fois jusqu'en quarts qu'elle perdra contre le futur finaliste le Cameroun trois à deux après prolongation. Aussitôt la CAN terminée, un membre du bureau fédéral de la fédération tunisienne de football annoncera pendant une conférence de presse que le contrat de Lemerre à la tête de la sélection nationale ne sera pas reconduit après le 30 Juin 2008. A cette heure c'est toujours Roger qui détient le record du mandat le plus long au poste de sélectionneur de la Tunisie ( six ans ).

Avant même de quitter la sélection tunisienne, Roger sera nommé sélectionneur de l'équipe nationale du Maroc en Mai 2008. Dès qu'il prendra ses fonctions en Juillet 2008 la première mission que la fédération marocaine lui donnera sera de qualifier le Maroc pour la CAN 2010 et la coupe du monde 2010. Mais les résultats ne suivront pas tant pour les éliminatoires de la CAN et de la coupe du monde et de ce fait soit presqu'un an après sa prise de fonction Lemerre sera démis de ses fonctions pour cause d'insuffisance de résultats.

En Décembre 2009 après onze ans à travailler au sein d'une sélection Roger reprendra les rênes d'un club lorsqu'il se fera engagé par le club turc d'Ankaragücü qui évoluait en D1 turque. Mais même avec des bons éléments tels que Jérôme Rothen et Darius Vassell les résultats seront mitigés et de ce fait le club ne terminera qu'à la douzième place bien trop loin des premières positions. Ce qui causera la non-prolongation du contrat de Lemerre qui sera remplacé pour le prochain championnat par son adjoint Umit Ozat.
Après deux ans sans exercer, Roger reprendra du service lorsqu'il signera un contrat en Juillet 2012 en faveur du club algérien du CS Constantine ( D1 algérienne ). Actuellement il connaît de bons résultats avec son club ( qui se situe pour l'instant à la septième place ) et de ce fait la fédération algérienne de football serait intéressé par le technicien français afin de lui confier le poste de Directeur Technique National occupé par l'instant par l'algérien Boualem Laroum. Mais le club de Constantine content du travail de Roger n'a pas l'intention de le laisser partir. Affaire à suivre.
PALMARES :
-1965 : Finaliste de la coupe de France ( Sedan-Torcy ).
-1970 : Finaliste de la coupe de France ( Nantes ).
BILAN DE CARRIERE :
-1961 à 1969 : Sedan ( France ) 213 matchs joués pour 24 buts de marqués.
-1969 à 1971 : Nantes ( France ) 69 matchs joués pour un but de marqué.
-1971 à 1973 : Nancy ( France ) 75 matchs joués.
-1973 à 1975 : Lens ( France ) 57 matchs joués.
Partage