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EMILIANO SALA

 
 
Emiliano Sala débarquera à Bordeaux de son Argentine natale à 19 ans et demi pour intégrer la réserve girondine afin d'y poursuivre sa formation. Et lorsqu'il passera professionnel il ne réussira jamais à s'imposer chez les Girondins ce qui l'amènera à être prêté en National du côté d'Orléans, en Ligue 2 à Niort et en Ligue 1 au SM Caen pour engranger du temps de jeu et surtout de l'expérience. En 2015 il sera transféré définitivement au FC Nantes où il deviendra petit à petit le buteur indiscutable des Canaris au point que trois années et demies après son arrivée ses performances lui permettront de finaliser un transfert au sein d'un des plus grands championnats européens qu'était l'Angleterre en signant à Cardiff City. Mais il n'aura jamais l'occasion de fouler les pelouses de la Premier League du fait qu'il disparaîtra deux jours après sa signature en faveur du club gallois alors qu'il se trouvait à bord d'un avion en vol au-dessus de la Manche tout en précisant qu'on ne leretrouvera pas après plusieurs jours de recherche.
 
EMILIANO SALA
Emiliano Sala est né en 1990 à Cululu en Argentine. Il grandira à Progreso dans la Province de Santa Fé  où à l'âge de quatre ans il prendra sa première licence de jeune footeux au sein du club local nommé Club San Martin. Ensuite il apprendra les premiers rudiments footballistiques pour devenir un bon avant-centre avant d'aller poursuivre son apprentissage du côté du centre de formation Proyecto Crecer qui était une filiale des Girondins de Bordeaux situé à San Francisco en Argentine. Il gravira tous les échelons des équipes de jeunes avant d'effectuer en 2009 un éphémère passage au Portugal au sein du club de Futebol Clube do Crato suite à des raisons personnelles.
Durant l'été 2010 il quittera pour la seconde fois son pays natal mais cette fois-ci ce sera pour ne pas revenir du fait que Bordeaux avait décidé de lui donner sa chance de montrer le potentiel qu'il avait en l'intégrant dans son équipe réserve. Il débarquera en Gironde en compagnie d'une autre pensionnaire de Proyecto Crecer en la personne de Valentin Vada, âgé de quatorze ans, tout en précisant que ce dernier se retrouvera au centre d'une polémique puisque la FIFA n'autorisait pas le recrutement de mineur sur d'autres continents ( le jeune argentin devra attendre plus de deux ans pour pouvoir obtenir une licence pour évoluer avec les Girondins ).
Alors à 19 ans et demi le jeune Sala apprendra les caractéristiques du football français en se faisant les dents en CFA 2 aux côtés de Kevin Olimpa, Salif Sané, Lamine Sané, Vujadin Savic, Hugo Konongo, Maxime Poundjé, Abdoulaye Coulibaly, Abdou Traoré, Loïs Diony, Gaëtan Laborde et Henri Saivet pour ne citer qu'eux sans oublier qu'il aura également l'occasion de jouer en compagnie d'éléments chevronnés tels que Marc Planus, Ulrich Ramé, Carlos Henrique, Mathieu Chalmé, David Bellion voire Pierre Ducasse et Florian Marange. Et là pour sa première année sur le sol français il inscrira six buts en quatorze matchs de joués ce qui lui vaudra de prendre part à la seconde place finale acquise dans le groupe F à une petite longueur du Stade Montois permettant ainsi à la réserve girondine d'être promue en CFA.
Et toujours coaché par Patrick Battiston et accompagné à certaines occasions par des vieux routards comme Michaël Ciani, Chalmé, Marange, Fahid Ben Khalfallah et Bellion il inscrira durant la saison 11/12 encore six buts en cette fois-ci quinze rencontres ce qui lui permettra de participer au maintien du promu bordelais en CFA acquis par une huitième place finale dans le groupe C à 18 points du premier relégable tout en ayant l'une des attaques les moins prolifiques ( 34 ex-aequo avec Albi derrière Gap ( 22 ) et Pau ( 33 ) ). A préciser que pendant la saison 11/12 l'entraîneur de l'équipe première, Francis Gillot, lui donnera l'occasion de s'entraîner avec les pros comme Cédric Carrasso, Planus, Ciani, Henrique, Benoît Trémoulinas, Jaroslav Plasil, Landry N'Guémo, Yoan Gouffran, Jussié et Nicolas Maurice-Belay entre autres mais surtout de disputer sa première rencontre dans le monde professionnel avec une participation en coupe de France.
Après deux années de présence en Gironde il signera durant l'intersaison de 2012 son premier contrat professionnel mais les dirigeants bordelais décideront de le prêter tout de suite afin qu'il engrange du temps de jeu et surtout de l'expérience. Et ce sera en National qu'il disputera la saison 12/13 du côté de l'US Orléans où il y réalisera une année pleine en manquant qu'une seule journée de championnat sur les 38 possibles. Et en y ajoutant deux rencontres disputées en coupe de France ses statistiques se solderont avec 39 matchs toutes compétitions confondues faisant ainsi de lui l'un des joueurs les plus utilisés par le coach Olivier Frapolli au même titre que Grégory Tomas, Nicolas Belvito et Benoît Darcy. Et le summum de cette saison 12/12 aura été le fait que l'argentin de naissance aura vraiment prouvé ses qualités offensives en montrant qu'il aimait prendre la profondeur, qu'il était combatif sur le terrain, qu'il possédait un bon jeu de tête tout en ne refusant pas à faire le jeu au milieu de terrain. Et en plus de ses carastéristiques il sera reconnu pour son esprit de guerrier qui correspondait souvent au joueur sud-américain du fait que lors d'un match il se faisait remarquer par ses longues courses, son omniprésence pour gêner les défenseurs ou gardiens adverses et surtout sa capacité à défendre en zone d'attaque ( cette dernière qualité lui vaudra l'admiration des supporters de chaque équipe au sein desquelles il évoluera durant sa carrière ce qui lui vaudra d'être pardonné pour son manque de justesse technique. Alors revenons à sa première année pleine pour notifier qu'il se mettra en avant pour son efficacité puisqu'il terminera comme le meilleur buteur orléanais toutes compétitions confondues avec 19 réalisations ( toutes inscrites en championnat ) et comme le deuxième meilleur artilleur du National ex-aequo avec le messin Diafra Sakho à sept unités du bastiais Romain Pastorelli. Personnellement ce prêt dans le Loiret aura été une énormesatisfaction pour le joueur appartenant à Bordeaux. Collectivement Orléans effectuera un championnat plus que correct en finisant au huitième rang du National à quatre points du podium synonyme de montée en Ligue 2.
 
EMILIANO SALA
La saison 13/14 le verra être prêté de nouveau et cette fois-ci ce sera en Ligue 2 du côté de Niort où même s'il évoluait à un échelon supérieur il prouvera qu'il avait le potentiel pour s'imposer comme l'un des meilleurs attaquants du deuxième étage du football français. Et comme en National l'année passée il sera l'une des grandes révélations du championnat de seconde division comme le troisième Chamois le plus utilisé par le coach Pascal Gastien avec 41 matchs toutes compétitions confondues ( avec une seule absence en Ligue 2 sur les 38 journées possibles ) à égalité avec Nicolas Pallois à une petite unité du duo Quentin Bernard-Jimmy Roye. Et au niveau efficacité avec 18 buts en championnat et trois en coupe de France il terminera comme le meilleur buteur niortais toutes compétitions confondues avec 21 buts bien loin de Roye ( 8 ) et Florian Martin ( 7 ). Encore une année de rêve pour l'argentin. Et ses réalisations en Ligue 2 lui permettront de finir comme le quatrième meilleur buteur de la division à égalité avec le lavallois Christian Bekamenga à six unités du caennais Mathieu Duhamel et du tourangeau Andy Delort et à deux du messin Sakho. Collectivement les Chamois participeront en championnat à la lutte pour la montée en Ligue 1 au point que le club des Deux-Sèvres sera classé troisième à la 31ème journée mais finalement il terminera sixième à six points du podium.
 
EMILIANO SALA
De retour de son prêt à Niort le nouvel entraîneur de Bordeaux en la personne de Will ySagnol lui fera comprendre qu'il comptait sur lui pour la saison 14/15. Mais malheureusement il sera barré par Cheick Diabaté en début d'année et lorsque le malien connaîtra quelques soucis avec un de ses genoux l'argentin il pensait voir son temps de jeu augmenter. Mais au lieu de cela il verra l'émergence d'un autre jeune issu du centre de formation bordelais en la personne de Thomas Touré au point que ce dernier sera associé par la suite à Diabaté ne laissant ainsi à Sala que des miettes en entrant en jeu en cours de match. Et pour enfoncer un peu plus le clou les dirigeants girondins valideront le recrutement du suédois Isaac Thelin à la mi-Janvier 2015 ce qui fera comprendra au natif de Cululu que son avenir n'était pas du tout en Gironde. Alors avant d'être prêté pour la fin de la saison 14/15 il aura quand même pris part à onze rencontres de Ligue 1 pour un but de marqué et une en coupe de France sous la tunique bordelaise.
Et afin de se relancer il misera sur le SM Caen où le coach Patrice Garande comptait sur lui pour apporter un plus à son attaque mais son premier match avec le club normand ne sera pas une vraie réussite du fait qu'il ratera un but tout fait face à la cage vide ce qu'on expliquera par un manque de rythme et de confiance. La suite sera de meilleure augure puisqu'entre la 25 et la 27ème journée il inscrira quatre buts dont un doublé mais sa dynamique sera stoppée à partir de la 28ème journée lorsqu'il ne sera jouera pas la rencontre contre Bordeaux suite à un accord passé entre les deux clubs lors de la finalisation du prêt de Sala. Et là jusqu'à la fin du championnat de France il ne marquera qu'un seul but tout en étant titulaire qu'à seulement quatre reprises mais ses statistiques permettront tout de même au promu caennais de valider son maintien grâce à une treizième place finale avec neuf points d'avance sur le premier relégable.
 
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Durant l'été 2015 il ne fera qu'un aller-retour à Bordeaux puisque le FC Nantes misera sur lui pour renforcer son attaque au sein de laquelle on pouvait y trouver une autre recrue en la personne de Kolbeinn Sigthorsson sans oublier Yacine Bammou et Johan Audel. Et là le coach Michel Der Zakarian fera de lui l'un des ses titulaires indiscutables de son attaque au même titre que Bammou, Audel et le meneur de jeu Adrien Thomasson. Alors sa première année pleine en Ligue 1 sera satisfaisante pour l'ancien bordelais puisqu'il finira comme le troisième Canari le plus utilisé avec 35 matchs toutes compétitions confondues ( dont 31 en Ligue 1 ) à quatre unités de Thomasson et à une de Bammou. Et avec six buts de marqués en championnat et quatre passes décisives toutes compétitions confondues ( trois en Ligue 1 et un en coupe de France ) il terminera comme le deuxième meilleur buteur nantais à une unité d'Adryan et comme le second meilleur passeur à égalité avec Thomasson à une unité d'Audel. Collectivement le FCN débutera le championnat de France en alternant les victoires et les défaites avant d'enchaîner en Novembre 2015 une série de quatorze matchs sans défaite. Mais après son élimination en Mars 2016 en quarts de finale de la coupe de France ( perdu 3-2 après prolongations contre Sochaux, pensionnaire de Ligue 2 ) le club de la Loire-Atlantique marquera le pas en accumulant quelques défaites tout en connaissant des fortes tensions en interne entre le président de Nantes et son coach Der Zakarian du fait que ce dernier avait annoncé son départ à l'issue de la saison. Finalement les Canaris finiront quatorzièmes de l'élite à neuf points du premier relégable et à dix d'une qualification européenne tout en ayant l'une des plus faibles attaques ( 33 derrière Troyes ( 28 ) ).
La saison 16/17 débutera sous le règne de l'entraîneur René Girard mais après quinze journées à l'issue desquelles Nantes se retrouvera avant-dernier de la Ligue 1 ce qui amènera le portugais Sergio Conceiçao à succéder en Décembre 2016 à Girard. Et là sous la houlette de l'entraîneur portugais les Canaris se feront éliminer en quarts de finale de la coupe de la Ligue ( défaite 2-0 contre Nancy ) mais surtout enchaîneront les résultats positifs en championnat ( 11 victoires, cinq nuls et six défaites ) au point de terminer à une surprenante septième place finale à huit points d'une qualification européenne et avec quinze unités d'avance sur le 18ème ( barrage de relégation ). A titre personnel l'ancien orléanais sera le troisième joueur le plus utilisé avec 39 matchs toutes compétitions confondues ( dont 34 en Ligue 1 ) ex-aequo avec Diego Carlos à trois unités de Lima et à deux du duo Léo Dubois-Guillaume Gillet. En terme d'efficacité il prendra une nouvelle dimension au plus haut niveau français en terminant comme le meilleur buteur nantais avec quinze buts toutes compétitions confondues ( douze en Ligue 1 et trois en coupe de la Ligue ) bien loin de ses concurrents attaquants Mariusz Stepinski ( 7 ), Préjuce Nakoulma ( 7 ) et Bammou ( 4 ). A préciser qu'en délivrant quatre passes décisives en Ligue 1 il finira également comme le troisième meilleur passeur du FCN toutes compétitions confondues derrière Dubois ( 7 ) et Jules Iloki ( 5 ). En un mot une année très satisfaisante pour l'argentin.
Sous les ordres d'un nouveau coach en la personne de Claudio Ranieri l'ancien niortais confirmera son statut de buteur attitré des Canaris en permettant à plusieurs reprises à son club de remporter de précieuses victoires sur le score de 1-0. Et même s'il réalisera une première partie de saison 17/18 de grande qualité il la finira plus médiocrement du fait qu'il connaîtra une longue disette accompagnant ainsi les résutats moyens de Nantes. Finalement avec douze buts en Ligue 1 et deux en coupe de France il terminera pour la deuxième année consécutive comme le meilleur buteur du FCN toutes compétitions confondues devançant cette fois-ci Thomasson ( 7 ) et le duo Bammou-Dubois ( 4 ). Et en plus de son efficacité il délivrera trois passes décisives en championnat ce qui fera de lui le second meilleur passeur toutes compétitions confondues à égalité avec Lima et Thomasson à une longueur de Dubois. Collectivement les Canaris réaliseront une bonne phase aller du championnat de France au point d'être classé cinquièmes à la trêve hivernale. Malheureusement la phase retour sera plus compliquée ce qui fera louper aux nantais une qualification européenne à l'issue de l'exercice hexagonal suite à leur neuvième place finale acquise avec trois longueurs de retard sur la sixième position qui était la dernière qualificative pour la Ligue Europa ( tout en ayant l'une des attaques la moins prolifique ( 36 ex-aequo avec Montpellier derrière Caen ( 27 ), Troyes ( 32 ) et Metz ( 34 ) ).
Durant l'été 2018 l'argentin sera sur le départ du fait que le nouvel entraîneur Miguel Cardoso ne comptait pas du tout sur lui pour la saison 18/19 et que Nantes était d'accord pour le vendre contre une somme de plus de dix millions d'euros. Finalement il restera en Loire-Atlantique car le FCN ne recevra pas de propositions intéressantes et refusera même une offre de prêt du club turc de Galatasaray. Et là sans aucune rancoeur il réalisera un début de saison éblouissant en inscrivant huit buts en dix rencontres soit une réalisation toutes les 75 minutes ce qui lui vaudra d'être troisième au classement des meilleurs buteurs européens en championnat à la fin Octobre 2018. Quelques jours plus tard il sera l'auteur d'un doublé contre Guingamp ce qui lui permettra d'obtenir un total de dix buts en douze matchs et d'être à ce moment là de la saison le meilleur buteur argentin d'Europe ( tout en étant le plus efficace ) juste devant les chevronnés Lionel Messi, Sergio Agüero, Mauro Icardi et Gonzalo Higuain. Et à la mi-Novembre 2018 en marquant son douzième but en Ligue 1 il deviendra le co-meilleur buteur d'Europe ex-aequo avec Kylian Mbappé. Finalement à la trêve hivernale ses statistiques seront plus que satisfaisantes avec treize buts toutes compétitions confondues ( douze en Ligue 1 et un en coupe de la Ligue ) et deux passes décisives délivrées en championnat.
Et là avec un début de saison aussi tonitruant il attirera de nombreuses convoitises ce qui l'amènera à s'engager avec Cardiff City jusqu'en Juin 2022 pour un montant de quinze millions de livres sterling ( ce qui était un record pour un transfert pour le club gallois ) tout en voyant son salaire multiplié par six ou sept.
 
EMILIANO SALA

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RECONVERSION :

Sala ne foulera pas jamais les pelouses de la Premier League puisqu'à la fin Janvier 2019 il disparaîtra en vol au-dessus de la Manche. Après deux semaines de recherches on détectera un corps sans pouvoir dire pour l'instant si c'était vraiment le corps de l'argentin.

PALMARES :

Néant.

BILAN DE CARRIERE :

-2012 à 2013 : Orléans ( France ) 37 matchs joués pour 19 buts de marqués.
-2013 à 2014 : Niort ( France ) 37 matchs joués pour 18 buts de marqués.
-2014 à Janv 2015 : Bordeaux ( France ) 11 matchs joués pour un but de marqué.
-Janv 2015 à 2015 : Caen ( France ) 13 matchs joués pour cinq buts de marqués.
-2015 à Janv 2019 : Nantes ( France ) 120 matchs joués pour 42 buts de marqués.
 
 
 
 
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#Posté le samedi 16 février 2019 10:28

JEREMY TOULALAN

 
Même s'il a été formé comme meneur de jeu Jérémy Toulalan deviendra l'un des meilleurs récupérateurs du championnat de France grâce à sa grosse endurance, sa capacité à quadriller tout le terrain à lui tout seul et à récupérer de nombreux ballons. Découvert au FC Nantes il prendra une nouvelle dimension en étant transféré à l'Olympique Lyonnais où il enchaînera les prestations de haut niveau ce qui l'amènera à découvrir l'équipe de France. Après avoir gagné deux Ligue 1 et une coupe de France il ira tenter une expérience en Liga espagnole sous la tunique de Malaga avant de revenir en France du côté de l'AS Monaco et de Bordeaux.
 
JEREMY TOULALAN
Jérémy Toulalan est né en 1983 à Nantes en Loire-Atlantique. Passionné d eballon il prendra sa toute première licence de jeune footeux à l'âge de six ans au sein d'un petit club d'un quartier nantais nommé Saint-Pierre de Nantes où son père y deviendra même l'un de ses entraîneurs. Et là pendant quatre ans il apprendra ses premiers rudiments footballistiques pour devenir un bon numéro dix avant d'aller poursuivre sa formation du côté du FC Nantes en intégrant la catégorie des Pupilles. Il gravira les étapes des équipes de jeunes des Canaris mais entre treize et seize ans il connaîtra de nombreuses blessures l'empêchant ainsi à accumuler les matchs au point que les éducateurs du FCN étaient très perplexes sur la capacité de l'adolescent à passer le palier pour devenir joueur professionnel. Ses soucis physiques lui feront aussi mal physiquement que moralement tout en précisant que ses indisponibilités venaient d'une croissance trop rapide qui lui causera des lésions musculaires à répétition ou des maux de dos. Finalement ses blessures l'endurciront mentalement au point que sur un terrain il était impassable grâce à une énorme endurance ( on dira qu'il possédait un troisième poumon ) et à son esprit de combattant. Alors avant d'intégrer le centre de formation de Nantes en 2001 il inscrira sa toute première ligne à son palmarès en remportant la coupe de la Ligue des moins de 14 ans avec la sélection Atlantique tout en précisant que malgré ses blessures il sera régulièrement surclassé en équipes de jeunes.
De 17 à 19 ans il se fera les dents avec la réserve des Canaris au sein de laquelle il jouera aux côtés d'éléments ayant déjà goûté au professionnalisme tels que Pascal Delhommeau, Yves Deroff, Jean-Hugues Ateba, Eric Djemba-Djemba, Charles Devineau, Mehdi Leroy, Sébastien Macé, Wilfried Dalmat, Marama Vahirua et Grégory Pujol pour ne citer qu'eux. Et en parallèle de son apprentissage en équipe B l'entraîneur de l'équipe première, Angel Marcos, décidera de l'incorporer au groupe professionnel dès son intronisation au poste de coach en Décembre 2001 en lieu et place de Reynald Denoueix ce qui l'amènera à cotoyer durant les entraînements des vieux briscards comme Nestor Fabbri, Nicolas Laspalles, Frédéric Da Rocha, Olivier Quint, Stéphane Ziani, Pierre-Yves André, Viorel Moldovan et Victor Bonilla et la génération nantaise ( la plus et moins récente ) composée de Mickaël Landreau, Delhommeau, Nicolas Gillet, Savinaud, Deroff, Salomon Olembé, Ateba, Mathieu Berson, Devineau, Hassan Ahamada, Shiva N'Zigou, Wilfried Dalmat, Vahirua, Pujol et Alioune Touré pour ne citer qu'eux. Et là le nantais pure souche aura l'honneur de découvrir le monde professionnel en dispuant une rencontre de D1 contre Rennes et une en Ligue des Champions contre le Bayern Munich. Alors son temps de jeu plus que faiblard lui permettra quand même de prendre part à la dixième place finale acquise à trois points d'une qualification pour l'Intertoto et au parcours européen jusqu'à la deuxième phase de poules de la Ligue des Champions ( quatrième du groupe A derrière Manchester United, le Bayern Munich et Boavista ) après avoir fini leader dans le groupe D lors de la première phase devant Galatasaray, le PSV Eindhoven et la Lazio Rome. A préciser qu'en début de saison 01/02 il ne sera pas du tout présent sur la feuille de match du Trophée des Champions que le FCN remportera 4-1 contre le RC Strasbourg.
Pour la saison 02/03 le coach Marcos lui donnera un peu plus de temps de jeu au point d'être présent à 17 reprises toutes compétitions confondues ( treize en D1, deux en coupe de France et deux en coupe de la Ligue ) tout en précisant que l'entraîneur argentin avait décidé de replacer le jeune Toulalan au poste de milieu défensif. Ce changement avait été acté du fait de ses limites techniques pour évoluer en tant qu'élément offensif et là grâce à son immense volume de jeu et à sa puissance dans les jambes il se fera vite à son nouveau poste. Alors ses statistiques lui vaudront de prendre part au parcours jusqu'en quarts de finale de la coupe de la Ligue ( perdu 2-0 contre le FC Metz ) et à la qualification pour l'Intertoto acquise par une neuvième place finale à neuf points du tour préliminaire de la Ligue des Champions et à huit de la coupe UEFA.
Sous le sordres de Loïc Amisse, fraîchement nommé nouvel entraîneur de Nantes, il verra son temps de jeu encore augmenter durant la saison 03/04 ce qui l'amènera à terminer l'année avec 27 matchs toutes compétitions confondues ( vingt en championnat, trois en coupe de France, deux en coupe de la Ligue et deux en Intertoto ). Alors avec ses statistiques il sera bien présent lors de toutes les compétitions que le FCN disputera ce qui lui permettra de participer à sa seconde campagne européenne ( élimination en demi-finales de l'Intertoto contre Perugia Calcio ( défaite 1-0 à domicile et 0-0 en Italie ), aux parcours au sein des coupes nationales ( finale de coupe de la Ligue perdue aux tirs aux buts contre Sochaux après un 1-1 final après prolongations et demi-finale de coupe de France perdue encore aux tirs aux buts cette fois-ci contre le PSG après un nouveau 1-1 final après prolongations ) et à la sixième place finale acquise en D1 avec une nouvelle qualification pour l'Intertoto à la clé tout en ayant quinze points de retard pour le tour préliminaire de la Ligue des Champions et trois pour la coupe UEFA.
Même avec un changement de coach en cours d'année ( Serge Le Dizet en lieu et place d'Amisse en Janvier 2005 ) il deviendra l'un des hommes de base des Canaris pour la saison 04/05 tout en devenant une valeur sûre du championnat de France sans oublier qu'il marquera son tout premier but à ce niveau contre le RC Strasbourg sans oublier celui qu'il inscrira en coupe de France. Finalement sa première année pleine lui permettra de terminer comme le troisième Canari le plus utilisé avec 39 matchs toutes compétitions confondues ( dont 31 en D1 ) ex-aequo avec Gilles Yapi Yapo à six unités de Savinaud et à quatre de Landreau tout en étant élu comme le meilleur espoir du championnat de France. Par contre collectivement ce sera plus laborieux puisque le FCN sera à deux doigts d'être relégué en seconde division mais une 17ème place finale et une petite longueur d'avance sur le premier relégable empêcheront le club de Loire-Atlantique d'évoluer au sein du deuxième étage du football français lors de la saison prochaine. A préciser tout de même que les nantais atteindront pour la seconde année consécutive les demi-finales de l'Intertoto qu'ils perdront cette fois-ci contre Slovan Liberec à cause de la règle du but inscrit à l'extérieur après un 2-2 score cumulé ( défaite 1-0 en République Tchèque et victoire 2-1 à domicile ).
Après cette très belle année 04/05 il sera très convoité pendant l'intersaison de 2005 et plus particulièrement par Lyon, le Bayern Munich, Arsenal et les Glasgow Rangers mais Nantes mettra fin à toutes propositions en le déclarant intransférable. Alors pendant la saison 05/06 il confirmera toute l'étendue de son talent en étant un récupérateur efficace mais aussi le premier relanceur du FCN grâce à sa vision de jeu et à sa capacité à sentir les coups aussi bien défensifs qu'offensifs au point de faire de lui l'un des meilleurs milieux défensifs de l'élite. Finalement sa deuxième saison pleine se soldera avec 36 matchs toutes compétitions confondues ( dont 29 en Ligue 1 ) faisant ainsi de lui le sixième joueur le plus utilisé à égalité avec Mauro Cetto à sept unités de Landreau, à six de Da Rocha, à quatre de Mamadou Diallo, à trois de Franck Signorino et à une de Loïc Guillon. Collectivement les Canaris ne finiront que quatorzièmes de Ligue 1 mais avec quand même douze points d'avance sur le premier relégable. Et en parallèle de l'exercice hexagonal le FCN réalisera un beau parcours en coupe de France en atteignant les demi-finales qu'il perdra 2-1 contre le PSG, futur vainqueur de l'épreuve.
 
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L'été 2006 verra Toulalan quitter son club formateur en s'engageant pour quatre ans avec l'Olympique Lyonnais, champion en titre pour la cinquième année d'affilée, pour la somme de 7,5 millions d'euros. Au départ le club rhodanien avait recruté le nantais pour être la doublure du malien Mahamadou Diarra mais lorsque ce dernier rejoindra le Real Madrid à la mi-Août 2006 le coach Gérard Houllier désignera l'ex Canari comme le digne successeur de l'africain. Et là le natif de la Loire-Atlantique enchaînera les performances de grande qualité au point de devenir indiscutable au sein du milieu de terrain des Gones aux côtés de Juninho, Kim Källström et Tiago. Alors dès sa première année dans le Rhône il terminera comme le troisième lyonnais le plus utilisé avec 45 matchs toutes compétitions confondues ( dont 32 en Ligue 1 ) à deux unités du duo Källström-Florent Malouda. Et collectivement il profitera de son transfert à Lyon pour écrire ses deux premières lignes à son palmarès en tant que professionnel avec le Trophée des Champions ( gagné aux tirs aux buts contre le PSG après un 1-1 final après prolonagtions tout en précisant que Toulalan marquera son tir au but ) et un titre de champion de France conquis avec 17 points d'avance sur Marseille tout en ayant les meilleures attaques ( 64 ) et défenses ( 27 ). Il aurait même pu y ajouter un troisième trophée si l'O.L ne s'était pa sincliné 1-0 en finale de la coupe de la Ligue contre les Girondins de Bordeaux. Et pour sa deuxième participation à la Ligue des Champions depuis le début de sa carrière il atteindra les huitièmes de finale que lui et ses coéquipiers perdront 2-0 score cumulé contre l'AS Roma ( 0-0 en Italie et défaite 2-0 à domicile ).
Pour la saison 07/08 il verra débarquer un nouvel entraîneur en la personne d'Alain Perrin et ce dernier fera du nantais l'un des capitaines de Lyon lors des absences des cadres qu'étaient Cris, Juninho et voire Sidney Govou. Et il sera encore l'une des pièces maîtresses de l'O.L en terminant comme le dixième Gone le plus utilisé avec 41 matchs toutes compétitions confondues ( dont trente en Ligue 1 ) ex-aequo avec Anthony Réveillère derrière Källström ( 54 ), Karim Benzema ( 52 ), Mathieu Bodmer ( 51 ), Sébastien Squillaci ( 48 ), le duo Juninho-Govou ( 46 ), Fabio Grosso ( 44 ), Hatem Ben Arfa ( 43 ) et Kader Keita ( 42 ). Et pour récompenser le travail de ce joueur de l'ombre il fera parti à l'issue de cette année là de l'équipe type des Trophées UNFP aux côtés de son équipier Benzema et des marseillais Steve Mandanda, Laurent Bonnart, Taye Taiwo, Benoît Cheyrou, Mathieu Valbuena et Mamadou Niang sans oublier le nancéien Sébastien Puygrenier, le lensois Vitorino Hilton et le bordelais Wendel. A préciser également qu'il avait été nommé dans la catégorie du meilleur joueur aux côtés de Wendel, Karim Benzema et Mamadou Niang et que ce sera son équipier qui remportera la distinction. Collectivement il étoffera son palmarès d'un beau triplé avec un second Trophée des Champions ( 2-1 contre Sochaux), la coupe de France ( 1-0 contre le PSG ) et un deuxième titre national conquis cette fois-ci avec quatre points d'avance sur Bordeaux tout en ayant la meilleure attaque avec 74 buts de marqués. A préciser qu'en coupe de la Ligue et en Ligue des Champions il atteindra les quarts de finale et les huitièmes que les Gones perdront respectivement 1-0 contre Le Mans et 2-1 score cumulé contre le futur vainqueur de l'épreuve, Manchester United, ( 1-1 à domicile et défaite 1-0 en Angleterre ).
La saison 08/09 se finira sans aucun trophée, chose qui n'était plus arrivé depuis l'année 00/01, puisque Lyon s'inclinera lors du Trophée des Champions ( aux tirs aux buts contre Bordeaux après un 0-0 final après prolongations tout en précisant que l'ancien Canari marquera son tir au but ), se fera éliminer de bonne heure au sein des coupes nationales ( élimination en huitièmes de finale dans les deux compétitions après une défaite 3-1 contre Metz en coupe de la Ligue et une de 3-2 contre Lille ) et ne finira que troisième en championnat à neuf points de Bordeaux et à six de Marseille tout en arrachant une nouvelle qualification pour la Ligue des Champions mais cette fois-ci le club rhodanien devra passer par le tour préliminaire pour pouvoir disputer la phase de poules. Et sur la scène européenne les Gones n'iront pas plus loin pour la troisième année consécutive que les huitièmes de finale de la plus prestigieuse des coupes d'Europe en perdant cette fois-ci 6-3 score cumulé contre le FC Barcelone, futur vainqueur de l'épreuve, ( 1-1 à domicile et défaite 5-2 en Espagne ). A titre personnel le nantais tiendra son rang d'élément indispensable de l'O.L en terminant au sixième rang du classement des joueurs les plus utilisés par le nouveau coach, Claude Puel, avec 44 matchs toutes compétitions confondues ( dont 33 en Ligue 1 ) derrière le duo Jean II Makoun-Benzema ( 47 ), Hugo Lloris ( 46 ) et le duo Cris-Ederson ( 45 ).
Durant la saison 09/10 le coach Puel descendra l'ancien Canari en défense centrale afin de pallier les blessures occasionnelles de Bodmer, Jean-Alain Boumsong et Cris. Et là il réalisera des prestations de grande classe comme s'il avait toujours évolué à ce poste mais dès que la situation le voudra il sera reconduit immédiatement à son rôle de récupérateur du fait que Lyon souffrait énormément de son absence en tant que milieu défensif. Et à titre personnel en plus de montrer une nouvelle fois sa polyvalence, son professionnalisme et son dévouement il terminera encore comme l'un des Gones les plus utilisés avec 45 rencontres toutes compétitions confondues ( dont 31 en Ligue 1 ) à huit unités de Miralem Pjanic, à sept de Lloris, à six de Bafétimbi Gomis, à cinq de Cris, à quatre de Lisandro Lopez, à trois d'Aly Cissokho et à deux du trio Réveillère-Källström-Michel Bastos. Collectivement ce sera la deuxième année d'affilée que l'O.L ne gagnera aucun trophée du fait qu'il sera éliminé dès les seizièmes de finale de la coupe de France ( 2-1 contre Monaco, futur finaliste ) puis en quarts en coupe de la Ligue ( 1-0 contre Lorient ) et finira le championnat de France qu'à la seconde place du classement à six points de Marseille. La seule satisfaction de la saison 09/10 sera le parcours lyonnais en Ligue des Champions où après avoir passé le tour préliminaire contre Anderlecht ( deux victoires par 5-1 et 3-1 ) les Gones franchiront un cap dans cette compétition en atteignant les demi-finales qu'ils perdront 4-0 score cumulé contre le Bayern Munich ( deux défaites par 1-0 et 3-0 ).
Après la catastrophique coupe du monde réalisée par la France le nantais était prêt à mettre un terme à sa carrière durant l'été 2010 mais une longue discussion avec son coach Puel et le président de Lyon, Jean-Michel Aulas, le fera changer d'avis. Alors sa cinquième année dans le Rhône sera la moins aboutie depuis son arrivée en 2006 mais finira tout de même comme le onzième Gone le plus utilisé avec 35 matchs toutes compétitions confondues ( dont 28 en Ligue 1 )à égalité avec Lisandro Lopez à douze unités de Lloris, à dix du duo Réveillère-Gomis, à neuf de Jimmy Briand, à sept de Källström, à quatre de Pjanic, à trois de Bastos, à deux du duo Dejan Lovren-Cissokho et à une de Jérémy Pied. Collectivement après des éliminations en huitièmes de finale de la coupe de la Ligue ( défaite 2-1 après prolongations contre le PSG ) et en seizièmes de la coupe de France ( défaite 1-0 après prolongations contre Nice ) ce sera encore une année vierge en titre pour l'O.L puisqu'il ne terminera que troisième de Ligue 1 à quatorze points de Lille et à quatre de l'O.M avec quand même une qualification pour le tour préliminaire de la Ligue des Champions. Sur la scène européenne Toulalan et ses coéquipiers ne rééditeront pas le même parcours que l'année passé puisque leur route en Ligue des Champions s'arrêtera cette année là en huitièmes de finale après leur défaite 4-1 score cumulé contre le Real Madrid ( 1-1 à domicile et défaite 3-0 en Espagne ).
 
JEREMY TOULALAN

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A 28 ans il voulait vivre une expérience à l'étranger ce qui l'amènera à quitter Lyon pour s'engager quatre ans en faveur du club espagnol de Malaga pour un montant estimé à onze millions d'euros tout en précisant qu'il touchera un salaire annuel de 4,2 millions d'euros. Et pour découvrir l'un des meilleurs championnats européens il évoluera aux côtés d'éléments chevronnés tels que Willy Caballero, Joris Mathijsen, Martin Demichelis, Weligton, Nacho Monreal, Eliseu, Duda, Santi Cazorla, Julio Baptista, Enzo Maresca, Ruud Van Nistelrooy, Joaquin et Sebastian Fernandez pour ne citer qu'eux. Et là le club andalou réalisera un fabuleux championnat au point d'atteindre l'objectif principal de ses dirigeants qui était de se qualifier pour une coupe d'Europe pour l'année suivante. Et cerise sur le gâteau la quatrième place finale acquise en Liga derrière le Real Madrid ( à 42 unités ), le FC Barcelone ( à 33 unités ) et Valence CF ( à trois unités ) vaudra à Malaga d'arracher une qualification pour le tour préliminaire de la Ligue des Champions. A titre personnel il n'enregistrera pas les statistiques d'un titulaire indiscutable mais avec 29 matchs toutes compétitions confondues ( dont 25 en Liga avec trois buts de marqués ) il finira quand même au dixième rang du classement des joueurs les plus utilisés par l'entraîneur Manuel Pellegrini derrière Cazorla ( 42 ), Salomon Rondon ( 40 ), Demichelis ( 39 ), le duo Isco-Fernandez ( 35 ), Monreal ( 33 ), le duo Caballero-Van Nistelrooy ( 32 ) et Mathijsen ( 31 ).
La saison 12/13sera toute aussi belle puisque les andalous réaliseront un époustouflant parcours en Ligue des Champions car après avoir passé le tour préliminaire contre Panathinaïkos ( victoire 2-0 à domicile et 0-0 en Grèce ) ils finiront leaders du groupe C lors de la phase de poules ( devant le Milan AC, le Zénith Saint-Pétersbourg et Anderlecht ), élimineront Porto en huitièmes de finale ( défaite 1-0 au Portugal et victoire 2-0 à domicile ) et chuteront finalement en quarts contre le Borussia Dortmund, futur finaliste, en s'inclinant par sur le score cumulé de 3-2 ( 0-0 à domicile et défaite 3-2 en Allemagne ). Au sein des compétitions confondues Malaga effectuera aussi des bons parcours en atteignant les quarts de finale de la coupe d'Espagne ( perdu 6-4 score cumulé contre Barcelone ( 2-2 en Catalogne et défaite 4-2 à domicile ) tout en finissant sixième de la Liga à neuf points du tour préliminaire de la Ligue des Champions mais avec une qualification pour la Ligue Europa à la clé. Et là cette belle année sera ternie par la suspension du club andalou de toutes compétitions européennes entre 2013 et 2017 actée par l'UEFA en Décembre 2012 sans oublier de parler de l'amende de 300 000 euros. Cette sanction faisait suite aux nombreuses dettes qu'avait Malaga envers ses employés, d'autres clubs et l'administration publique. A titre personnel l'ancien Gone enregistrera les mêmes statistiques que l'année précédente avec 29 matchs toutes compétitions confondues avec cette fois-ci 19 rencontres de jouées en Liga.
 
JEREMY TOULALAN
Suite aux gros soucis financiers de Malaga les dirigeants andalous seront obligés de se séparer de quelques valeurs sûres dont le nantais alors qu'il lui restait deux ans de contrat à honorer. Alors il décidera de revenir en France pour s'engager avec Monaco, tout frais promu en Ligue 1, pour deux années plus une en option. Et pour aider le club de la Principauté il débarquera sur le Rocher en même temps que Joao Moutinho, James Rodriguez, Ricardo Carvalho, Radamel Falcao, Nicolas Isimat-Mirin, Anthony Martial, Eric Abidal, Fabinho, Borja et Geoffrey Kondogbia pour ne citer qu'eux. Et là avec un tel effectif le promu monégasque réalisera une belle saison 13/14 en atteignant les demi-finales de la coupe de France ( perdue 3-1 après prolongations contre le futur vainqueur de l'épreuve, Guingamp ) et surtout en arrachant une qualification directe pour la Ligue des Champions suite à sa deuxième place finale acquise à neuf points du PSG. A titre personnel l'ancien de Malaga sera l'un des grands artisans de la belle année monégasque en finissant comme le cinquième joueur le plus utilisé par le coach Claudio Ranieri avec 35 matchs toutes compétitions confondues ( dont 29 en Ligue 1 avec un but de marqué ) ex-aequo avec Danijel Subasic à cinq unités de Carvalho, à quatre de Lucas Ocampos, à trois de Rodriguez et à une d'Emmanuel Rivière.
La saison 14/15 sera encore plus réussie avec une demi-finale de coupe de la Ligue ( perdue aux tirs aux buts contre Bastia après un 0-0 final après prolongations ), un quart de finale de coupe de France ( perdu 2-0 contre le PSG, futur vainqueur de l'épreuve ), un quart de Ligue des Champions ( perdu 1-0 score cumulé contre le futur finaliste, la Juventus de Turin, ( défaite 1-0 en Italie et 0-0 à domicile ) ) et une troisième place finale acquise en Ligue 1 à douze points du PSG et à quatre de Lyon tout en arrachant une qualification pour le tour préliminaire de la prochaine Ligue des Champions et ayant la meilleure défense de l'élite avec seulement 26 buts d'encaissés. A titre personnel l'ancien Canari sera encore l'un des hommes forts de l'ASM du fait qu'il finira au septième rang du classement des joueurs le splus utilisés par le nouvel entraîneur Leonardo Jardim avec 42 matchs toutes compétitions confondues ( dont 28 en Ligue 1 ) derrière Fabinho ( 53 ), le duo Moutinho-Ferreira Carrasco ( 52 ), Martial ( 48 ), Subasic ( 47 ) et Bernardo Silva ( 45 ).
Même si Monaco terminera de nouveau troisième du championnat de France ( avec cette fois-ci 31 points de retard sur le PSG et à égalité avec Lyon ( meilleure différence de buts pour les Gones ( +24 contre +7 ) ) ) la saison 15/16 sera moins réussie que les deux précédentes du fait que l'équipe du Rocher se fera éliminer en huitièmes de finale des coupes nationales ( défaite 3-0 contre Bordeaux en coupe de la Ligue et défaite 2-1 contre Sochaux en coupe de France ) et ne fera pas de grands exploits en coupe d'Europe après s'être fait sorti en tour préliminaire de la Ligue des Champions ( défaite 3-1 en Espagne contre Valence CF et victoire 2-1 à domicile ) et terminé troisième du groupe J lors de la phase de poules de la Ligue Europa ( derrière Tottenham et Anderlecht ). A titre personnel l'ancien lyonnais sera encore égal à lui-même en finissant comme le huitième monégasque le plus utilisé avec 36 matchs toutes compétitions confondues ( dont 25 en Ligue 1 ) à onze unités de Fabinho, à dix de Subasic, à huit du trio Carvalho-Andrea Raggi-Bernardo Silva, à quatre de Guido Carrillo et à une de Moutinho.
 
JEREMY TOULALAN
Libre de tout contrat durant l'été 2016 l'ancien Gone décider de tenter un nouveau challenge en s'engageant deux ans en faveur des Girondins de Bordeaux où il y débarquera en même temps que Jérémy Ménez, Youssouf Sabaly, Igor Lewczuk et François Kamano sans oublier Jocelyn Gourvennec comme nouvel entraîneur. Après une première partie de saison 16/17 assez mitigée la seconde sera bien meilleure au point d'atteindre les demi-finales de la coupe de la Ligue ( perdue 4-1 contre le PSG, futur vainqueur de l'épreuve ) et les quarts de la coupe de France ( perdu 2-1 contre Angers, futur finaliste ) avant d'arracher une qualification pour la Ligue Europa suite à la sixième place finale acquise en championnat par le club bordelais. A titre personnel l'ancien monégasque aura été l'un des grands artisans de la belle année girondine en terminant comme le sixième joueur le plus utilisé avec 36 matchs toutes compétitions confondues ( dont trente en Ligue 1 ) à neuf unités du duo Jaroslav Plasil-Malcom, à six de Gaëtan Laborde, à trois de Nicolas Pallois et à une de Kamano.
Il partira encore comme un des hommes forts du coach Gourvennec pour la saison 17/18 mais il ne terminera pas cette dernière du fait qu'il résiliera son contrat à l'amiable avec les dirigeants de Bordeaux après l'annonce du licenciement de l'entraîneur Gourvennec à la mi-Janvier 2018.
 
JEREMY TOULALAN
Et aujourd'hui sans avoir annoncé officiellement l'arrêt de sa carrière et sans penser à rebondir dans un nouveau club pour une dernière aventure      il profite de sa famille.

Sélection : 36

Après être passé par les équipes de France de jeunes Toulalan profitera de son transfert à Lyon pour être appelé en A par Raymond Domenech en Octobre 2006 pour affronter les Iles Féroé ( victoire 5-0 ). Ensuite di fait qu'il était barré par le duo de récupérateurs Claude Makélélé-Patrick Vieira il se contentera de quelques rencontres lors des absences de Vieira car ce dernier était souvent blessé.
Et en 2008 il sera retenu pour disputer l'Euro organisé en Autriche et en Suisse et devra pallie rle forfait de Vieira pour blessure. Et là il sera titulaire pendant les trois matchs du premier tour au côté de Makélélé mais n'ira pas plus loin dans ce tournoi suite à la quatrième place finale acquise dans le groupe C derrière les Pays-Bas, l'Italie et la Roumanie.

Ensuite après la retraite internationale de Makélélé et les blessures à répétition de Vieira il formera le nouveau duo de milieux défensifs des Bleus avec Lassana Diarra pour les éliminatoires de la coupe du monde 2010. Logiquement il sera retenu pour disputer la compétition en Afrique du Sud mais là il passera à côté de son tournoi comme la plupart de ses équipiers au point que la France ne passera pas le premier tour suite à sa quatrième place finale acquise dans le groupe A derrière l'Uruguay, le Mexique et l'Afrique du Sud. Et ce qu'on retiendra de son Mundial sera le fait qu'il sera à l'origine de la grève de Knysna puisque ce sera lui qui demandera à son agent de rédiger le communiqué de presse expliquant le choix des joueurs de sécher un entraînement suite à l'éviction de Nicolas Anelka après les insultes de ce dernier envers le sélectionneur Domenech.
En Juillet 2010 il reconnaîtra dans le Journal du Dimanche avoir participé activement à la grève de Knysna tout en reconnaissant également avoir eu un manque de lucidité et d'intelligence le jour de cette grève. Ensuite après enquête menée sur la coupe du monde 2010 de l'équipe de France la commission de discipline de la FFF le suspendra pour un match en Bleu sans toutefois motiver cette sanction. Alors il choisira de reverser sa prime de la coupe du monde 2010, estimée à 107 000 euros, à un petit club du Finistère, Plougonven d'où était originaire sa grand-mère.
Trois ans après le Mundial 2010 il avouera qu'il était encore marqué par le fiasco tricolore lors de cette compétition tout en précisant qu'il avait mis fin à sa carrière internationale suite à cet énorme échec ce qui bloquera son compteur à 36 sélections, toutes sous l'ère Domenech.
 
JEREMY TOULALAN
RECONVERSION :

Pour l'instant Toulalan n'a aucune idée sur le choix de sa reconversion.

PALMARES :

-2004 : Finaliste de la coupe de la Ligue ( Nantes ).
-2007 : Champion de France et finaliste de la coupe de la Ligue ( Lyon ).
-2008 : Champion et vainqueur de la coupe de France ( Lyon ).

BILAN DE CARRIERE :

-2001 à 2006 : Nantes ( France ) 94 matchs joués pour un but de marqué.
-2006 à 2011 : Lyon ( France ) 154 matchs joués.
-2011 à 2013 : Malaga ( Espagne ) 44 matchs joués pour trois buts de marqués.
-2013 à 2016 : Monaco ( France ) 82 matchs joués pour un but de marqué.
-2016 à Janv 2018 : Bordeaux ( France ) 51 matchs joués.
 
 
 
 


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#Posté le vendredi 15 février 2019 15:53

Modifié le samedi 16 février 2019 10:44

JOE COLE


Repéré très jeune par les plus grands clubs d'Angleterre Joe Cole préférera rester au sein de son club formateur, West Ham, où il portera même le brassard de capitaine lors de sa dernière année chez les Hammers. Ensuite il portera durant sept saisons la tunique des Blues de Chelsea au sein desquels il aura beaucoup de mal à se faire une place de titulaire indiscutable mais réussira à se construire un fabuleux palmarès avec trois titres de champion, trois Cups, deux coupes de la Ligue et un Community Shield sans oublier de parler de la finale perdue en Ligue des Champions. Après une première année ratée à Liverpool il viendra se relancer en France du côté de Lille pendant une saison mais à son retour en Premier League où il jouera peu que ce soit à Liverpool, West Ham et Aston Villa ce qui l'amènera à évoluer en troisième division anglaise avant de s'exiler en deuxième division nord-américaine pour porter les couleurs de Tampa Bay. Et comme en club il ne sera jamais un élément indispensable de la sélection nationale d'Angleterre mais réussira tout de même à accumuler 56 capes pour dix buts de marqués et surtout de disputer trois coupes du monde et un Euro.
 
JOE COLE

Joe Cole est né en 1981 à Paddington en Angleterre. Passionné de ballon rond il prendra très jeune sa première licence de jeune footeux au sein du petit club de Camden qui était situé dans un quartier de Londres. Et là il apprendra les premiers rudiments footballistiques pour devenir un bon milieu offensif et plus particulièrement sur le côté gauche. En gravissant les équipes de jeunes il montrera rapidement qu'il avait un énorme potentiel au point de se faire remarquer par les recruteurs de West Ham. Alors à douze ans et demi il n'hésitera pas à rejoindre les Hammers du fait que ces derniers étaient réputés pour faire éclore leurs jeunes les plus talentueux. En débarquant au centre de formation de West Ham il poursuivra sa formation offensive tout en recevant l'attention des médias anglais du fait qu'il faisait parti des jeunes prodiges du club londonien. Et à seize ans du fait de son gros potentiel il recevra une offre de dix millions de livres pour rejoindre Manchester United mais il déclinera la proposition pour rester chez les Hammers afin d'essayer de percer dans le professionnalisme avec West Ham. Et comme il l'espérait le Jour J arrivera durant la saison 98/99 lorsque l'entraîneur Harry Redknapp l'intègrera au groupe professionnel en même temps qu'un autre jeune Hammer en la personne de Michael Carrick comme il l'avait quelques années plus tôt avec Frank Lampard et Rio Ferdinand. Et ensuite le coach Redknapp lui donnera l'occasion à jouer ses neuf premiers pros ( huit en Premier League et une en coupe d'Angleterre ) ce qui lui vaudra de prendre part au beau championnat réalisé par les Hammers avec une cinquième place finale avec une qualification pour l'Intertoto à la clé. A préciser que cette saison 98/99 sera vraiment grandiose pour le jeune Cole car après avoir démarré sa carrière professionnelle il inscrira une première ligne à son palmarès à l'issue de cette année là en remportant la FA Youth Cup ( coupe Gambardella anglaise ) aux dépens de Coventry City sur le score cumulé de 9-0 ( deux victoires par 3-0 et 6-0 ).
Alors ses qualités et surtout son jeu qui était proche à celui de la star anglaise Paul Gascoigne convaincront Redknapp de lui donner plus de temps de jeu pendant la saison 99/00 au point d'accumuler 32 matchs toutes compétitions confondues ( dont 22 en Premier League avec son tout premier but inscrit à ce niveau sans oublier celui qu'il marquera en coupe de la Ligue ). Ses statistiques lui permettront de terminer à 18 ans comme l'un des Hammers les plus utilisés derrière Trevor Sinclair ( 51 ), Frank Lampard ( 49 ), le duo Rio Ferdinand-Paulo Wanchope ( 47 ), Paolo Di Canio ( 45 ), Steve Lomas ( 39 ), Shaka Hislop ( 36 ), Marc-Vivien Foé ( 35 ) et Marc Keller ( 34 ). Cette année 99/00 verra le natif de Paddington découvrir les joutes européennes en disputant la coupe Intertoto où les Hammers se qualifieront pour la coupe UEFA grâce à leur victoire 3-2 score cumulé contre le FC Metz ( défaite 1-0 à domicile et victoire 3-1 en Moselle ). Par contre en UEFA les londoniens passeront le premier tour contre le NK Osijek ( deux victoires par 3-0 et 3-1 ) mais chuteront au suivant contre le Steaua Bucarest ( défaite 2-0 en Roumanie et 0-0 à domicile ). Et en Premier League Cole et ses coéquipiers réaliseront un parcours honorable en finissant neuvièmes à dix points d'une qualification pour l'UEFA et à trois pour l'Intertoto.
Pour la saison 00/01 il sera considéré comme l'un des titulaires indiscutables de West Ham ce qui l'amènera à finir comme le huitième Hammer le plus utilisé avec 36 matchs toutes compétitions confondues ( dont trente en Premier League avec cinq buts de marqués ) à six unités du duo Hislop-Stuart Pearce ( 42 ), Carrick ( 41 ), Nigel Winterburn ( 40 ), Frédéric Kanouté ( 39 ) et le duo Lampard-Di Canio ( 37 ). Collectivement les Hammers vivront un championnat un peu plus délicat en terminant au quatorzième rang du classement avec tout de même huit points d'avance sur le premier relégable.
Même s'il était dirigé par un nouvel entraîneur en la personne de Glenn Roeder le jeune Hammer de vingt ans restera l'un des hommes de base du club londonien ce qui lui vaudra de finir comme le septième élément le plus utilisé avec 33 matchs toutes compétitions confondues ( dont trente en Premier League tout en précisant qu'il marquera un but en coupe d'Angleterre ) derrière Christian Dailly ( 42 ), le duo Sébastien Schemmel-Jermain Defoe ( 39 ), Trevor Sinclair ( 37 ) et le duo Tomas Repka-Winterburn ( 34 ). Le championnat d'Angleterre 01/02 sera bien meilleur que celui de l'année passée puisque West Ham terminera septième à onze points d'une qualification pour l'UEFA et à 18 du tour préliminaire de la Ligue des Champions.
La saison 02/03 verra Cole prendre une nouvelle dimension en Janvier 2003 lorsqu'il sera nommé capitaine de West Ham par le coach Roeder alors qu'il venait tout juste de fêter ses 21 ans. Et là le gamin essayera d'assumer sa responsabilité de leader des Hammers le mieux possible en guidant ses coéquipiers tout en réalisant des bonnes prestations pour aider son club qui vivait un championnat assez difficile. Finalement en tant que capitaine il ne réussira pas à éviter à l'équipe londonienne une relégation en seconde division du fait qu'elle terminera comme première relégable à deux points du maintien tout en ayant l'une des défenses les plus imperméables ( 59 derrière le duo West Bromwich Albion-Sunderland ( 65 ) et Tottenham ( 62 ) ). A titre personnel cette année 02/03 sera sa saison la plus aboutie du fait qu'il finira comme le quatrième Hammer le plus utilisé avec 40 matchs toutes compétitions confondues ( avec seulement deux absences en Premier League tout en inscrivant quatre buts sans oublier celui qu'il marquera en Cup ) à deux unités du duo David James-Jermain Defoe et à une de Trevor Sinclair.
 

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Il ne suivra pas West Ham en D2 car Roman Abramovich, le nouveau propriétaire de Chelsea, misera 6,6 millions de livres sur lui pour renforcer les Blues où il y arrivera en même temps que des joueurs plus chevronnés que lui comme Claude Makélélé, Juan Sebastian Veron, Aleksey Smertin, Hernan Crespo, Geremi, Damien Duff,et Marco Ambrosio entre autres sans oublier les prometteurs Glen Johnson, Wayne Bridge et Adrian Mutu. Et en plus de ces nouvelles recrues l'ancien Hammer cotoyera de très belles individualités telles que Carlo Cudicini, Marcel Desailly, William gallas, Robert Huth, John Terry, Mario Melchiot, Celestine Babayaro, Frank Lampard, Eidur Gudjohnsen, Jesper Grönkjaer et Jimmy Floyd Hasselbaink pour ne citer qu'eux. Et là au sein d'un effectif pléthorique l'objectif principal de Cole sera d'essayer de se faire une place au sein du onze des Blues afin de s'installer durablement en équipe nationale d'Angleterre. La première partie de la saison 03/04 sera délicate pour l'ancien de West Ham du fait qu'il jouera peu tout en voyant arriver en Janvier 2004 un concurrent direct à son poste en la personne de Scott Parker. Mais en bossant dur et surtout grâce à ses compétences techniques et à sa créativité il réussira tout de même à accumuler du temps de jeu même si c'était souvent en entrant sur le terrain en cours de match tout en précisant qu'il sera plusieurs fois critiqué pour son manque de contribution à l'équipe. Finalement ses statistiques pour sa première année chez les Bues seront très correctes avec 49 matchs toutes compétitions confondues ( dont 35 en Premier League avec un but de marqué sans oublier les deux qu'il inscrira en coupe de la Ligue ) ce qui fera de lui le troisième joueur le plus utilisé par le coach italien Claudio Ranieri à neuf unités de Lampard et à deux de Terry. Ce transfert à Chelsea lui permettra de découvrir la Ligue des Champions où après avoir passé le tour préliminaire contre le MSK Zilina ( deux victoires par 2-0 et 3-0 ) il atteindra les demi-finales que le club londonien perdra 5-3 score cumulé contre l'AS Monaco ( défaite 3-1 en Principauté et 2-2 à domicile ). Et en championnat pour la première saison de l'ère Abramovich les Blues ne se contenteront que du titre honorifique de vice-champion d'Angleterre avec onze points de retard sur Arsenal tout en ayant les secondes meilleures attaques ( 67 à six unités du champion ) et défenses ( 30 à quatre unités des Gunners ).
Même si Chelsea effectuera un recrutement ambitieux ( Paulo Ferreira, Alex, Petr Cech, Didier Drogba, Mateja Kezman, Tiago, Ricardo Carvalho et Arjen Robben ) l'ancien Hammer verra le nouvel entraîneur des Blues, José Mourinho, être convaincu par ses qualités au point de lui donner du temps de jeu ce qui l'amènera à être  plus régulièrement présent au sein du onze londonien que l'année passée sous la houlette de Ranieri. Et en plus de la confiance du coach il profitera des blessures de certains joueurs comme Robben pour se distinguer ce qui l'amènera à terminer la saison 04/05 comme l'un des Blues les plus utilisés avec 46 matchs toutes compétitions confondues ( dont 28 en Premier League avec huit buts de marqués ( celui qu'il inscrira contre Norwich City (un but à 20 mètres tiré de son pied le plus faible, le gauche) sera choisi pour entrer dans le top des plus beaux buts de la Premier League ) sans oublier celui qu'il inscrira en Europe ) ex-aequo avec Gallas derrière Lampard ( 58 ), Gudjohnsen ( 57 ), Terry ( 53 ),Tiago ( 51 ), Makélélé ( 50 ) et le duo Cech-Duff ( 48 ). Et collectivement sa deuxième année à Chelsea sera payante puisqu'il inscrira à son palmarès une coupe de la Ligue ( 3-2 après prolongations contre Liverpool ) et surtout un titre de champion d'Angleterre conquis avec douze points d'avance sur le tenant du titre, Arsenal, tout en ayant la meilleure défense avec seulement quinze buts d'encaissés et la seconde attaque la plus prolifique ( 72 à quinze unités des Gunners ). Et pour sa deuxième campagne en Ligue des Champions il atteindra pour la seconde année consécutive les demi-finales de la compétition que lui et ses partenaires perdront cette fois-ci 1-0 score cumulé contre Liverpool, futur vainqueur de l'épreuve, ( 0-0 à domicile et défaite 1-0 à Anfield Road ).
Même s'il subira la concurrence de Robben et du nouveau venu en la personne de Shaun Wright-Phillips il réussira à être toujours présent au sein du onze des Blues du fait qu'il sera l'auteur de grandes prestations tout en inscrivant quelques buts très importants pour son équipe. Finalement avec 46 matchs ( dont 34 en Premier League ) et dix buts ( sept en championnat, deux en Cup et un en Europe ) toutes compétitions confondues il sera récompensé à l'issue de la saison 05/06 en étant nommé dans l'équipe type de Premier League aux côtés de ses équipiers Terry, Gallas et Lampard sans oublier Shay Given, Pascal Chimbonda, Jamie Carragher, Steven Gerrard, Cristiano Ronaldo, Wayne Rooney et Thierry Henry. Collectivement l'ancien Hammer rajoutera deux nouvelles lignes à son palmarès avec le Community Shield ( 2-1 contre Arsenal ) et un deuxième titre national d'affilée conquis cette fois-ci avec huit points d'avance sur Manchester United tout en ayant les meilleures attaques ( 72 ex-aequo avec les Red Devils ) et défenses ( 22 ). A préciser qu'en Ligue des Champions les Blues n'iront pas plus loin que les huitièmes de finale suite à sa défaite 3-2 score cumulé contre Barcelone, futur vainqueur de l'épreuve, ( défaite 2-1 à domicile et 1-1 en Catalogne ), et en coupe d'Angleterre ils atteindront les demi-finales qu'ils perdront 2-1 contre Liverpool, futur vainqueur de l'épreuve.
L'année 06/07 le verra embêter par les blessures car après avoir loupé les trois premiers mois de la saison il se fera opérer d'une fracture du pied en Janvier 2007 ce qui l'amènera à ne totaliser que 24 matchs toutes compétitions confondues ( dont treize en Premier League ) tout en ne marquant qu'un but en coupe de la Ligue et un en Europe. Ses statistiques lui permettront tout de même de remporter les deux coupes nationales ( 1-0 après prolongations contre Manchester United en Cup et 2-1 contre Arsenal en coupe de la Ligue ) et de prendre part à la place de vice-champion acquise à six points de M.U et au parcours jusqu'en demi-finales de la Ligue des Champions ( perdue aux tirs aux buts contre Liverpool après un 1-1 score cumulé ( chaque équipe avait gagné 1-0 à domicile ) ). Par contre il ne sera pas présent sur la feuille de match du Community Shield où ses partenaires s'inclineront 2-1 contre Liverpool.
Epargné par les blessures l'ancien Hammer sera bien présent sur les feuilles de matchs toutes compétitions confondues durant la saison 07/08 au point de terminer comme le Blue le plus utilisé par les deux entraîneurs ( Mourinho puis Avram Grant à partir de Septembre 2007 ) avec 55 matchs dont 33 en Premier League tout en précisant qu'il trouvera le chemin des filets adverses à dix reprises ( sept en championnat, deux en Europe et un en coupe de la Ligue ). Collectivement Chelsea jouera sur beaucoup de tableaux mais n'étoffera pas son palmarès d'un nouveau trophée puisque le club londonien s'inclinera lors du Community Shield contre Manchester United ( aux tirs aux buts après un 1-1 final après prolongations ), en finale de la coupe de la Ligue contre Tottenham ( 2-1 après prolongations ) et également en finale de la Ligue des Champions contre M.U ( aux tirs aux buts après un 1-1 final après prolongations ) sans oublier qu'il loupera le titre de champion d'Angleterre à cause des deux points de retard sur les Red Devils. En parallèle de ces compétitions les Blues n'iront pas plus loin que les quarts de finale de la Cup du fait qu'ils perdront la rencontre 1-0 contre Barnsley, pensionnaire de Championship.  
La saison 08/09 sera comme celle de 06/07 à cause d'une longue blessure ce qui l'amènera à n'accumuler que vingt matchs toutes compétitions confondues ( dont quatorze en Premier League avec deux buts de marqués sans oublier celui qu'il inscrira en Europe ). Et même en jouant peu il étoffera son palmarès d'une nouvelle coupe d'Angleterre que Chelsea s'adjugera 2-1 contre Everton tout en prenant part au parcours jusqu'en demi-finales de la Ligue des Champions ( perdue à cause de la règle du but inscrit à l'extérieur contre Barcelone, futur vainqueur de l'épreuve, après un 1-1 score cumulé ( 0-0 en Catalogne et 1-1 à domicile ) et à la troisième place finale acquise en championnat à sept points de Manchester United et à trois de Liverpool tout en ayant la meilleure défense avec seulement 24 buts d'encaissés ex-aequo avec M.U.
La saison 09/10 ne débutera qu'à la fin Octobre 2009 mais réussira quand même à totaliser 39 matchs toutes compétitions confondues ( dont 26 en Premier League avec deux buts d'inscrits ) ce qui lui vaudra finir tout de même comme le neuvième Blue le plus utilisé par le nouvel entraîneur en la personne de Carlo Ancelotti derrière Terry ( 52 ), les duos Lampard-Florent Malouda ( 51 ) et Michael Ballack-Nicolas Anelka ( 45 ), Drogba ( 44 ), Cech ( 43 ) et Branislav Ivanovic ( 41 ). Collectivement il rajoutera trois nouveaux trophées à son palmarès avec le Community Shield ( aux tirs aux buts contre Manchester United après un 2-2 final après prolongations ), la Cup ( 1-0 contre Portsmouth ) et la Premier League ( avec une petite longueur d'avance sur M.U, tenant du titre, tout en ayant l'attaque la plus efficace avec 103 buts de marqués. A préciser qu'en coupe de la Ligue et en Ligue des Champions la route des Blues s'arrêtera en quarts de finale et en huitièmes qu'ils perdront respectivement aux tirs aux buts contre Blackburn Rovers ( après un 3-3 final après prolongations ) et 3-1 score cumulé contre l'Inter Milan, futur vainqueur de l'épreuve, ( deux défaites par 2-1 et 1-0 ).
 

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Libre de tout contrat durant l'été 2010 après sept années de bons et loyaux services à Chelsea il décidera à 29 ans de continuer sa carrière du côté de Liverpool. Son histoire avec les Reds commencera mal car dès son premier match en championnat contre Arsenal il se fera expulser ce qui lui vaudra d'être suspendu trois rencontres. Ensuite les mauvais résultats de Liverpool n'aideront pas l'intégration de l'ancien Blue et pour enfoncer un peu plus le clou le limogeage du coach Roy Hodgson en Janvier 2011 ne lui sera pas non plus favorable car son successeur Kenny Dalglish n'était pas trop fan des qualités du natif de Paddington. Finalement malgré ces difficultés sa saison 10/11 se soldera avec quand même 32 matchs toutes compétitions confondues ( dont vingt en Premier League avec deux buts de marqués sans oublier celui qu'il inscrira en Europe ) ce qui lui vaudra de termner comme le dixième Red le plus utilisé à 18 unités de Pepe Reina, à 17 de Martin Skrtel, à quinze de Lucas Leiva, à neuf du duo Raul Meireles-Dirk Kuyt, à six du duo Jamie Carragher-David N'Gog et à trois du duo Glen Johnson-Maxi Rodriguez. Collectivement ce sera plus délicat qu'avec Chelsea car en coupe d'Europe il n'ira pas plus loin que les huitièmes de finale de la Ligue Europa ( défaite 1-0 au Portugal contre le Sporting Braga et 0-0 à domicile ) et ne finira que sixième de la Premier League avec aucune qualification européenne à la clé suite aux dix points de retard pour le tour préliminaire de la Ligue des Champions et aux quatre pour la Ligue Europa.
 
JOE COLE
Voulant retrouver une place de titulaire indiscutable il créera une énorme surprise en acceptant de se faire prêter à Lille, tout récent champion de France, ce qui faisait de lui le premier international anglais à débarquer dans l'Hexagone depuis Chris Waddle. Alors ce sera un grand Monsieur qui atterrira en Ligue 1 car l'ancien Blue possédait un énorme vécu avec 327 matchs de Premier League, 70 en Europe et un palamrès bien fourni avec trois titres de champion d'Angleterre, trois Cup, deux coupes de la Ligue et un Community Shield sans oublier de parler d'une finale de Ligue des Champions perdue. Et là il réalisera une très bonne saison 11/12 avec 43 matchs toutes compétitions confondues ( dont 32 en championnat avec quatre buts de marqués sans oublier les trois en coupe de France ( un triplé contre Chantilly ce qui était une première pour lui depuis le début de sa carrière ) et les deux en coupe de la Ligue ) faisant ainsi de lui le quatrième Dogue le plus utilisé par le coach Rudi Garcia à égalité avec Mathieu Debuchy et Dimitri Payet à six unités d'Eden Hazard, à cinq de Rio Mavuba et à quatre de Mickaël Landreau. Collectivement il ne sera pas encore lillois lorsque le Trophée des Champions se jouera ( défaite 5-4 du LOSC contre Marseille ) mais ensuite il sera bel et bien présent dans les autres compétitions où lui ses coéquipiers ne réussiront pas à passer la phase de poules de la Ligue des Champions ( quatrièmes du groupe B derrière l'Inter Milan, le CSKA Moscou et Trabzonspor ) tout en se rattrapant en atteignant les quarts de finale de la coupe de la Ligue ( perdu 2-1 contre Lyon, futur finaliste ) et surtout en arrachant la qualification pour le tour préliminaire de la Ligue des Champions après une troisième place finale acquise en Ligue 1 à huit points de Montpellier et à cinq du PSG.
 
JOE COLE
 

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Après son aventure française plus que réussie il reviendra à Liverpool mais le nouvel entraîneur en la personne de Brendan Rodgers ne le fera pas jouer régulièrement ce qui l'amènera à ne totaliser que dix rencontres toutes compétitions confondues ( six en Premier League avec un but de marqué, un en coupe de la Ligue et trois en Ligue Europa avec un but d'inscrit ). Alors afin de retrouver du temps de jeu il décidera en Janvier 2013 de retourner à West Ham en signant un contrat d'un an et demi. Et son retour chez les Hammers débutera de la plus belle des manières puisque dès son premier match contre Manchester United en Cup il délivrera deux passes décisives ( 2-2 ). Finalement il accumulera douze matchs toutes compétitions confondues ( dont onze en championnat avec deux buts de marqués ) ce qui lui permettra de prendre part au maintien du promu londonien acquis par une dixième place finale avec dix points d'avance sur le premier relégable.
Pour la saison 13/14 il sera considéré comme l'un des hommes de base de l'entraîneur Sam Allardyce mais finalement ses statistiques seront assez décevantes avec seulement 25 matchs toutes compétitions confondues dont vingt en Premier League avec trois buts de marqués. Collectivement les Hammers atteindront les demi-finales de la coupe de la Ligue ( perdue contre Manchester City, futur vainqueur de l'épreuve, par deux défaites 6-0 et 3-0 ) et assureront de nouveau leur maintien en finissant cette fois-ci au treizième rang du championnat avec sept points d'avance sur le premier relégable.

Libre de tout contrat durant l'été 2014 il rejoindra Aston Villa mais ce sera une saison 14/15 assez décevante du fait qu'il ne jouera que quinze matchs toutes compétitions confondues ( douze en Premier League avec un but de marqué, deux en Cup et un en coupe de la Ligue ) tout en enregistrant des résultats médiocres au point que le coach Paul Lambert sera remplacé par Tim Sherwood. Alors collectivement les Villans atteindront la finale de la Cup qu'ils perdront 4-0 contre Arsenal mais par contre se battront jusqu'à la dernière journée de la Premier League pour assurer leur maintien et ce dernier sera validé par une 17ème place finale avec trois points d'avance sur le premier relégable tout en ayant l'une des plus faibles attaques ( 31 ex-aequo avec Sunderland derrière Burnley ( 28 ) ) et défenses ( 57 derrière Queens Park Rangers ( 73 ) et Newcastle ( 63 ) ).

L'ancien Dogue débutera bien la saison 15/16 sous la tunique d'Aston Villa mais après n'avoir joué qu'une seule rencontre en coupe de la Ligue il acceptera de se faire prêté en Octobre 2015 pour un mois à Coventry City qui évoluait en troisième division anglaise. Après avoir retourné chez les Villans il signera en Janvier 2016 un contrat permanent avec Coventry où il accumulera du temps de jeu avec quinze matchs de D3 pour un but d'inscrit.
Ensuite avant d'annoncer l'arrêt de sa carrière en Novembre 2018 ( cinq jours après avoir fêté ses 37 ans ) il fera le trajet Coventry-Tampa Bay pour évoluer dans le championnat de North American Soccer League qui était la seconde division américaine tout en précisant que ses prestations lui permettront de faire parti de l'équipe type de NASL en 2016.
 
JOE COLE

Sélection : 56

L'histoire de Cole avec l'équipe nationale d'Angleterre débutera en 2001 ce qui lui vaudra d'être retenu pour disputer la coupe du monde 2002 où les anglais atteindront les quarts de finale de la compétition qu'ils perdront 2-1 contre le futur vainqueur de l'épreuve, le Brésil. A préciser que lors de ce tournoi le joueur de West Ham ne sera pas titulaire au point de n'entrer en jeu qu'une seule fois contre la Suède.
En 2004 il sera également présent au sein du groupe retenu pour disputer le tournoi organisé au Portugal mais finalement il ne jouera aucune minute ce qui l'amènera de voir du banc de touche ses coéquipiers s'incliner en quarts de finale contre le pays organisateur et futur finaliste aux tirs aux buts après un 2-2 final après prolongations.
Après avoir joué tout au long de l'année 2005 et au début de 2006 ce sera dans la peau d'un élément indispensable qu'il disputera la coupe du monde en Allemagne durant l'été 2006 tout en précisant que lors du match contre la Suède il sera élu homme de la rencontre du fait qu'il avait inscrit un but d'une reprise de volée spectaculaire et délivré une passe décisive à Steven Gerrard. La route des anglais s'arrêtera en quarts de finale suite à leur défaite aux tirs aux buts contre le Portugal ( encore une fois ) après cette fois-ci un 0-0 final après prolongations.
Après avoir loupé l'Euro 2008 pour non qualification le joueur de Chelsea verra un nouveau sélectionneur en la personne de Fabio Capello et là il aura du mal à garder sa place de titulaire mais réussira à se faire remarquer en inscrivant un but contre la République Tchèque et un doublé contre Andorre durant l'année 2008.
Ensuite à cause d'une blessure il disparaîtra de la sélection nationale pendant deux années mais Capello le retiendra finalement pour la coupe du monde 2010 durant laquelle il jouera deux matchs participant ainsi au parcours jusqu'en quarts de finale que l'Angleterre perdra 4-1 contre l'Allemagne.
Après ce tournoi organisé en Allemagne sa carrière internationale prendra fin bloquant ainsi son compteur à 56 sélections avec dix buts de marqués.
 
JOE COLE
RECONVERSION :

Après l'arrêt de sa carrière Cole intègrera à la fin Décembre 2018 l'encadrement de Chelsea pour s'occuper des équipes de jeunes durant six mois afin de parfaire sa formation dans l'optique d'obtenir ses diplômes d'entraîneur.

PALMARES :

-2005 : Champion d'Angleterre et vainqueur de la coupe de la Ligue ( Chelsea ).
-2006 : Champion d'Angleterre ( Chelsea ).
-2007 : Vainqueur des coupes d'Angleterre et de la Ligue ( Chelsea ).
-2008 : Finaliste de la coupe de la Ligue et de la Ligue des Champions ( Chelsea ).
-2010 : Champion et vainqueur de la coupe d'Angleterre ( Chelsea ).
-2015 : Finaliste de la coupe d'Angleterre ( Aston Villa ).

BILAN DE CARRIERE :

-1998 à 2003 : West Ham ( Angleterre ) 126 matchs joués pour dix buts de marqués.
-2003 à 2010 : 181 matchs joués pour 27 buts de marqués.
-2010 à 2011 : Liverpool ( Angleterre ) 20 matchs joués pour deux buts de marqués.
-2011 à 2012 : Lille ( France ) 32 matchs joués pour quatre buts de marqués.
-2012 à Janv 2013 : Liverpool ( Angleterre ) 6 matchs joués pour un but de marqué.
-Janv 2013 à 2014 : West Ham ( Angleterre ) 31 matchs joués pour cinq buts de marqués.
-2014 à Oct 2015 : Aston Villa ( Angleterre ) 12 matchs joués pour un but de marqué.
-Oct 2015 à Nov 2015 : Coventry City ( Angleterre ) 7 matchs joués pour un but de marqué.
-Nov 2015 à Janv 2016 : Aston Villa ( Angleterre ) 0 match joué.
-Janv 2016 à 2016 : Coventry City ( Angleterre ) 15 matchs joués pour un but de marqué.
-2016 à 2018 : Tampa Bay ( Etats-Unis ) 80 matchs joués pour vingt buts de marqués.
 
 
 
 
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#Posté le dimanche 03 février 2019 16:00

Modifié le jeudi 07 février 2019 11:53

THIAGO MOTTA

 
Débarquant de son Brésil natal au FC Barcelone alors qu'il n'avait que 17 ans Thiago Motta réussira à se faire une petite place au sein des Blaugranas mais une accumulation de blessures l'empêchera de s'imposer vraiment dans le club catalan. Après une expérience ratée à l'Atlético Madrid il décidera de rallier l'Italie pour s'engager avec le Genoa où ses prestations lui permettront d'être transféré à l'Inter Milan après une seule année de présence dans le Calcio. Et ses performances avec les Nerazzuris lui vaudront d'être appelé pour porter le maillot de l'équipe nationale d'Italie grâce à des origines italiennes ce qui l'amènera à disputer deux Euros et une coupe du monde. A l'approche de ses trente ans il s'exilera en France pour jouer avec le PSG avec lequel il étoffera son palmarès de cinq titres de champion de France et neuf coupes nationales ( cinq de la Ligue et quatre de France ) mais sans pouvoir remporter la Ligue des Champions, compétition qu'il avait gagné auparavant avec Barcelone et l'Inter Milan.
 
THIAGO MOTTA
Thiago Motta est né en 1982 à Sao Bernardo do Campo au Brésil. Passionné de ballon rond comme tous les petits brésiliens il tapera dans ses premiers ballons dans les rues de son quartier avant de prendre sa première licence à l'âge de neuf ans dans le club du CA Juventus. Et là il apprendra ses premiers rudiments footballistiques pour devenir un bon milieu de terrain polyvalent pouvant aussi bien évoluer en récupérateur ou en relayeur avec une préférence pour le poste de demi-défensif. A quinze ans il rejoindra l'EC Juventude pour continuer sa formation avant de se faire repérer par les recruteurs du FC Barcelone et plus particulièrement Lorenzo Serra Ferrer et là à 17 ans il n'hésitera pas une seule seconde de quitter son pays natal pour essayer d'aller s'imposer au sein d'un des plus grands clubs européens.
De 1999 à 2001 il se fera les dents avec l'équipe réserve du Barça au sein de laquelle il cotoyera des futurs professionnels tels que Pepe Reina, Mikel Arteta, Victor Valdes et Andrés Iniesta pour ne citer qu'eux tout en précisant qu'il fera quelques apparitions avec le groupe pro lors des matchs amicaux.
Ses performances en réserve convaincront l'entraîneur de l'équipe première, Carles Rexach, de le lancer dans le grand bain de la Liga au début du mois d'Octobre 2001 pour affronter le RCD Majorque ( victoire 3-0 ). Et ensuite le coach utilisera assez souvent le brésilien de 19 ans au sein de son onze type du fait que sa polyvalence était très utile et qu'il était considéré comme un joueur communautaire grâce à son passeport italien ( sa famille est originaire de Vénétie, région du Nord-Est de l'Italie ). Finalement le novice du haut niveau enregistrera des statistiques satisfaisantes avec 26 matchs toutes compétitions confondues ( dont 18 en Liga avec son tout premier but de marqué à ce niveau ) ce qui fera de lui le quinzième Blaugrana le plus utilisé derrière les titulaires indiscutables qu'étaient ou pouvaient être Xavi ( 52 ), Carles Puyol ( 51 ), le duo Patrick Kluivert-Philip Cocu ( 50 ), Javier Saviola ( 49 ), Frank de Boer ( 47 ), le duo Roberto Bonano-Gabri ( 42 ), Philippe Christanval ( 39 ), le duo Fabio Rochemback-Luis Enrique ( 38 ) et les duos Francesco Coco-Rivaldo ( 33 ) et Marc Overmars-Geovanni ( 32 ). Et pour sa première année professionnelle il prendra part au parcours du FC Barcelone jusqu'en demi-finales de la Ligue des Champions ( perdue contre son grand rival et futur vainqueur de l'épreuve, le Real Madrid, ( défaite 2-0 à domicile et 1-1 à Madrid ), et à la quatrième place finale acquise en Liga à onze points de Valence CF, à quatre du Deportivo La Corogne et à deux du Real Madrid. Pas malpour des débuts dans le monde pro.
Pour la saison 02/03 le jeune Motta connaîtra trois entraîneurs durant l'année avec Louis Van Gaal, De La Cruz en intérim et Radomir Antic dès la fin Janvier 2003. Et lorsque Antic sera le coach du Barça le milieu de terrain de vingt ans deviendra l'une des pièces maîtresses du milieu catalan au point de terminer au dixième rang du classement des joueurs les plus utilisés avec 35 rencontres toutes compétitions confondues ( dont 21 en Liga avec trois buts de marqués sans oublier les deux premiers buts qu'il inscrira sur la scène européenne ) à seize unités du duo Javier Saviola-Patrick Kluivert, à quinze de Frank de Boer, à quatorze de Gaizka Mendieta, à onze de Carles Puyol, à neuf de Xavi, à sept de Juan Roman Riquelme, à quatre de Philip Cocu et à deux de Gabri. Et ses prestations de grande qualité lui vaudront de remporter le Prix Don Balon du joueur étant la révélation de la saison02/03. Collectivement le championnat des Blaugranas sera loupé puisqu'ils finiront à une piètre sixième place finale ( à 22 points du Real Madrid, à vingt de la Real Sociedad, à seize du Deportivo La Corogne, à cinq du Celta Vigo et à quatre de Valence CF ) se qualifiant de justesse pour la coupe UEFA lors de la dernière journée de la Liga. Et en coupe d'Europe les catalans n'iront pas plus loin que les quarts de finale de la Ligue des Champions suite à leur défaite 3-2 score cumulé contre le futur finaliste, la Juventus de Turin, ( 1-1 en Italie et défaite 2-1 après prolongations à domicile ).
L'arrivée de Frank Rijkaard comme nouvel entraîneur du FC Barcelone sera préjudiciable pour le brésilien puisqu'il verra son temps de jeu diminuer mais réussira quand même à accumuler 26 matchs toutes compétitions confondues ( dont vingt en Liga avec un but de marqué sans oublier celui qu'il inscrira en Europe ). Ses statistiques lui permettront tout de même de prendre part aux parcours des Blaugranas en coupe UEFA et d'Espagne qu'ils perdront respectivement contre le Celtic Glasgow ( défaite 1-0 en Ecosse et 0-0 à domicile ) et le Real Saragosse ( 1-1 à l'extérieur et défaite 1-0 à domicile ) et surtout à la deuxième place finale acquise en championnat à cinq points de Valence CF.
La saison 04/05 sera très difficile pour Motta car dès la mi-Septembre 2004 il se blessera gravement en se déchirant les ligaments du genou gauche durant un match contre Séville. Il sera pratiquement indisponible pendant toute l'année mais sera bien présent pour disputer les derniers de Liga ce qui l'amènera à voir son nom associé à tous ceux de ses coéquipiers au titre de champion d'Espagne conquis avec quatre points d'avance sur le Real Madrid tout en ayant les meilleures attaques ( 73 ) et défenses ( 29 ). Par contre ce sera de l'infirmerie ou des tribunes qu'il verra ses coéquipiers se faire éliminer dès les 32ème de finale de la coupe d'Espagne ( défaite 1-0 après prolongations contre Gramenet ) et les huitièmes de la Ligue des Champions ( victoire 2-1 à domicile et défaite 4-2 en Angleterre contre Chelsea ).
Au départ de la saison 05/06 le coach Rijkaard lui fera confiance pour former le milieu de terrain catalan avec son comatriote Edmilson et le portugais Deco afin de pallier l'absence de Xavi. Mais au retour de ce dernier il retrouvera son rôle de doublure ce qui l'amènera à terminer l'année avec seulement 23 matchs toutes compétitions confondues ( dont quinze en Liga avec un but de marqué sans oublier celui qu'il inscrira en coupe d'Espagne ). Et finalement sans être l'un des pions essentiels du Barça son temps de jeu lui permettra tout de même d'étoffer son palmarès d'un nouveau titre de champion d'Espagne ( conquis cette fois-ci avec douze points d'avance sur le Real Madrid tout en ayant la meilleure attaque ( 80 ) et la deuxième défense la plus imperméable ( 35 à deux unités du duo Valence CF-Celta Vigo ) ) et surtout de la Ligue des Champions remportée 2-1 contre Arsenal. Il prendra également part au parcours jusqu'en quarts de finale de la coupe d'Espagne ( défaite 4-2 à l'extérieur et victoire 2-1 à domicile contre le Real Saragosse ) mais par contre il ne sera pas présent sur la feuille de match de la Supercoupe d'Espagne que le Barça s'adjugera aux dépens du Betis Séville ( victoire 3-0 et défaite 2-1 ).
Pour la saison 06/07 le brésilien de 24 ans repartira dans un rôle de remplaçant mais sera encore embêté par des blessures ce qui l'amènera quand même à accumuler 29 matchs toutes compétitions confondues ( dont quatorze en Liga ). Ses statistiques lui permettront de prendre part à la Supercoupe d'Europe contre le Séville FC ( défaite 3-0 ), à l'acquisition de la Supercoupe d'Espagne aux dépens de l'Espanyol Barcelone ( deux victoires par 1-0 et 3-0 ), à la coupe du monde des clubs ( défaite 1-0 en finale contre le SC Internacional ), aux parcours en coupe d'Espagne ( élimination en demi-finales par Getafe ( victoire 5-2 à domicile et défaite 4-0 à l'extérieur ) et en Ligue des Champions ( élimination par Liverpool, futur finaliste, à cause de la règle des buts inscrits à l'extérieur après un 2-2 score cumulé ( défaite 2-1 à domicile et victoire 1-0 en Angleterre ) ) et pour finir à la perte du titre de champion d'Espagne à cause d'une plus mauvaise différence de buts par rapport au Real Madrid dans leurs confrontations directes ( défaite 2-0 et 3-3 ).
 
THIAGO MOTTA
Afin d'engranger plus de temps de jeu Motta décidera de rallier Madrid pour s'engager avec l'Atlético mais il déchantera rapidement du fait que l'entraîneur mexicain Javier Aguirre ne le fera pas jouer énormément. Alors sa saison 07/08 se soldera avec seulement dix apparitions sur les feuilles de matchs toutes compétitions confondues ( six en Liga, deux en coupe nationale et deux en Europe ) ce qui lui fera participer quand même aux parcours en coupe d'Espagne ( élimination en quarts de finale par Valence CF, futur vainqueur de l'épreuve, à cause de la règle des buts inscrits à l'extérieur après un 3-3 score cumulé ( défaite 1-0 à l'extérieur et victoire 3-2 à domicile ) ), en coupe UEFA ( élimination en seizièmes de finale par Bolton Wanderers ( défaite 1-0 en Angleterre et 0-0 à domicile ) ) et à la qualification pour le tour préliminaire de la prochaine Ligue des Champions acquise par une quatrième place finale en Liga grâce à une meilleure différence de buts par rapport au Séville FC dans leurs confrontations directes ( deux victoires par 4-3 et 2-1 ).
 
THIAGO MOTTA
Après cette pénible année madrilène il décidera de quitter l'Espagne après neuf années de présence pour rallier l'Italie afin d'essayer de relancer sa carrière du côté de Genoa. Et là sous les ordres du coach Gian Piero Gasperini il retrouvera une place de titulaire indiscutable et surtout son niveau de jeu lors de ses premières années professionnelles à Barcelone. Sa première saison italienne se soldera avec 27 matchs toutes compétitions confondues ( tous joués en Série A avec six buts de marqués ) ce qui fera de lui le treizième joueur le plus utilisé ex-aequo avec Anthony Vanden Borre derrière le duo Rubinho-Giuseppe Sculli ( 38 ), Domenico Criscito ( 37 ), le duo Matteo Ferrari-Ivan Juric ( 35 ), Salvatore Bocchetti ( 34 ), le trio Giuseppe Biava-Marco Rossi-Diego Milito ( 32 ), Giandomenico Mesto ( 31 ), Raffaele Palladino ( 30 ) et Omar Milanetto ( 28 ). Collectivement il vivra un beau championnat puisque lui et ses partenaires arracheront une qualification européenne suite à leur belle cinquième place finale tout en précisant qu'ils louperont le tour préliminaire de la Ligue des Champions à cause d'une plus mauvaise différence de buts par rapport à la Fiorentina dans leurs confrontations directes ( défaite 1-0 à l'extérieur et 3-3 à domicile ).
 
THIAGO MOTTA
Cette belle première saison en Série A lui vaudra d'être transféré chez le champion d'Italie en titre, l'Inter Milan, en compagnie de son équipier du Genoa, Diego Milito. Et là malgré la présence du vieux briscard Patrick Vieira ce sera lui qu'il sera désigné par l'entraîneur José Mourinho comme le récupérateur numéro un des Nerazzurris. Et de ce fait l'ancien Blaugrana terminera comme le douzième joueur le plus utilisé avec quarante matchs toutes compétitions confondues ( dont 26 en Série A avec quatre buts de marqués ) à égalité avec Mario Balotelli à quinze unités de Javier Zanetti, à quatorze de Julio César, à douze du duo Maicon-Diego Milito, à huit du duo Lucio-Samuel Eto'o, à sept d'Esteban Cambiasso, à trois de Dejan Stankovic, à deux du duo Walter Samuel-Sulley Ali Muntari et à une de Wesley Sneijder. Collectivement sa première année à l'Inter sera éblouissante puisqu'il étoffera son palmarès de nombreux trophées avec la coupe d'Italie ( victoire 1-0 contre l'AS Roma ), le Calcio conquis avec deux points d'avance sur l'AS Roma ( tout en ayant les meilleures attaques ( 75 ) et défenses ( 34 ) ) et surtout la Ligue des Champions remportée 2-0 contre le Bayern Munich. A l'approche de ses 28 ans le brésilien avait déjà un beau palmarès avec deux Ligues des Champions, trois titres de champion, une coupe nationale et une Supercoupe nationale. A préciser qu'au début de la saison 09/10 les Nerazzurris s'inclineront en Supercoupe d'Italie contre la Lazio de Rome sur le score de 2-1.
Pour la saison 10/11 ce sera Rafael Benitez qui prendra les commandes de l'Inter après le départ de Mourinho au Real Madrid. Mais même si le club milanais avait remporté la Supercoupe d'Italie ( 3-1 contre la Roma ) et la coupe du monde des clubs ( 3-0 contre le TP Mazembe ) tout en précisant qu'il s'était incliné en Supercoupe d'Europe contre l'Atlético Madrid ( défaite 2-0 ) le coach Benitez sera limogé à la mi-Décembre 2010 suite aux mauvais résutats enregistrés en championnat et sera remplacé par Leonardo. Et là sous la houlette de l'entraîneur brésilien l'ancien barcelonais étoffera son palmarès d'une nouvelle coupe d'Italie ( remportée cette fois-ci 3-1 contre Palerme ) après avoir déjà inscrit la coupe du monde des clubs tout en précisant qu'il ne sera pas du tout présent sur la feuille de match de la Supercoupe d'Italie ainsi que celle de la Supercoupe d'Europe. En championnat après quatre titres de champion d'affilée les Nerazzurris ne termineront que deuxièmes à six points du grand rival milanais, le Milan AC, tout en ayant la meilleure attaque avec 69 buts d'inscrits. Et en Ligue des Champions les intéristes perdront également leur couronne en se faisant éliminer dès les quarts de finale par Schalke 04 ( deux défaites par 5-2 et 2-1 ). A titre personnel sans être titulaire indiscutable il sera tout de même l'un des hommes de base de l'Inter avec 29 matchs toutes compétitions confondues ( dont 19 en Série A avec quatre buts de marqués sans oublier celui qu'il inscrira en Europe )ce qui fera de lui le treizième élément le plus utilisé derrière Eto'o ( 53 ), Zanetti ( 52 ), Lucio ( 47 ), Cambiasso ( 45 ), Maicon ( 43 ), Goran Pandev ( 42 ), Dejan Stankovic ( 40 ), le duo Julio César-Sneijder ( 39 ), Christian Chivu ( 37 ), Diego Milito ( 34 ) et Ivan Cordoba ( 30 ).
 
THIAGO MOTTA
L'ancien de l'Atlético Madrid débutera bien la saison 11/12 avec l'Inter mais à la fin Janvier 2012 il quittera l'Italie pour rallier le championnat de France afin de s'engager avec le PSG version Qatar pour trois ans et demi. Et avant d'aller tarvailler sous les ordres de l'entraîneur italien Carlo Ancelotti l'ancien Blaugrana aura perdu 2-1 la Supercoupe d'Italie contre le Milan AC et aura disputé quatorze matchs toutes compétitions confondues avec l'Inter ( dix en Série A avec trois buts d'inscrits, un en Supercoupe d'Italie, un en coupe nationale et deux en Ligue des Champions ).

N.B :

Annoncé dans la capitale mi-janvier, le transfert n'avait pas abouti, car le club milanais ne s'était pas renforcé. Marseille ayant vendu Lucho Gonzalez au FC Porto, cela avait permis à l'Inter de recruter Fredy Guarín en provenance du club portugais, facilitant la vente de Thiago Motta au Paris Saint-Germain.

En débarquant à Paris il trouvera une équipe éliminée des joutes européennes après avoir terminée quatrième du groupe F lors de la phase de poules de la Ligue Europa derrière l'Athletic Bilbao et Red Bull Salzbourg. Alors aux côtés de Salvatore Sirigu, Zoumana Camara, Sylvain Armand, Diego Lugano, Alex, Milan Bisevac, Mamadou Sakho, Marcos Ceara, Christophe Jallet, Maxwell, Siaka Tiéné, Mohamed Sissoko, Mathieu Bodmer, Clément Chantôme, Blaise Matuidi, Nené, Jérémy Ménez, Javier Pastore, Guillaume Hoarau, Mevlut Erding et Kevin Gameiro pour ne citer qu'eux il ne se contentera que du championnat et de la coupe de France où le club de la capitale terminera dauphin de Montpellier avec trois points de retard ( tout en ayant la meilleure attaque avec 75 buts de marqués ) et n'ira pas plus loin que les quarts de finale qu'il perdra 3-1 contre Lyon, futur vainqueur de la coupe nationale. A titre personnel le début de son histoire parisienne se soldera avec seize matchs toutes compétitions confondues ( quatorze en Ligue 1 avec deux buts de marqués et deux en coupe de France ).
La saison 12/13 sera très difficile pour l'ancien intériste puisqu'à cause de nombreuses blessures il ne totalisera que quinze matchs toutes compétitions confondues ( douze en Ligue 1 avec un but d'inscrit, un en coupe de France et deux en coupe d'Europe ). Son temps de jeu plus que faiblard lui permettra quand même de voir son nom associé à tous ceux de ses partenaires au titre de champion de France conquis avec douze points d'avance sur l'O.M tout en ayant les meilleures attaques ( 69 ) et défenses ( 23 ). A préciser qu'il participera également aux parcours du PSG en coupe de France et en Ligue des Champions où le club parisien s'inclinera dans les deux compétitions en quarts de finale respectivement contre le futur finaliste, Evian Thonon Gaillard, ( aux tirs aux buts après un 1-1 final après prolongations ) et le FC Barcelone ( à cause de la règle des buts inscrits à l'extérieur après un 3-3 score cumulé ( 2-2 à domicile et 1-1 en Catalogne ) ). Par contre il ne sera pas du tout présent sur les feuilles de matchs de la coupe de la Ligue où ses coéquipiers atteindront les quarts de finale qu'ils perdront aux tirs aux buts contre l'ASSE, futur vainqueur de l'épreuve, après un 0-0 final après prolongations.
Epargné par les soucis physiques il sera l'un des titulaires indiscutables du nouvel entraîneur en la personne de Laurent Blanc au point de finir comme le cinquième joueur le plus utilisé avec 47 matchs toutes compétitions confondues ( dont 32 en Ligue 1 avec trois buts de marqués sans oublier celui qu'il inscrira en coupe de France et les deux en Europe ) à six unités de Lucas, à cinq de Matuidi, à deux de Sirigu et à une d'Ezequiel Lavezzi. Sa belle saison 13/14 lui vaudra de faire parti de l'équipe type de l'année lors des Trophées UNFP aux côtés de ses équipiers Sirigu, Thiago Silva, Marco Verratti, Edinson Cavani et Zlatan Ibrahimovic ainsi que Serge Aurier, Loïc Perrin, Layvin Kurzawa, James Rodriguez et Alexandre Lacazette. A préciser également qu'il avait été nommé aussi pour le trophée du meilleur joueur en compagnie de James Rodriguez et de ses équipiers Thiago Silva et Zlatan Ibrahimovic et ce sera ce dernier qui remportera la distinction. Collectivement il étoffera son palmarès du Trophée des Champions ( 2-1 contre Bordeaux ), de la coupe de la Ligue ( 2-1 contre Lyon ) et d'un second titre de champion consécutif conquis cette fois-ci avec neuf points d'avance tout en ayant les meilleures attaques ( 84 ) et défenses ( 23 ). Sur la scène européenne les parisiens feront le même parcours que l'année passée en Ligue des Champions en n'allant pas plus loin que les quarts de finale qu'ils perdront encore à cause de la règle du but inscrit à l'extérieur et cette fois-ci contre Chelsea après un nouveau 3-3 score cumulé ( victoire 3-1 à domicile et défaite 2-0 en Angleterre ).
Son début de saison 14/15 le verra se faire agresser à la mi-Août à la fin du match contre Bastia par Brandao du fait qu'il avait insulté le joueur bastiais tout au long de la rencontre ce qui amènera ce dernier à lui donner un coup de tête qui lui fractuera le nez. Ensuite ses prestations ne seront pas du même niveau que celles de l'année précédente ce qui lui vaudra d'être critiqué par les médias pour son manque d'implication dans l'équipe avec ses partenaires Cavani et Lavezzi notamment. Suite à ses critiques plusieurs rumeurs de départ circuleront durant la trêve hivernale mais l'ancien Blaugrana fera savoir à la presse son désir de rester au PSG. Et là lors des matchs retours il retrouvera son meilleur niveau et sa place de titulaire au sein du onze parisien ce qui l'amènera finalement à finir comme le treizième joueur le plus utilisé avec 38 matchs toutes compétitions confondues ( dont 27 en Ligue 1 ) derrière le duo Matuidi-Cavani ( 53 ), Pastore ( 51 ), Verratti ( 49 ), Lavezzi ( 47 ), Lucas ( 46 ), le duo Sirigu-David Luiz ( 45 ), Marquinhos ( 42 ), Gregory Van der Wiel ( 41 ) et le duo Thiago Silva-Maxwell ( 40 ). Et collectivement cette année là sera grandiose puisqu'elle terminera par un historique quadruplé avec le Trophée des Champions ( 2-0 contre Guingamp ), la coupe de la Ligue ( 4-0 contre Bastia ), la coupe de France ( 1-0 contre Auxerre ) et un troisième titre de champion consécutif conquis cette fois-ci avec huit points d'avance sur Lyon tout en ayant la meilleure attaque avec 83 buts de marqués. Sur la scène européenne le PSG atteindra pour la troisième fois d'affilée les quarts de finale de la Ligue des Champions mais une nouvelle fois le club de la capitale ne franchira pas le cap puisqu'il s'inclinera 5-1 score cumulé contre le FC Barcelone, futur vainqueur de l'épreuve, ( deux défaites par 3-1 et 2-0 ).
Pour la saison 15/16 l'ancien du Genoa sera l'un des hommes de base du PSG ce qui lui vaudra de terminer comme le huitième élément le plus utilisé avec 45 matchs toutes compétitions confondues ( dont 32 en Ligue 1 avec un but d'inscrit ) à onze unités de Lucas, à sept de Cavani, à six d'Ibrahimovic, à trois de Matuidi, à deux d'Angel Di Maria et à une du duo Kevin Trapp-Thiago Silva. Collectivement le PSG réalisera pour la deuxième année d'affilée un quadruplé national mais Motta n'inscrira à son palmarès que la coupe de la Ligue ( 2-1 contre Lille ), la coupe de France ( 4-2 contre Marseille ) et le championnat ( avec 31 points d'avance sur le duo O.L-Monaco tout en ayant les meilleures attaques ( 102 ) et défenses ( 19 ) ) car il ne jouera aucune minute lors du Trophée des Champions ( victoire 2-0 contre Lyon ). Et en coupe d'Europe ce sera encore la même chanson que les années précédentes avec une nouvelle élimination en quarts de finale de la Ligue des Champions après une défaite 3-2 score cumulé contre Manchester City ( 2-2 à domicile et défaite 1-0 en Angleterre ).
Pour la saison 16/17 malgré ses 34 ans il sera bel et bien l'un des hommes forts du nouvel entraîneur parisien en la personne de l'espagnol Unai Emery au point de finir comme le septième joueur le plus utilisé avec 42 matchs toutes compétitions confondues ( dont trente en Ligue tout en précisant qu'il marquera un but en coupe de France ) derrière Lucas ( 53 ), Matuidi ( 52 ), Cavani ( 50 ), Marquinhos ( 44 ) et le duo Verratti-Di Maria ( 43 ). Collectivement il étoffera son palamrès d'un triplé avec le Trophée des Champions ( 4-1 contre Lyon ), la coupe de la Ligue ( 4-1 contre Monaco ) et la coupe de France ( 1-0 contre Angers ) mais par contre cette année là le PSG perdra son titre national pour le laisser à l'AS Monaco ( avec huit points de retard tout en ayant la meilleure défense avec 27 buts d'encaissés ). En Ligue des Champions les parisiens échoueront une nouvelle fois mais cette fois-ci ce sera en huitièmes de finale suite à leur défaite 6-5 score cumulé contre le FC Barcelone ( victoire 4-0 à domicile mais perdront 6-1 en Catalogne ).
La saison 17/18 verra l'ancien Nerazzurri être embêté par quelques soucis physiques ce qui l'amènera quand même à enregistrer des statistiques correctes avec 28 matchs toutes compétitions confondues ( dont 19 en Ligue 1 avec un but de marqué ). Et même s'il passera du temps à l'infirmerie il étoffera encore son palmarès d'un Trophée des Champions ( 2-1 contre Monaco ), d'une coupe de France ( 2-0 contre Les Herbiers ) et du titre de champion de France ( avec treize points d'avance sur Monaco tout en ayant les meilleures attaques ( 108 ) et défenses ( 29 ) ) mais par contre il ne pourra pas y ajouter une nouvelle coupe de la Ligue ( 3-0 contre Monaco ) du fait qu'il n'y aura pas joué une seule minute. Et le projet du PSG de remporter la Ligue des Champions sera encore avorté suite à une nouvelle élimination dès les huitièmes de finale après sa défaite 5-2 score cumulé contre le futur vainqueur de l'épreuve, le Real Madrid, ( deux défaites par 3-1 et 2-1 ).
Et ce sera sur cette ultime saison qu'il annoncera qu'il mettait fin à sa carrière durant laquelle il aura collectionné les titres avec huit titres de champion, onze coupes nationales, deux Ligues des Champions, une coupe du monde des clubs et six Supercoupes nationales.
 
THIAGO MOTTA

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Sélection : 30

La carrière internationale de Thiago Motta débutera avec les moins de 17 ans du Brésil avant de rejoindre les Espoirs brésiliens avec lesquels il disputera la Gold Cup 2003 où il atteindra la finale que lui et ses coéquipiers perdront contre le Mexique sur un but en or ( défaite 1-0 ).
Ses prestations avec le FC Barcelone lui permettront durant l'année 2003 de porter le maillot de l'équipe A des Auriverdes à deux reprises.

Malgré ses sélections brésiliennes il aura le feu vert de la FIFA au début de l'année 2011 pour porter la tunique de l'équipe nationale de l'Italie du fait qu'il avait des origines italiennes. Sa première sélection avec la Squadra Azzurra se déroulera au début du mois de Février 2011 lors d'un match amical contre l'Allemagne.
En 2012 il disputera l'Euro 2012 où il atteindra la finale contre l'Espagne ( défaite 4-0 ) tout en précisant que durant l'ultime rencontre de la compétition il rentrera en jeu à la 55ème minute mais sortira sur blessure quelques instants plus tard laissant ainsi ses partenaires à dix contre onze pour le reste du match du fait que les trois changements italiens avaient été faits.
En 2014 il disputera la coupe du monde dans son pays natal comme titulaire mais vivra une élimination dès le premier tour suite à la troisième place finale de l'Italie acquise dans le groupe D derrière le Costa Rica et l'Uruguay.
En 2016 il sera retenu par Antonio Conte pour disputer l'Euro mais devra se cantonner à un rôle de remplaçant. Il entrera en jeu durant tous les matchs à part le troisième du groupe E contre L'Irlande qui était sans enjeu pour les italiens. Et il ne jouera pas le quart de finale contre l'Allemagne à cause d'une suspension ce qui l'amènera à voir comme spectateur ses coéquipiers se faire éliminer aux tirs aux buts après un 1-1 final après prolongations.
Ensuite après cet Euro organisé en France il disparaîtra de l'équipe nationale d'Italie bloquant ainsi son compteur à trente sélections avec un but de marqué.
 
THIAGO MOTTA
RECONVERSION :

Dès l'arrêt de sa carrière Thiago Motta se reconvertira comme entraîneur ce qui l'amènera à prendre en charge les U19 du PSG pour la saison 18/19 tout en précisant que pour être en règle il se dépêchera d'obtenir ses premiers diplômes dès Septembre 2018.

PALMARES :

-2005 : Champion d'Espagne ( Barcelone ).
-2006 : Champion d'Espagne, vainqueur de la Ligue des Champions et finaliste de la coupe du monde des clubs ( Barcelone ).
-2010 : Champion et vainqueur de la coupe d'Italie, vainqueur de la Ligue des Champions et de la coupe du monde des clubs ( Inter Milan ).
-2011 : Vainqueur de la coupe d'Italie ( Inter Milan ).
-2012 : Finaliste de l'Euro ( Italie ).
-2013 : Champion de France ( PSG ).
-2014 : Champion de France et vainqueur de la coupe de la Ligue ( PSG ).
-2015 : Champion de France et vainqueur des coupes de France et de la Ligue ( PSG ).
-2016 : Champion de France et vainqueur des coupes de France et de la Ligue ( PSG ).
-2017 : Vainqueur des coupes de France et de la Ligue ( PSG ).
-2018 : Champion de France et vainqueur des coupes de France et de la Ligue ( PSG ).

BILAN DE CARRIERE :

-2001 à 2007 : Barcelone ( Espagne ) 96 matchs joués pour six buts de marqués.
-2007 à 2008 : Atléico Madrid ( Espagne ) 6 matchs joués.
-2008 à 2009 : Genoa ( Italie ) 27 matchs joués pour six buts de marqués.
-2009 à Janv 2012 : Inter Milan ( Italie ) 55 matchs joués pour onze buts de marqués.
-Janv 2012 à 2018 : PSG ( France ) 166 matchs joués pour huit buts de marqués.
 
 
 
 


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#Posté le samedi 26 janvier 2019 15:31

Modifié le dimanche 27 janvier 2019 12:20

THIBAULT GIRESSE

 
Ce ne sera pas du tout facile pour Thibault Giresse de se faire une place dans le monde du football professionnel duait qu'il était le fils d'Alain, emblématique joueur des Girondins de Bordeaux et de l'équipe de France. Et même s'il subira et parfois souffrira de la comparaison avec son paternel il réussira à se faire un nom au sein des championnats de Ligue 1 et Ligue 2 sous les couleurs de Toulouse, Le Havre, Amiens et Guingamp.
 
THIBAULT GIRESSE
Thibault Giresse est né en 1981 à Talence en Gironde. Fils d'Alain, emblématique capitaine des Girondins de Bordeaux et titulaire indiscutable de l'équipe de France aux côtés des Michel Platini et Jean Tigana entre autres, il grandira en voyant son père terminer sa carrière du côté de Marseille. Tombé dans la passion du ballon rond il débutera le football dans le petit club de son village natal àl'âge de cinq ans et dès sa première année son paternel comptabilisera 170 buts de marqués par son rejeton tout en précisant que ce dernier prenait du plaisir à enquiller les buts. Et quand son paternel deviendra le directeur sportif de Bordeaux en Février 1989 ( en lieu et place de Didier Couéou, devenu le nouvel entraîneur des Girondins après le licenciement d'Aimé Jacquet ) le jeune Giresse prendra une licence au sein du club bordelais afin de poursuivre sa formation de milieu offensif. Ensuite lorsque son père deviendra le directeur sportif de Toulouse à partir de la saison 93/94 Thibault le suivra pour intégrer les équipes de jeunes du Téfécé. Et quand son paternel sera nommé entraîneur du club haut-garonnais en Novembre 1995 après la démission de Rolland Courbis ça sera un peu plus difficile pour l'adolescent de plus de quatorze ans du fait qu'il subira la comparaison avec son illustre père, qu'on disait qu'il profitait du statut de son paternel et surtout qu'il entendra très souvent qu'il était le " fils de ". Il vivra ça dans les catégories de jeunes mais cela sera pareil voire pire lorsqu'il apparaîtra sur la scène médiatique.
Lorsque papa quittera Toulouse durant l'été 1998 pour le PSG le jeune de 17 ans pensait qu'il serait plus tranquille pour la suite de sa formation mais lorsque son père se fera limoger à la mi-Octobre 1998 de l'équipe parisienne il reviendra au Téfécé pour reprendre les rênes du club toulousain en lieu et place de Guy Lacombe.
Alors sous l'oeil de son paternel il terminera son cursus de formation tout en obtenant son Bac avec un an d'avance ( ensuite il obtiendra son Deug de biologie ) avant de se faire les dents en équipe réserve de 1999 à 2001 au sein de laquelle il cotoyera quelques joueurs comme Fabien Audard, Fabrice Jau, Nicolas Seube, Nicolas Dieuze, Julien Cardy, Laurent Courtois et Achille Emana entre autres qui réussiront une honorable carrière professionnelle.
Même si son père n'était plus à Toulouse ( il perdra sa place de coach au début du mois d'Octobre 2000 ) Thibault verra sa carrière prendre une nouvelle direction durant l'été 2001 en intégrant l'effectif de l'équipe première qui allait disputer le championnat du National en 01/02. Alors que le Téfécé avait terminé 17ème de la D1 en 00/01 avec une relégation en seconde division à la clé mais à cause d'un déficit de 70 millions de francs il sera rétrogradé en National par la Direction Nationale du Contrôle de Gestion. Et là la direction toulousaine misera sur l'expérience de Christophe Revault, William Prunier, Stéphane Lièvre et Anthony Bancarel pour encadrer la jeunesse du centre de formation du TFC au sein de laquelle on pouvait y trouver Aurélien Mazel, Issoumaïla Dao, Othmane Hamama, Julien Cardy, Nabil Taïder, Wilfried Niflore, Nasser Hakkar, Achille Emana, Cédric Fauré, Jérémy Blayac et sans oublier le fils Giresse qui venait tout juste de fêter ses vingt ans. Et cette formation qu'on surnommera " Les Pitchounes " sera dirigée par Erick Mombaerts avec comme objectif principal d'essayer de remonter en D2 dès que possible. Et là le Téfécé réalisera l'impensable en retrouvant la seconde division illico-presto grâce à sa quatrième place finale acquise à trois points de Clermont Foot, à deux de Reims et à égalité avec l'ASOA Valence tout en ayant la deuxième attaque la plus prolifique ( 54 à quatre unité de Valence ) et la défense la plus imperméable avec seulement vingt buts d'encaissés. A titre personnel le talençais profitera de la chance qu'on lui donnait pour prouver qu'il avait les qualités pour s'imposer comme milieu offensif et plus particulièrement sur le côté gauche de la ligne offensive du TFC. Finalement sa première année au sein du onze type des " Pitchounes " se soldera avec 41 rencontres toutes compétitions confondues ( avec aucune absence en National ) ce qui fera de lui le joueur le plus utilisé devançant même les vieux briscards Revault ( 40 ), Lièvre ( 37 ), Prunier ( 34 ) et Bancarel ( 24 ). Et en plus de de s'être imposé comme titulaire indiscutable il éclatera également au niveau de l'efficacité en terminant comme le troisième meilleur buteur toutes compétitions confondues avec dix réalisations ( neuf en championnat et un en coupe de France ) à quatre unités de Sébastien Macé et à une de Fauré. Vraiment une très belle saison pour Giresse Jr.
La saison 02/03 verra le jeune homme de 21 ans confirmer son statut de pièce maîtresse du Téfécé au point de finir comme l'un des joueurs les plus utilisés par Mombaerts avec 35 matchs toutes compétitions confondues ( dont trente en D2 ) ex-aequo avec Ousmane N'Doye derrière Prunier ( 41 ), Mazel ( 40 ), le trio Lièvre-Cardy-Fauré ( 39 ) et le duo Revault-Emana ( 38 ). Avec huit buts de marqués ( six en championnat, un en coupe de France et un en coupe de la Ligue ) il fera encore parti des meilleurs buteurs toulousains toutes compétitions confondues et plus précisément au troisième rang pour la seconde année d'affilée à douze unités de Fauré et à une d'Anthony Braizat. Toujours encadrés par Revault, Prunier, Lièvre et Bancarel les Pitchounes seront dans la lignée de leur saison en National puisqu'ils valideront leur ticket pour l'élite deux ans après l'avoir quittée en s'octroyant la première place du classement avec quatre points d'avance sur Le Mans et cinq sur Metz tout en ayant la meilleure défense avec 24 buts d'encaissés et la seconde attaque la plus efficace ( 50 à deux unités du club messin.
 
Après avoir remporté le titre de champion de France de D2 le girondin pure souche allait pouvoir découvrir le haut niveau français lors de la saison 03/04. Mais après avoir été titulaire indiscutable en National et en D2 il déchantera complètement en D1 du fait qu'il y avait du monde pour composer le milieu de terrain du TFC avec Cardy, Dieuze, Taïder, Florent Balmont Sylvain Didot, Christophe Avezac et Emana. Alors la première partie de la saison 03/04 se soldera avec seulement six apparitions sur les feuilles de matchs toutes compétitions confondues ( cinq en D1 et un en coupe de la Ligue ) ce qui l'amènera à accepter à se faire prêter pour le reste de l'année du côté du Havre qui évoluait en D2 avec l'objectif de remonter aussi sec à l'étage supérieur que le club normand venait de quitter. Et là il retrouvera le plaisir de mouiller son maillot tout en étant l'auteur de bonnes prestations ce qui amènera son prêt à se solder avec seize matchs de championnat et quatre buts de marqués. Collectivement malgré un groupe potable ( Alexander Vencel, Pierre Ducrocq, Jérémy Hénin, Thomas Lécossais, Laurent Ciechelski, Alexandre Dujeux, Jean-Michel Lesage, Guillaume Beuzelin, David Martot, Alexis Bertin, Alexis Genet, William Mocquet, Gérald Baticle, Olivier Fauconnier et Hervé Bugnet pour ne citer qu'eux ) le club doyen du football français ne réussira pas à valider son ticket retour pour l'élite à cause d'une septième place finale acquise avec onze points de retard sur le podium.
 
THIBAULT GIRESSE
Finalement son expérience havraise sera très satisfaisante au point que les dirigeants du Téfécé feront de lui l'un des hommes de base du club haut-garonnais pour la saison 04/05. Après le départ d'Avezac pour le FC Metz le talençais sera le titulaire indiscutable pour occuper le poste de milieu ofensif gauche ce qui lui vaudra de terminer comme le septième élément le plus utilisé par le coach Mombaerts avec 31 matchs toutes compétitions confondues ( dont 28 en D1 avec deux buts d'inscrits ) ex-aequo avec Daniel Moreira derrière Revault ( 41 ), Emana ( 40 ), Taïder ( 39 ), Albin Ebondo ( 37 ), Lucien Aubey ( 36 ) et Dominique Arribagé ( 34 ). Collectivement le TFC réalisera un bon championnat de France mais une suite de huit défaites consécutives en fin d'exercice lui vaudra de ne finir qu'au treizième rang du classement à quatre points du premier relégable et à six d'une qualification pour l'Intertoto tout en ayant l'une des plus faibles attaques ( 36 à égalité avec AC Ajaccio et Caen à onze unités d'Istres, à quatre de Bastia et à trois du duo Metz-Nantes ).
Par contre la saison 05/06 sera plus délicate pour le fils Giresse à cause des arrivées de Fodé Mansaré, Bryan Bergougnoux et Laurent Battles au point de ne totaliser que onze présences sur les feuilles de matchs toutes compétitions confondues ( neuf en D1, une en coupe de France et une en coupe de la Ligue ). Et ce temps de jeu faiblard lui permettra quand même de prendre part au parcours en coupe de la Ligue jusqu'en quarts de finale ( perdu 2-0 contre l'AS Monaco ) et surtout au maintien du Téfécé en D1acquis par une seizième place finale avec huit points d'avance sur le premier relégable tout en ayant l'une des plus faibles défenses ( 47 ex-aequo avec Sochaux et Troyes derrière Metz ( 59 ), Strasbourg ( 56 ), AC Ajaccio ( 53 ) et Rennes ( 49 ) ).
 
THIBAULT GIRESSE
Voulant retrouver du temps de jeu il décidera de quitter pour de bon son club formateur pour retourner en seconde division afin de s'engager avec Amiens. Et là dès sa première rencontre sous la tunique du club picard l'ancien toulousain s'illustrera immédiatement en délivrant une passe décisive et en inscrivant un but. Ensuite ses prestations convaincront le coach Ludovic Batelli d'en faire un titulaire indiscutable au sein de son milieu de terrain ce qui l'amènera à ne rater aucune journée du championnat de D2 06/07 sur les 38 possibles. Finalement sa première saison amiénoise se soldera avec 43 matchs toutes compétitions confondues faisant ainsi de lui le joueur le plus utilisé juste devant le duo Cyrille Merville-David De Freitas ( 41 ). Et pour conclure cette belle année il finira même comme le second meilleur buteur toutes compétitions confondues avec dix réalisations ( toutes inscrites en championnat ) derrière Sébastien Heitzmann ( 12 ). Et collectivement ce sera aussi éblouissant pour l'ancien Pitchoune puisqu'avec un groupe solide ( Merville, Joël Sami, Aurélien Boche, David Vairelles, Stéphane Hernandez, Fernando Casartelli, Benjamin Nicaise, De Freitas, Fabrice Levrat, Antoine Buron, Christian Kinkela, Heitzmann, Titi Buengo, Bertrand Fayolle et Nicolas Raynier pour ne citer qu'eux ) Amiens sera à deux doigts d'accéder à l'élite mais sa quatrième place finale et un point de retard sur le podium l'empêcheront de faire parti pour la première fois de son histoire des clubs disputant le championnat de France de Ligue 1.
La saison 07/08 verra le girondin confirmer son statut de joueur incontournable de l'ASC en accumulant 45 matchs toutes compétitions confondues ( avec une seule absence en D2 ) ce qui fera de lui pour la deuxième année l'amiénois le plus utilisé par l'entraîneur Batelli en devançant cette fois-ci de cinq unités Titi Buengo. Et au niveau de l'efficacité il sera encore bien présent car avec neuf buts d'inscrits ( sept en championnat, un en coupe de France et un en coupe de la Ligue ) il terminera comme la troisième meilleure gâchette toutes compétitions confondues derrière Buengo ( 17 ) et Bakaye Traoré ( 10 ). Par contre collectivement l'exercice de seconde division sera plus délicat que le précédent du fait que les picards ne finiront que quatorzièmes à quatre points du premier relégable et à 18 du podium synonyme de montée en Ligue 1 tout en ayant une défensefriable ( 51 à égalité avec Dijon derrière Libourne-Saint-Seurin ( 62 ), Gueugnon ( 59 ), Boulogne ( 54 ) et Reims ( 52 ) ). L'année amiénoise sera sauvée par une belle épopée en coupe de France jusqu'en demi-finales que Giresse et ses coéquipiers perdront 1-0 contre le PSG.
Sous la houlette d'un nouvel entraîneur en la personne de Thierry Laurey la saison 08/09 se terminera mal car à cinq journées de la fin du championnat de Ligue 2 l'ASC était douzième avec sept points d'avance sur le premier relégable mais deux défaites et trois nuls amèneront le club picard à finir 18ème à une petite unité du maintien ( tout en ayant l'une des attaques les moins prolifiques ( 35 derrière Nîmes ( 32 ) et Vannes ( 34 ) ) ). A titre personnel l'ancien toulousain tiendra son rang en finissant de nouveau comme le joueur le plus utilisé avec quarante matchs toutes compétitions confondues ( avec aucune absence en championnat ) avec cette fois-ci une petite longueur d'avance sur Foued Kadir. Et à préciser que pour la deuxième année d'affilée il terminera au troisième rang du classement des meilleurs buteurs d'Amiens toutes compétitions confondues avec cette fois-ci six buts de marqués ( tous en Ligue 2 ) ex-aequo avec Abdoulaye Baldé à trois unités de Bakaye Traoré et à une de Roy Contout.
 
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En fin de contrat il ne suivra pas Amiens en National ce qui l'amènera à poursuivre sa carrière du côté de l'En Avant Guingamp qui évoluait en Ligue 2 et qui venait tout juste de remporter la coupe de France contre le Stade Rennais ( 2-1 ). Et son arrivée en Côtes d'Armor lui permettra de jouer à 28 ans la coupe UEFA mais ça sera éphémère puisque le club breton se fera éliminer dès le barrage de qualification par l'équipe allemande de Hambourg en s'inclinant deux fois sur les scores de 5-1 et 3-1. Au sein des compétitions domestiques l'EAG perdra le Trophée des Champions contre Bordeaux ( 2-0 ), atteindra les quarts de finale de la coupe de la Ligue ( perdu 1-0 contre Toulouse ) mais par contre en Ligue 2 ce sera un parcours complètement loupé du fait que le club guingampais sera relégué en National, division qu'il n'avait plus fréquenté depuis 1994, suite à sa place de premier relégable acquise à cause d'un tout petit point de retard pour la validation de son maintien. A titre personnel l'ancien amiénois s'adaptera sans soucis à sa nouvelle formation puisqu'il terminera comme le joueur le plus utilisé par l'entraîneur Victor Zvunka avec quarante matchs toutes compétitions confondues ( dont 32 en Ligue 2 ) avec deux unités d'avance sur le duo Felipe Saad-Fabrice Colleau. Et avec seulement cinq buts de marqués ( quatre en championnat et un en coupe de France ) il finira comme le meilleur buteur guingampais toutes compétitions confondues à égalité avec Mouritala Ogunbiyi et Gilmar.
Pour essayer de remonter illico-presto en seconde division les dirigeants costarmoricains nommeront Jocelyn Gourvennec comme nouvel entraîneur et là l'EAG réalisera un championnat parfait en validant la montée à l'étage supérieur grâce à une troisième place finale avec onze points de retard sur Bastia et quatre sur Amiens tout en ayant la meilleure attaque avec 87 buts d'inscrits. A titre personnel l'ancien du Téfécé effectuera une énorme saison 10/11 du fait qu'il finira comme le joueur le plus utilisé avec 46 matchs toutes compétitions confondues ( avec une seule absence en championnat ) et surtout comme le meilleur buteur guingampais avec 24 buts d'inscrits ( 21 en National, deux en coupe de France et un en coupe de la Ligue ) avec quatre unités d'avance sur Mathieu Scarpelli et onze sur Ogunbiyi. Et pour conclure cette merveilleuse année les réalisations du girondin en National lui permettront de terminer comme le meilleur buteur de la division. Une énorme saison pour Giresse Jr. Et en plus cette éblouissante année 10/11 lui vaudra de faire parti de l'équipe type du National lors des Trophées UNFP aux côtés de Macedo Magno Novaes, Pierre Vignaud, Milovan Sikimic, Jérémy Choplin, Jean-Charles Cirilli, Lionel Mathis, Yannick Cahuzac, Sadio Diallo, David Suarez et Jan Koller.
Pour son retour en Ligue 2 Guingamp réalisera un début de championnat plus que correct ( cinquième en Décembre 2011 à deux points du podium ) avant de s'écrouler lors des matchs retours mais grâce à une série de sept rencontres sans défaites l'EAG réussira à arracher une septième place finale à neuf points d'une montée en Ligue 1. A titre personnel le talençais sera encore l'un des pions essentiels du promu costarmoricain ce qui lui vaudra de finir comme le deuxième joueur le plus utilisé avec quarante matchs toutes compétitions confondues ( avec seulement deux absences en D2 ) ex-aequo avec Anthony Knockaert à deux unités de Fatih Atik. Et en terme d'efficacité il sera moins prolifique que l'année précédente en National mais terminera tout de même comme le second meilleur buteur toutes compétitions confondues avec onze buts ( huit en championnat, deux en coupe de France et un en coupe de la Ligue ) à deux unités de Knockaert.
Le championnat de France de Ligue 2 12/13 ressemblera au précédent du fait que l'EAG sera de nouveau cinquième à la mi-saison mais cette fois-ci le club breton ne flanchera pas lors des matchs retours au point de valider son ticket pour l'élite grâce à sa deuxième place finale avec six points de retard sur l'AS Monaco tout en ayant la seconde attaque la plus prolifique ( 63 à une longueur du club d ela Principauté ). A titre personnel l'ancien havrais sera toujours indispensable au sein du onze guingampais en accumulant 38 matchs toutes compétitions confondues ( avec encore deux absences en D2 ) ce qui fera de lui le deuxième élément le plus utilisé à égalité avec Lionel Mathis à une unité de Christophe Kerbrat. Avec neuf buts de marqués en Ligue 2 il finira tout de même comme la deuxième meilleure gâchette toutes compétitions confondues bien loin de Mustapha Yatabaré ( 23 ).
Pour ses retrouvailles avec l'élite après une absence de sept années le girondin sera encore omniprésent sur les feuilles de matchs mais en n'étant plus un titulaire indiscutable suite à un milieu de terrain bien fourni avec Mathis, Moustapha Diallo, Younousse Sankharé, Steeven Langil et Atik. Finalement il fera quand même parti des joueurs les plus utilisés avec 36 matchs toutes compétitions confondues ( dont trente en Ligue 1 avec seulement trois buts dinscrits ) ex-aequo avec Mathis et Diallo derrière Jérémy Sorbon ( 43 ), le duo Kerbrat-Claudio Beauvue ( 42 ), Sankharé ( 40 ) et Yatabaré ( 38 ). Collectivement le promu breton disputera une première partie de championnat assez convaincante mais la phase retour sera plus difficile sans que l'EAG ne vive le pire du fait qu'il finira seizième à deux points du premier relégable tout en ayant la deuxième plus mauvaise attaque ( 34 derrière Nice ( 30 ) ). Et en parallèle d'un exercice hexagonal très délicat le club costarmoricain atteindra de nouveau la finale de la coupe de France et ce sera comme en 2009 contre le Stade Rennais qu'il se l'adjugera en gagnant cette fois-ci 2-0. Cette victoire en coupe de France lui permettra de rejoindre son père dans le palmarès de cette compétition 28 ans après que son paternel l'ait remporté en 1986 avec Bordeaux.
A 33 ans le girondin disputera sa deuxième campagne européenne et cette fois-ci ce sera plus long que la première puisque l'EAG passera la phase de poules en finissant second du groupe K derrière la Fiorentina mais se fera éliminer lors des seizièmes de finale par le Dynamo de Kiev ( victoire 2-1 à domicile et défaite 3-1 en Ukraine ). Au sein des compétitions domestiques les guingampais perdront encore le Trophée des Champions ( cette fois-ci contre le PSG avec une nouvelle défaite 2-0 ) et ensuite réaliseront des bons parcours du fait qu'ils atteindront les quarts de finale de la coupe de la Ligue ( perdu 2-0 contre Monaco ), les demi-finales de la coupe de France ( perdue 1-0 contre Auxerre ) et qu'ils finiront dixièmes en Ligue 1 avec douze points d'avance sur le premier relégable. A titre personnel l'ancien toulousain sera l'un des hommes forts du coach Gourvennec au point de terminer comme le troisième joueur le plus utilisé avec 46 matchs toutes compétitions confondues ( dont 32 en Ligue 1 avec deux buts de marqués sans oublier celui qu'il inscrira en coupe de France ) ex-aequo avec Christophe Mandanne à six unités de Claudio Beauvue et à deux de Jérémy Sorbon.
Avec un remaniement au sein de l'effectif ( Sloan Privat, Nill De Pauw, Julien Bègue, Mana Dembélé, Nicolas Benezet, Sada Thioub et Jimmy Briand compensant les départs de Claudio Beauvue, Sambou Yatabaré, Ladislas Douniama, Hugo Guichard, Christophe Mandanne, Sylvain Marveaux et Jérémy Pied ) l'EAG réalisera un championnat de France 15/16 délicat du fait qu'il n'assurera son maintien qu'en finissant seizième avec cinq points d'avance sur le premier relégable tout en précisant tout de même qu'il atteindra les quarts de finale de la coupe de la Liguequ'il perdra contre Lille, futur finaliste ( aux tirs aux buts après un 0-0 final après prolongations ( Giresse inscrira le sien ) ). A titre personnel sans être titulair eindiscutable il terminera quand même dans les premières places du classement des joueurs les plus utilisés avec trente matchs toutes compétitions confondues ( dont 25 en Ligue avec quatre buts de marqués sans oublier celui qu'il inscrira en coupe de France ) derrière Jonas Lössl ( 42 ), Jimmy Briand ( 39 ), Jérémy Sorbon ( 38 ), le duo Lars Jacobsen-Younousse Sankharé ( 36 ), Yannis Salibur ( 34 ) et les duos Christophe Kerbrat-Marcus Coco ( 33 ) et Moustapha Diallo-Sloan Privat ( 32 ).
Suite au départ de Gourvennec pour Bordeaux ce sera Antoine Kombouaré qui dirigera le club costarmoricain et là la première année du nouvel entraîneur se soldera avec un quart de finale de coupe de la Ligue ( perdu 3-2 contre Bordeaux ), une demi-finale de coupe de France ( perdue 2-0 contre Angers ) et une dixième place finale acquise en Ligue 1 avec quatorze points d'avance sur le 18ème ( barrage de relégation ) et neuf de retard pour une qualification européenne. A titre personnel sûrement à cause de son âge ( 35 ans ) le girondin ne sera pas un titulaire indiscutable aux yeux de Kombouaré ce qui l'amènera à ne totaliser que 19 rencontres toutes compétitions confondues ( dont treize en championnat avec un but de marqué ).
La saison 17/18 sera pratiquement blanche pour le joueur de 36 ans du fait qu'il ne sera présent qu'à quatre reprises sur les feuilles de matchs toutes compétitions confondues ( trois en Ligue 1 et une au sein d'une coupe ). Alors ce sera plus comme spectateur qu'il verra ses coéquipiers terminer au douzième rang du championnat de France avec dix points d'avance sur le 18ème ( barrage de relégation ) et huit de retard pour une qualification européenne tout en ayant l'une des plus faibles défenses ( 59 ex-aequo avec Troyes derrière Metz ( 76 ), Dijon ( 73 ) et le duo Strasbourg-Lille ( 67 ) ).
Et ce sera sur cette année difficile qu'il annoncera qu'il mettait fin à sa carrière professionnelle durant laquelle il aura réussi à se faire un nom mais sans atteindre le même niveau que son père et surtout de connaître le plaisir de porter le maillot de l'équipe de France.
 
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RECONVERSION :

Dès l'arrêt de sa carrière Giresse intégrera le staff de l'EA Guingamp pour devenir un des adjoints du coach Kombouaré puis un de Jocelyn Gourvennec lorsque ce dernier reprendra les commandes du club costarmoricain à partir de Novembre 2018.

PALMARES :

-2003 : Champion de France de D2 ( Toulouse ).
-2014 : Vainqueur de la coupe de France ( Guingamp ).

BILAN DE CARRIERE :

-2001 à Janv 2004 : Toulouse ( France ) 73 matchs joués pour quinze buts de marqués.
-Janv 2004 à 2004 : Le Havre ( France ) 16 matchs joués pour quatre buts de marqués.
-2004 à 2006 : Toulouse ( France ) 37 matchs joués pour deux buts de marqués.
-2006 à 2009 : Amiens ( France ) 113 matchs joués pour 23 buts de marqués.
-2009 à 2018 : Guingamp ( France ) 236 matchs joués pour 52 buts de marqués.
 
 
 
 


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#Posté le jeudi 17 janvier 2019 12:59

Modifié le lundi 21 janvier 2019 09:36

FRANCIS PIASECKI

 
Même s'il a porté les tuniques de Metz, Valenciennes, Sochaux et le PSG Francis Piasecki restera à jamais gravé dans l'histoire du RC Strasbourg où il y restera neuf saisons et surtout y remportera l'unique titre de champion de France du club alsacien. Et l'année de ce sacre lui permettra de connaître trois sélections en équipe de France en compagnie de ses équipiers starsbourgeois Dropsy, Specht, Jouve et Gemmrich mais ça n'ira pas plus loin du fait qu'au poste de numéro dix il y avait l'indéboulonnable Michel Platini.
 
FRANCIS PIASECKI
Francis Piasecki est né en 1951 à Talange en Moselle. Passionné de ballon rond il apprendra ses premiers rudiments footballistiques pour devenir un bon meneur de jeu au sein du petit club de sa commune natale avant d'aller poursuivre sa formation dans le grand club régional qu'était le FC Metz. Alors il gravira les échelons des équipes des jeunes Grenats jusqu'à ce que l'entraîneur de l'équipe première, René Fuchs, ne décide de l'intégrer au groupe professionnel à l'aube de la saison 70/71 alors qu'il était tout juste âgé de 19 ans. Et là le jeune talengeois aura l'honneur de cotoyer pendant les séances d'entraînement des joueurs expérimentés tels qu'Albert Duchene, Fernand Jeitz, Georges Zvuka, José Lopez, Claude Hausknecht, Patrice Vicq, Daniel Bourgeois, Guy Lassalette, Tom Söndergaard, Georg Tripp et Gérard Hausser sans oublier les prometteurs Victor Zvunka, Jacky Pauvert, Denis Bauda, Jacky Perignon et Henning Ole Jensen entre autres. Par contre le mosellan pure souche savait très bien que ça serait très difficile pour lui d'engranger un temps de jeu assez conséquent du fait qu'il sera en concurrence avec Vicq qui avait plus de vécu que lui du haut niveau français. Finalement le coach Fuchs lui donnera sa chance de montrer s'il avait vraiment les qualités pour s'imposer au sein de l'élite et là grâce à une technique exceptionnelle, à ses passes courtes ou longues millémétrées, à sa frappe puissante et précise sans oublier son élégance et sa combativité il prouvera rapidement qu'il avait le potentiel pour devenir un immense numéro dix. Et suite à de bonnes prestations il s'installera petità petit au sein du onze type des Grenats mais ensuite il disparaîtra des feuilles de matchs du FC Metz à cause de ses obligations militaires. Alors très mécontent de cette injustice infligée par l'entraîneur Fuchs ce qui amènera le talengeois à aller voir le président messin, Carlo Molinari, pour avoir son autorisation pour quitter la Moselle. Et ce sera cette première affaire qui fera débuter sa légende de joueur au caractère bien trempé voire incontrôlable à certaines situations ( dans les coulisses mais aussi sur le terrain où on ne compte plus ses coups de gueule contre les adversaires, les arbitres mais aussi ses propres coéquipiers comme il l'expliquera un jour : « Je sais, je ne peux pas admettre chez les autres les fautes que je commets parfois moi-même. Mais je suis comme ça. Il faut que je gueule quand ça ne va pas » ). Finalement il ira terminer la saison 70/71 en prêt à Valenciennes à partir de début Mai 1971 où il ne jouera que deux rencontres ce qui lui vaudra de prendre quand même part à la relégation du club nordiste en D2 validée par une avant-dernière place finale avec trois points de retard sur le premier non relégable. A préciser tout de même qu'avant son départ de sa Moselle natale il aura eu l'honneur d'inscrire ses deux premiers buts professionnels en onze matchs de championnat de France joués sous la tunique des Grenats. Et ses statistiques enregistrées avec son club formateur aidera tout de même ce dernier à finir au huitième rang de l'élite à cinq points d'une qualification européenne tout en ayant l'une des plus faibles attaques ( 46 ex-aequo avec le Red Star derrière Angoulême ( 30 ), Sedan ( 42 ) et Nancy ( 45 ) ).
Durant l'été 1971 il fera son retour à Metz où il verra que le club mosellan avait changé d'entraîneur en nommant Jacques Favre en lieu et place de Fuchs. Et là Favre fera entièrement confiance au talengeois pour lui confier les clés du milieu de terrain messin et ses prestations seront tellement satisfaisantes que le successeur de Favre en Décembre 1971, Georges Zvunka, en fera également l'un de ses hommes de base pour terminer la saison 71/72. Finalement sa première année pleine se soldera avec 34 matchs toutes compétitions confondues ( dont 33 en D1 ) ce qui fera de lui le cinquième Grenat le plus utilisé derrière les duos Denis Bauda-Daniel Bourgeois ( 39 ) et Fernand Jeitz-Jacky Pauvert ( 37 ). Et avec sept de marqués en championnat il finira comme le troisième meilleur buteur toutes compétitions confondues à neuf unités de Nestor Combin et à trois de Bourgeois. Collectivement les mosellans vivront un exercice alternant bons et mauvais résultats au point de ne terminer qu'au quatorzième rang du classement à sept points du premier relégable.
Par contre la saison 72/73 sera plus difficile pour Piasecki car l'arrivée de René Vernier comme nouvel entraîneur du FC Metz sera préjudiciable pour lui du fait que Vernier ne comptait pas du tout sur lui au poste de meneur de jeu puisqu'il préférait les qualités de Jacques Castellan. Et pour enfoncer un peu plus le clou les dirigeants messins l'accuseront d'être en Moselle l'un des meneurs de la fameuse grève des joueurs de la fin de l'année 1972 qui était un mouvement national né du fait que les dirigeants de clubs avaient décidé de revenir en arrière sur le "contrat à durée librement déterminée" - dont les joueurs bénéficiaient depuis 1969 - et de repasser à l'ancien modèle, celui ou le joueur n'était qu'une simple marchandise.
 
FRANCIS PIASECKI
Alors n'étant plus en odeur de sainteté à Metz les dirigeants mosellans l'enverront au tout début du mois de Janvier 1973 au FC Sochaux en le transférant définitivement. Alors en débarquant dans le Doubs il rejoignait un groupe de qualité au sein duquel on pouvait y trouver Eugène Battmann, Gérard Burcklé, Laszlo Seles, Vojislav Melic, Albert Vanucci, Abdelghani Djaadaoui, Marcel Wassmer, Pierre Lechantre, Léon Maier, André Perrin, Bernard Goraguer, Jean-Pierre Guinot et voire le jeune Gérard Soler. Finalement ses premiers mois sochaliens se solderont avec 17 rencontres toutes compétitions confondues ( dont treize en D1 avec un but de marqué ) ce qui lui permettra de prendre part à la onzième place finale acquise en championnat avec neuf points d'avance sur le premier relégable et onze de retard pour une qualification européenne.
Sans être un titulaire indiscutable à un poste offensif au milieu de terrain à cause de la concurrence de Lechantre, Maier et André Guttierez il accumulera toute de même 25 matchs toutes compétitions confondues ( dont 23 en D1 avec deux buts d'inscrits ) durant la saison 73/74. Ses statistiques lui permettront de participer à la belle année des Lionceaux à l'issue de laquelle ils finiront septièmes de l'élite ( à huit points du premier relégable et à six d'une qualification européenne ) tout en atteignant les demi-finales de la coupe de France qu'ils perdront 1-0 contre l'AS Monaco.
Pour la saison 74/75 le talengeois subira toujours la même concurrence mais cette fois-ci il prendra un peu le dessus sur Guttierez et Maier au point de totaliser 36 matchs toutes compétitions confondues ( dont 31 en D1 ). Et là ce temps de jeu lui vaudra de terminer comme le sixième Lionceau le plus utilisé par le coach Paul Barret à six unités de Wassmer, à quatre du duo Johannes Klijnjan-Lechantre, à trois de Djaadaoui et à une de Rolland Courbis. Et en inscrivant quatre buts en championnat et un en coupe de France il finira comme le quatrième meilleur buteur toutes compétitions confondues ex-aequo avec Lechantre derrière Robert Pintenat ( 13 ), Klijnjan ( 9 ) et Soler ( 8 ). Collectivement l'exercice hexagonal des doubistes sera très laborieux au point d'assurer in-extrémis leur maintien grâce à une 17ème position finale avec seulement une petite longueur d'avance sur le premier relégable tout en ayant l'une des attaques les moins prolifiques ( 41 à trois unités de Rennes ).
 
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Durant l'été 1975 l'ancien Grenat décidera d'accepter de rejoindre le PSG où son président Daniel Hechter avait en projet de bâtir une équipe capable de jouer le haut tableau du championnat de France et surtout de remplir les tribunes du Parc des Princes. Alors pour atteindre ces objectifs l'ancien Lionceau n'arrivera pas tout seul dans la capitale puisque Hechter actera également les transferts de Jean-Pierre Tokoto, André Travetto, Antoine Dosevi et Humberto Coelho. Et malgré un effectif de qualité ( Ilija Pantelic, Coelho, Jacky Novi, Denis Bauda, Dominique Lokoli, Mustapha Dahleb, Jacques Laposte, Jean-Pierre Dogliani, Louis Floch, Tokoto, François M'Pelé et Piasecki sans oublier les jeunots Jean-Marc Pilorget et Lionel Justier ) le PSG ne terminera qu'au quatorzième rang de la D1 ( à quatre points du premier relégable tout en ayant l'une des plus faibles défenses ( 60 ex-aequo avec Marseille derrière Avignon ( 80 ), le duo Lille-Monaco ( 73 ), Lens ( 66 ), Metz ( 62 ) et Lyon ( 61 ) ) mais réussira à atteindre les quarts de finale de la coupe de France ( perdu contre le futur finaliste, Lyon, après un 1-1 à domicile et une défaite 2-0 dans le Rhône ). A titre personnel l'ancien sochalien sera bel et bien l'un des hommes de base de l'entraîneur Just Fontaine au point de finir comme le troisième joueur le plus utilisé avec 41 matchs toutes compétitions confondues ( dont 35 en D1 avec six buts de marqués ) à trois unités du duo Pantelic-M'Pelé.  
La saison 76/77 sera l'année la plus aboutie en terme d'efficacité depuis le début de sa carrière professionnelle puisqu'il terminera comme le troisième meilleur artilleur du PSG toutes compétitions confondues avec douze buts ( onze en D1 et un en coupe de France ) derrière Dahleb ( 26 ) et M'Pelé ( 19 ). Et en terme de présence sur les feuilles de matchs toutes compétitions confondues son nom y apparaîtra à 38 reprises ce qui fera de lui le cinquième élément le plus utilisé par le coach Velibor Vasovic derrière le duo Novi-Dahleb ( 42 ), Lokoli ( 40 ) et Pilorget ( 39 ). Collectivement avec pratiquement un effectif identique le club de la capitale réalisera un bien meilleur championnat que le précédent en finissant neuvième avec quinze points d'avance sur le premier relégable et cinq de retard pour une qualification européenne.
 
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Après deux années passées à Paris il retournera dans son Est natal puisque le RC Strasbourg, tout frais promu en première division, viendra lui proposer le poste de meneur de jeu après que le coach Gilbert Gress ait appris qu'il y avait une situation contractuelle peu claire entre le PSG et le talengeois. Alors ce sera gratuitement qu'il débarquera au Racing en même temps que son équipier parisien Jacky Novi, le lavallois Jacky Vergnes et le lyonnais Raymond Domenech. Et là le promu strasbourgeois sera l'une des grandes surprises du championnat de France 77/78 en compagnie d'un autre promu, l'AS Monaco, puisque ce dernier terminera champion de France et que le RCS sera juste derrière au troisième rang ( à trois points de l'ASM et à deux du tenant du titre, le FC Nantes et avec une qualification européenne à la clé ) tout en ayant la quatrième meilleure attaque ( 70 ex-aequo avec l'O.M derrière Monaco ( 79 ), le PSG ( 75 ) et Nice ( 72 ) ) et la seconde défense la plus imperméable ( 40 à quatorze unités de Nantes ). A titre personnel sa première année au Racing sera dans la même lignée que sa deuxième au PSG en terme d'efficacité du fait qu'il marquera encore douze buts toutes compétitions confondues ( onze en D1 et un en coupe de France ) ce qui fera de lui cette fois-ci le deuxième meilleur buteur de son équipe derrière Albert Gemmrich ( 23 ) et juste devant Vergnes ( 11 ). Et en terme de temps de jeu il finira comme le sixième Racingman le plus utilisé par le coach Gress avec 36 matchs toutes compétitions confondues ( dont 35 en D1 ) à égalité avec Jacky Duguépéroux à cinq unités du duo Dominique Dropsy-Gemmrich, à quatre de Joël Tanter, à deux du duo Léonard Specht-Yves Ehrlacher.
Après une première saison plus que satisfaisante la seconde sera fabuleuse du fait qu'il sera l'une des pièces incontournables du dispositif mis en place par Gress. Et cette saison 78/79 sera même la meilleure année du talengeois de toute sa carrière en ne manquant aucune journée de tout le championnat de France à part la deuxième mi-temps du match joué à Saint-Etienne ainsi que les six matchs de coupe d'Europe qui étaient ses premiers à ce niveau. Et cette assiduité lui permettra de terminer comme le quatrième joueur le plus utilisé avec 52 matchs toutes compétitions confondues ( avec aucune absence en D1 ) à une toute petite longueur du trio Dropsy-Specht-Gemmrich. Et au niveau efficacité ce sera également exceptionnel pour l'ancien messin puisqu'avec quatorze buts de marqués en D1, trois en coupe nationale et deux en Europe il finira comme la seconde meilleure gâchette du RCS avec 19 réalisations toutes compétitions confondues ex-aequo avec Roland Wagner à quatre unités de Gemmrich. A préciser que ses buts inscrits au sein de l'élite lui permettront aussi de terminer au quatorzième rang du classement des meilleurs buteurs à égalité avec son équipier Roland Wagner, Jean-François Beltramini et Bernard Lacombe à treize unités de Carlos Bianchi, à huit du duo Delio Onnis-Eric Pécout, à sept du trio Pierre Pleimelding-Gilbert Marguerite-Dominique Rocheteau, à trois du duo Nenad Bjekovic-Albert Gemmrich, à deux de Roberto Cabral et à une du quatuor Johnny Rep-Zarko Olarevic-Bernard Zénier-Zvonko Ivezic. Et le summum de cette année là sera l'incroyable acquisition du titre de champion de France avec deux points d'avance sur le duo Nantes-Saint-Etienne et douze sur le duo Monaco-Metz tout en ayant la meilleure défense avec seulement 28 buts d'encaissés. Au sein des autres compétitions le Racing effectuera des parcours convenables en atteignant les demi-finales de la coupe de France et les huitièmes de la coupe UEFA qu'ils perdront respectivement contre l'AJ Auxerre ( à cause de la règle des buts inscrits à l'extérieur après un 2-2 score cumulé ( 0-0 dans l'Yonne et 2-2 à domicile ) ) et le MSV Duisbourg ( 0-0 à domicile et défaite 4-0 en Allemagne ).
Pour la saison 79/80 l'ancien Lionceau sera toujours l'un des hommes forts du coach Gress même si ce dernier était exaspéré par la diététique et l'hygiène de vie de son meneur de jeu qui était un grand amateur de bonnes tables, de bières et de cigarettes. Alors malgré ses petits défauts le talengeois terminera à l'issue de sa troisième année alsacienne comme le troisième joueur le plus utilisé avec 46 matchs toutes compétitions confondues ( avec une seule absence en D1 ) ex-aequo avec Specht à une unité du duo Dropsy-Domenech. A préciser qu'après le départ de Gemmrich à Bordeaux ce sera lui qui finira meilleur buteur du RCS toutes compétitions confondues avec douze buts ( huit en championnat, un en coupe de France et trois en Europe ) juste devant Carlos Bianchi ( 11 ) et Michel Decastel ( 10 ). Collectivement en tant que champion de France en titre le Racing tiendra son rang en finissant cinquième à quatorze points de Nantes, à onze du duo Sochaux-Saint-Etienne et à sept de Monaco mais sans aucune qualification européenne à la clé. Et pour sa première participation à la coupe des Champions le club alsacien ne sera pas du tout ridicule puisque sa route s'arrêtera en quarts de finale après sa défaite 4-0 score cumulé contre l'Ajax Amsterdam ( 0-0 à domicile et défaite 4-0 aux Pays-Bas ).
La saison 80/81 verra Strasbourg entrer dans une nouvelle ère après le limogeage de Gress à la fin Septembre 1980 suite à de profonds désaccords opposant l'entraîneur et le président du RCS. Et sous les ordres d'un nouvel entraîneur en la personne de Raymond Hild l'ancien parisien continuera à tenir son rang d'homme de base du Racing au point de finir pour la seconde année consécutive au troisième rang du classement des joueurs les plus utilisés avec encore 46 matchs toutes compétitions confondues ( avec aucune absence en D1 ) en étant cette fois-ci à égalité avec Jean-Jacques Marx, Decastel et Vicky Peretz et à une longueur du duo Dropsy-Specht. Après le recrutement de Peretz le mosellan ne terminera que deuxième meilleur buteur toutes compétitions confondues avec treize buts ( onze en D1 et deux en coupe nationale ) à six unités de Peretz. Collectivement l'année du RCS sera plus que correcte avec une septième place finale acquise en championnat ( à neuf points d'une qualification européenne tout en ayant l'une des plus faibles attaques ( 44 derrière Angers ( 33 ) ) et un parcours jusqu'en demi-finales de la coupe de France ( perdue 3-2 score cumulé contre l'ASSE ( défaite 2-1 dans le Forez et 1-1 à domicile ) ).
Avec un changement d'entraîneur en cours de saison 81/82 ( Roger Lemerre en lieu et place de Hild à partir de Décembre 1981 ) le RCS terminera en milieu de tableau de l'élite et plus précisément au dixième rang à six points du 18ème ( barrage de relégation ) tout en ayant l'une des attaques les moins prolifiques ( 41 derrière Montpellier ( 30 ), Nice ( 34 ), Metz ( 35 ), Lyon ( 38 ) et Valenciennes ( 40 ) ). A titre personnel malgré un nouveau coach Piasecki sera encore l'un des pions essentiels du Racing en terminant comme le quatrième strasbourgeois le plus utilisé avec 37 matchs toutes compétitions confondues ( avec seulement deux absences en D1 ) à deux unités de Rémy Vogel et à une du duo Specht-Marx. En terme d'efficacité l'ancien sochalien sera bien présent avec dix buts d'inscrits ( tous marqués en championnat ) faisant ainsi de lui le second meilleur buteur toutes compétitions confondues à trois unités de Peretz.
L'été 1982 verra partir d'autres champions de France 1979 comme Marx, Specht, Tanter, Roland Wagner après les départs de Novi, Domenech, Duguépéroux, Ehrlacher, Jouve et Gemmrich durant les trois années suivant l'acquisition du titre national. Et là même avec un effectif potable ( Dropsy, Vogel, Jean-Marc Knapp, Jean-François Jodar, Félix Lacuesta, Serge Jenner, René Deutschmann, Armando Profirio Betancourt, Olivier Rouyer, Rémy Gentes et Guy Mauffroy pour ne citer qu'eux )le RCS vivra un championnat laborieux au point de se battre jusqu'à la fin de l'exercice pour assurer son maintien qui sera finalement validé par une quinzième place finale avec deux petits points d'avance sur le 18ème ( barrage de relégation ) tout en ayant l'une des plus faibles attaques ( 40 à deux unités de Lille ). A titre personnel l'un des trentenaires du Racing ( tout comme Dropsy, Jodar et Deutschmann ) sera encore omniprésent  au sein du onze alsacien en accumulant 41 matchs toutes compétitions confondues ( avec de nouveau deux absences en D1 ) ce qui fera de lui le deuxième joueur le plus utilisé par Lemerre ex-aequo avec Jenner à deux unités de Dropsy. A préciser que depuis la saison 76/77 c'était la première année qu'il ne dépassait pas le total de cinq buts toutes compétitions confondues du fait qu'il ne trouvera qu'à quatre reprises le chemin des filets adverses ( tous en championnat ).
Avec les renforts de Merry Krimau, Issiaka Ouattara, Alfred Vitalis, Claude Quéry, Siegfried Susser et le retour de Gemmrich le championnat de France 83/84 sera moins pénible pour le RCS puisqu'il terminera à une bonne huitième place finale acquise avec neuf points d'avance sur le 18ème ( barrage de relégation ) et huit de retard pour une qualification européenne tout en ayant l'une des plus faibles attaques ( 36 ex-aequo avec Bastia, Brest et Nîmes à sept unités de Laval et à cinq de l'ASSE ). A titre personnel sous les ordres de son quatrième entraîneur ( en la personne de Jürgen Sundermann ) depuis son arrivée en Alsace le talengeois sera encore l'un des hommes de base du Racing au point de finir comme l'un des joueurs les plus utilisés avec 39 matchs toutes compétitions confondues malgré ses 32 ans ( dont 34 en D1 avec un seul but de marqué ) à égalité avec Susser et derrière le duo Dropsy-Carsten Nielsen ( 42 ) et Jenner ( 41 ).
Après les départs de Dropsy et Gemmrich ( son second ) il sera le dernier, avec Deutschmann, à avoir été champion de France en 1979 et pour sa huitième année au Racing il sera toujours bien présent sur les feuilles de matchs toutes compétitions confondues avec 37 présences ( avec deux absences en D1 tout en inscrivant quatre buts ) à une petite unité du quatuor Vogel-José Souto-Eric Pécout-Walter Kelsch. Malgré la présence des expérimentés Jean-Noël Huck, Nielsen, Georges Van Straelen, Souto, Pécout, Gérard Soler et Kelsch le championnat de France 84/85 du club alsacien sera très difficile au point de vivre un changement de coach en cours d'exercice ( Huck en lieu et place de Sundermann au mois de Mars 1985 ) et surtout d'assurer son maintien grâce à une seizième place finale acquise à deux points du 18ème ( barrage de relégation ) tout en ayant l'une des défenses les plus friables ( 57 derrière le PSG ( 73 ), Bastia ( 68 ), Marseille ( 67 ) et Tours ( 66 ) ).
A l'aube de la saison 85/86 l'ancien du PSG annoncera qu'il mettait fin à sa carrière professionnelle pour prendre place dans le staff technique du RC Strasbourg pour épauler l'entraîneur Huck. Mais après un début catastrophique du Racing il sera rappelé sur le terrain pour prendre part à quatre rencontres de D1 avant de retrouver le banc de touche en Décembre 1985 en tant qu'entraîneur après le licenciement de Huck. Et cette nomination mettra définitivement fin à sa carrière de footballeur tout en précisant qu'il s'était consacré sérieusement au ballon rond après un accident au cours de sa formation professionnelle qui lui fera perdre l'auriculaire gauche ( sectionné par une scie électrique ).

N.B :

Sa fidelité au Racing de 1977 à 1986 lui vaudra de faire parti de l'équipe type du 20ème siècle du club alsacien qu'aura élu les supporters strasbourgeois en 1999. Au sein de ce onze idéal il sera aux côtés du gardien François Remetter ( 1960 à 1964 ), des défenseurs Léonard Specht ( 1972 à 1982 et 1987 à 1989 ), Frank Leboeuf ( 1991 à 1996 ), Raymond Kaelbel ( 1950 à 1956 et 1964 à 1969 ) et René Hauss ( 1949 à 1968 ), des milieux de terrain Ivica Osim ( 1970 à 1972 et 1976 à 1978 ) et Aleksandr Mostovoï ( 1994 à 1996 ) et des attaquants Oscar Heisserer ( 1934 à 1938 et 1945 à 1949 ), Oskar Rohr ( 1934 à 1939 ) et Albert Gemmrich ( 1973 à 1979 et 1983 à 1984 ).
 
FRANCIS PIASECKI
Sélection : 3

La fabuleuse saison 78/79 permettra à Piasecki à porterà trois reprises le maillot de l'équipe de France ( deux fois contre le Luxembourg ( en Octobre 1978 avec une victoire 3-1 et en Février 1979 avec une victoire 3-0 ) et contre l'Espagne en Novembre 1978 en compagnie de ses équipiers strasbourgeois Dropsy, Specht, Jouve et Gemmrich ( victoire 1-0 ) ) mais son histoire tricolore n'ira pas plus loin à cause de la concurrence de Michel Platini sans oublier de parler celles d'Alain Giresse, Jean-François Larios et Bernard Genghini.
 
FRANCIS PIASECKI
RECONVERSION :

Dès que Piasecki prendra les rênes de Strasbourg le Racing occupait la dernière place du championnat de D1 après une nouvelle défaite ( 4-1 contre Le Havre ) tout en ayant cinq points de retard sur le 17ème. Alors afin de remonter la pente il annoncera qu'il ne fera jouer que les joueurs qui étaient convaincus que le RCS pouvait rétablir la situation. Finalement les résultats seront bien présents ( seize points en quatorze matchs ) mais ça ne sera pas suffisant pour éviter une relégation en seconde division du fait que le club alsacien ne terminera que 19ème à deux points du premier non relégable et également du 18ème ( barrage de relégation ) tout en ayant l'une des plus faibles attaques ( 36 ex-aequo avec Rennes à six unités de Bastia ) et défenses ( 54 derrière Bastia ( 79 ), Brest ( 63 ) et Sochaux ( 57 ) ).
Malgré la descente en D2 le mosellan gardera la confiance des dirigeants du RCS pour essayer de faire remonter le Racing illico-presto parmi l'élite. Malheureusement suite à un début de saison 86/87 calamiteux Strasbourg sera quinzième du groupe A de la D2 ( sur 18 ) à la mi-Septembre 1986 ce qui vaudra à Piasecki de perdre sa place de coach au profit de Robert Herbin.

Après cette petite expérience en tant qu'entraîneur il s'éloignera du monde du football pour se consacrer à ses autres passions qu'étaient la chasse et la pêche.

Durant plusieurs années il travaillera dans le domaine de la pisciculture tout en dirigeant " L'Hôtel-Restaurant d'Alsace " à Illkirch avant de s'installer dans les Vosges où il y décèdera en Mars 2018 à plus de 66 ans.

PALMARES :

-1979 : Champion de France ( Strasbourg ).

BILAN DE CARRIERE :

-1970 à Avril 1971 : Metz ( France ) 11 matchs joués pour deux buts de marqués.
-Avril 1971 à 1971 : Valenciennes ( France ) 2 matchs joués.
-1971 à Janv 1973 : Metz ( France ) 36 matchs joués pour sept buts de marqués.
-Janv 1973 à 1975 : Sochaux ( France ) 67 marchs joués pour sept buts de marqués.
-1975 à 1977 : PSG ( France ) 68 matchs joués pour 17 buts de marqués.
-1977 à Déc 1985 : Strasbourg ( France ) 294 matchs joués pour 63 buts de marqués.
 
 
 
 
 


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#Posté le jeudi 10 janvier 2019 13:16

Modifié le vendredi 11 janvier 2019 07:53

AMARA SIMBA

 
Lorsqu'on évoque Amara Simba les fans de football pense immédiatement à lui en tant que spécialiste des bicyclettes qui était un spectaculaire but sur ciseau retourné. Et cette manière de marquer portera même son nom dans certains pays d'Afrique. Et sans être un titulaire indiscutable au PSG ses prestations lui permettront d'être appelé en équipe de France mais ne dépassera pas trois sélections à cause d'une fracture d'un péroné le privant ainsi de l'Euro 1992.
 
AMARA SIMBA
Amara Simba est né en 1961 à Dakar au Sénégal. Passionné de ballon rond il commencera comme tous les africains à jouer au football dans la rue en tapant dans tout ce qui pouvait rouler. Ensuite comme il vivait en Guinée il prendra sa première licence de jeune footeux au sein du club de Hafia, qui avait dominé le football africain dans les années 1970 en remportant neuf titres de champion ( de 1971 à 1979 ) et trois Ligue des Champions Africaine ( 1972, 1975 et 1977 ). Alors ce sera là qu'il apprendra ses premiers rudiments footballistiques pour devenir un bon attaquant avant d'aller poursuivre sa formation à l'ASC Jeanne d'Arc lorsqu'il reviendra vivre à Dakar en 1975. Et pendant six ans il gravira les échelons des équipes de jeunes dakarois jusqu'à ce qu'il fasse quelques apparitions en équipe première qui avait déjà remporté trois titres de champion auparavant ( 1960, 1969 et 1973 ) et quatre coupes nationales ( 1962, 1969, 1974 et 1980 ).
En Février 1981 il quittera son pays natal pour venir en France afin de rejoindre son père qui était déjà installé à Plaisir dans les Yvelines. Et au départ son arrivée dans l'Hexagone était prévue pour qu'il fasse son service militaire du fait qu'il avait la double nationalité grâce à son paternel qu'il l'avait obtenue en tant qu'ancien combattant pour le compte de la France. Avant d'aller sous les drapeaux en Octobre 1981 il évoluera avec les jeunes du club plaisirois et à son retour de l'armée en 1982 il fera un essai au Red Star mais il ne sera pas du tout concluant. Alors il ira passé un test à Versailles car un de ses potes connaissait le coach mais comme au Red Star il n'y aura pas de suite. Et là l'entraîneur de Versailles l'enverra à Houdan, qui évoluait en première division de District, où son frère jouait et cette fois-ci ce sera un test positif pour le natuf de Dakar du fait que dès le premier entraînement il prendra le ballon et partira tout seul au but pour marquer. Durant deux saisons il vivra deux accessions tout en finissant meilleur buteur ce qui l'amènera à signer un contrat en faveur du RC Versailles. Et de 1984 à 1986 il vivra deux nouvelles belles années sous la tunique versaillaise en remportant dès la première le championnat de Division d'Honneur de la Ligue de Paris Ile-de-France et montera en D3 à l'issue de la seconde tout en précisant que le club des Yvelines s'inclinera en finale de la D4 contre l'ES La Rochelle sur le score de 2-1 après avoir terminé leader du groupe F. Lors de la saison 85/86 il avait affronter Saint-Cloud où évoluait Marc Colas qui allait arrêter sa carrière à l'issue de cette année là pour aller entraîner les Cadets Nationaux du PSG. Et dès qu'il débarquera au sein du club de la capitale Colas parlera de Simba à Gérard Houllier qui était l'entraîneur du PSG, tout récent champion de France de D1. Alors comme réponse Houllier demandera à Colas de se renseigner en priorité sur la nationalité du joueur de Versailles à cause des quotas des étrangers autorisés au sein des clubs professionnels. Et après avoir été rassuré sur ce point le PSG donnera un rendez-vous au natif du Sénégal durant l'été 1986 et lors du jour J l'amateur de 24 ans et demi sera déjà impressionné par les voitures de luxe garées sur le parking et ensuite d'être en face de joueurs qui revenaient de la coupe du monde 1986 tels que Joël Bats, Michel Bibard, William Ayache, Dominique Rocheteau et Daniel Xuereb sans oublier de parler des autres éléments de l'effectif comme Jean-Marc Pilorget, Franck Tanasi, Philippe Jeannol, Thierry Bacconnier, Claude Lowitz, Fabrice Poullain, Oumar Sène, Safet Susic, Pierre Vermeulen, Vahid HalilhodzicAlain Couriol et Jules Bocandé. Alors sonessai se passera parfaitement au point que les dirigeants du PSG lui proposeront de rester une année pour le tester et que s'il était bon ils lui proposeront un contrat professionnel. Et là comme il voulait jouer absolument il acceptera sans broncher l'offre tout en sachant que ce serait plus que difficile pour lui d'engranger du temps de jeu en équipe première du fait que le coach Houllier possédait la crème de la crème au niveau d'éléments offensifs avec Halilhodzic, Rocheteau, Xuereb, Couriol, Bocandé et voire Susic. Et de ce fait l'ancien versaillais passera la saison 86/87 à évoluer avec la réserve dont l'entraîneur n'était autre qu'Erick Mombaerts. Finalement comme il sera l'auteur de bonnes prestations avec l'équipe B parisienne Houllier décidera de le lancer dans le grand bain de la D1 en Avril 1987 en le faisant entrer en jeu à un quart d'heure de la fin du match contre Bordeaux où évoluaient Patrick Battiston, René Girard, Jean Tigana, Jean-Christophe Thouvenel, Bernard Lacombe, Jean-Marc Ferreri, les frères Vujovic ( Zoran et Zlatko ), Philippe Fargeon, José Touré, Alain Roche, Dominique Dropsy, Léonard Specht, Uwe Reinders et Gernot Rohr. A préciser qu'avant ses débuts au sein de l'élite il avait grappillé ses premières minutes professionnelles en entrant en jeu en coupe de France contre Nancy ( victoire 2-0 ) et Strabourg ( 0-0 à domicile et défaite 1-0 en Alsace ). A notifier également que le peu de temps de jeu accumulé lui permettra de prendre part à la septième place finale acquise douze points du champion bordelais et à six d'une qualification européenne tout en ayant l'une des attaques les moins prolifiques ( 35 ex-aequo avec Nantes et Sochaux derrière Rennes ( 20 ), l'ASSE ( 27 )et Nancy ( 28 ).
Satisfaite de ses entrées en jeu la direction du PSG lui fera signer un contrat pro de trois ans ce qui était énorme pour le natif de Dakar. Et là après les départs de Rocheteau, Vermeulen ( en Septembre 1987 ), Bocandé ( en Novembre 1987 ) et celui de Halilhodzic à la retraite Simba verra son temps de jeu augmenter au point d'accumuler 18 matchs toutes compétitions confondues ( dont seize en D1 avec ses deux premiers buts de marqués à ce niveau sans oublier celui qu'il inscrira en coupe de France ). Collectivement ce sera une saison 87/88 très laborieuse avec un changement de coach en Octobre 1987 ( Mombaerts en lieu et place de Houllier puis les deux hommes travailleront ensemble à partir de Février 1988 ), une élimination en seizièmes de finale de la coupe de France ( deux défaites par 3-1 et 3-0 contre Sochaux, futur finaliste ) et une quinzième place finale acquise en championnat deux points du 18ème ( barrage de relégation ) tout en ayant l'une des plus faibles attaques ( 36 derrière Brest ( 32 ), Niort ( 34 ) et le trio Matra Racing-Toulouse-Le Havre ( 35 ) ).
Par contre l'arrivée durant l'été 1988 de Tomislav Ivic comme nouvel entraîneur du PSG lui sera préjudiciable puisque pendant toute la saison 88/89 le coach yougoslave misera sur une ligne offensive composée de Christian Perez, Gabriel Calderon, Safet Susic et Daniel Xuereb. Alors sa troisième année au PSG se soldera avec seulement neuf matchs toutes compétitions confondues dont huit en D1 avec un but de marqué sans oublier celui qu'il inscrira en coupe de France. Ses faibles statistiques lui permettront de prendre part à la place de vice-champion de France conquise par le club parisien avec trois points de retard sur l'O.M tout en ayant la meilleure défense avec seulement 26 buts d'encaissés.
Après le départ de Xuereb voire celui de Couriol le coach Ivic lui donnera sa chance même si le PSG avait recruté pendant le mercato estival Daniel Bravo et Zlatko Vujovic. Et là le natif de Dakar saisira sa chance en accumulant 29 rencontres toutes compétitions confondues ( 27 en D1 avec six buts de marqués et ses deux premières sur la scène européenne ) ce qui fera de lui le douzième joueur le plus utilisé derrière Bats ( 43 ), Susic ( 41 ), le duo Perez-Sène ( 38 ), Calderon ( 37 ), Bibard ( 36 ), les duos Jean-François Charbonnier-Bravo ( 35 ) et Tanasi-Vujovic ( 34 ) et Jean-Pierre Bosser ( 33 ). Collectivement les parisiens se feront éliminer de la coupe UEFA dès les seizièmes de finale par la Juventus de Turin, futur vainqueur de l'épreuve, ( deux défaites par 1-0 et 2-1 ) et ensuite à cause de quatorze défaites en championnat ils ne termineront que cinquièmes à onze points de Marseille, à neuf de Bordeaux, à quatre de Monaco et à un de Sochaux mais sans aucune qualification européenne à la clé.

N.B :

Ce sera lors de cette saison 89/90 que Simba marquera en Avril 1990 contre Mulhouse son premier ciseau retourné appelé bicyclette et il en fera une de ses spécialités.

Il débutera l'année 90/91 sous la tunique du PSG mais sous les ordres d'un nouveau coach en la personne de Henri Michel. Et même si le club parisien avait lancé sa campagne de pub avant le début de la saison avec une photo de Simba en train de faire une bicyclette et le slogan " PSG fais nous rêver " l'ancien de Houdan ne sera pas titulaire lors des premières journées du championnat de France. Et comme l'équipe gagnait ses matchs on lui fera comprendre qu'on n'avait pas vraiment besoin de lui mais sans vouloir le vendre du fait qu'il était un des chouchous du Parc des Princes. Alors le PSG et l'attaquant d'origine sénégalaise se mettront d'accord pour un prêt jusqu'à la fin de la saison à partir de Septembre 1990. Finalement après cinq matchs de joués en championnat avec le PSG il débarquera à l'AS Cannes où l'entraîneur adjoint n'était autre qu'Erick Mombaerts et qu'il allait retrouver un ancien équipier parisien en la personne de Pierre Dréossi. Les premiers mois azuréens seront assez difficiles du fait qu'il avait encore la tête à Paris ( avant de dire oui pour le prêt il ne voulait pas quitter la capitale car il s'y sentait très bien ) et l'ASC était classé 18ème au classement de la D1. Ensuite comme les résultats de l'équipe cannoise seront bien meilleurs ça ira bien mieux pour l'ancien parisien qui enchaînera les prestations de haute volée tout en étant le buteur attitré du coach Boro Primorac. Et Finalement son prêt cannois sera une énorme réussite puisqu'il terminera comme le dixième joueur le plus utilisé avec 32 matchs toutes compétitions confondues ( dont 28 en D1 ) à dix unités de Dréossi, à huit de Luis Fernandez, à sept du duo Jean-Luc Sassus-Eric Guérit, à six de Michel Dussuyer, à cinq de Patrice Ferri et à deux du trio José Bray-Franck Durix-Jean-François Daniel. Et en terme d'efficacité cette saison 90/91 sera son année la plus aboutie depuis ses débuts professionnels avec treize buts toutes compétitions confondues ( dix en championnat ( dont une bicyclette contre le PSG ) et trois en coupe nationale ) ce qui fera de lui le meilleur artificier du club azuréen bien loin devant le trio Guérit-Marko Mlinaric-Carmelo Micciche ( 4 ). A préciser que ses dix réalisations inscrites au sein de l'élite lui permettront de faire parti des meilleurs buteurs du championnat de France suite à sa dixième place finale acquise au classement à égalité avec Jules Bocandé, François Brisson, François Calderaro, Christophe Cocard, Fabrige Mege, Safet Susic, Ryszard Tarasiewicz, Zlatko Vujovic et Georges Weah à treize unités de Jean-Pierre Papin, à cinq de Kalman Kovacs, à quatre du duo Laurent Blanc-Enzo Scifo, à trois du duo Aljosa Asanovic-François Oman-Biyik, à deux du duo Bernard Ferrer-Daniel Xuereb et à une de Fabrice Divert. Et collectivement la saison de l'AS Cannes sera plus que correcte car après avoir atteint les quarts de finale de la coupe de France ( perdu 2-1 contre Monaco, futur vainqueur de l'épreuve ) l'équipe azuréenne arrachera la toute première qualification européenne de son histoire suite à sa surprenante quatrième position finale acquise à quatorze points de l'O.M, à dix de Monaco et à sept d'Auxerre tout en ayant la défense la plus imperméable ( 28 ex-aequo avec Marseille ) et l'une des plus faibles attaques ( 32 derrière Sochaux ( 24 ), Rennes ( 29 ) et Toulon ( 31 ) ).
 
AMARA SIMBA
Mais il ne pourra pas participer à la première campagne européenne de Cannes puisque comme son prêt était terminé il fallait qu'il retourne à Paris. Et même si le club parisien entrait dans une nouvelle ère suite à l'investissement de Canal+ et un recrutement XXL ( Patrick Colleter, Laurent Fournier, Geraldao, Bruno Germain, Paul Le Guen, Bernard Pardo, Ricardo Gomes et Valdo ) le nouvel entraîneur parisien Artur Jorge décidera de faire confiance au franco-sénégalais pour lui donner les clés de l'attaque du PSG. Et là il tiendra son rôle d'attaquant de pointe numéro un du club de la capitale même s'il ne sera pas trop prolifique du fait qu'il ne marquera que sept buts ( six en D1 et un en coupe nationale ) mais terminera quand même comme le deuxième meilleur buteur toutes compétitions confondues à six unités de Christian Perez et avec une d'avance sur Bravo. Et en terme de temps de jeu il finira au douzième rang du classement des joueurs les plus utilisés avec 27 matchs toutes compétitions confondues ( dont 25 en D1 ) derrière les duos Ricardo Gomes-Perez ( 39 ), Le Guen-Bravo ( 38 ) et Bats-Germain ( 36 ), Laurent Fournier ( 35 ), Valdo ( 34 ), Antoine Kombouaré ( 33 ) et le duo Geraldao-Colleter ( 29 ). Collectivement la première année sous la présidence de Canal+ sera éblouissante puisque le PSG terminera troisième du championnat de France à onze points de Marseille et à cinq de Monaco tout en ayant la seconde défense la moins friable avec 27 buts d'encaissés à six unités de l'O.M.
Le recrutement des attaquants Georges Weah et François Calderaro, la présence de David Ginola ( arrivé en Décembre 1991 ) et une blessure seront préjudiciables pour l'ancien cannois au point qu'il ne totalisera que 18 matchs toutes compétitions confondues durant la saison 92/93 ( dont treize en D1 avec quatre buts de marqués ). Mais son temps de jeu minimal lui permettra tout de même d'inscrire sa première et unique ligne à son palmarès après l'acquisition de la coupe de France aux dépens du FC Nantes sur le score de 3-0. Dans les autres compétitions il prendra part également au parcours en coupe UEFA jusqu'en demi-finales perdue contre la Juventus de Turin, futur vainqueur de l'épreuve, ( deux défaites par 2-1 et 1-0 ) et à la place de vice-champion validée à deux points de Marseille tout en ayant la deuxième meilleure attaque ( 61 à dix unités de l'O.M ) et la troisième défense la plus imperméable ( 29 ex-aequo avec Monaco derrière Bordeaux ( 25 ) et l'ASSE ( 26 ) ).
 
AMARA SIMBA

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Afin d'accumuler plus de temps de jeu il décidera durant l'été 1993 de quitter le PSG pour accepter l'offre de l'AS Monaco qui misait sur lui pour remplacer Youssouf Fofana parti à Bordeaux. Et même s'il subira la concurrence des stars de l'attaque monégasque comme Enzo Scifo, Youri Djorkaeff, Victor Ikpeba et Jûrgen Klinsmann il réussira tout de même à enregistrer des statistiques satisfaisantes en étant présent à 38 reprises sur les feuilles de matchs toutes compétitions confondues ( dont 32 en D1 avec quatre buts d'inscrits ). Et ce temps de jeu accumulé lui permettra de finir quand même parmi les joueurs les plus utilisés par le coach Arsène Wenger derrière Jean-Luc Ettori ( 50 ), le trio Franck Dumas-Claude Puel-Youri Djorkaeff ( 48 ), Jérôme Gnako ( 45 ), Scifo ( 44 ), Klinsmann ( 43 ), Patrick Valéry ( 42 ) et le duo Emmanuel Petit-Victor Ikpeba ( 40 ). Son passage à Monaco lui vaudra de découvrir la Ligue des Champions ( le club de la Principauté disputait cette compétition après la disqualification de l'O.M suite à l'affaire de corruption VA-OM et au refus du PSG de remplacer le club phocéen ) où lui et ses coéquipiers atteindront les demi-finales qu'ils perdront 3-0 contre le futur vainqueur de l'épreuve, le Milan AC. En championnat ce sera plus moyen puisque les joueurs du Rocher ne finiront qu'à une piètre neuvième place finale à 18 points du champion parisien et à trois d'une qualification européenne tout en ayant la cinquième attaque la plus prolifique ( 52 derrière Marseille ( 56 ) et le trio PSG-Auxerre-Bordeaux ( 54 ) ) et la sixième défense la plus imperméable ( 36 ex-aequo avec l'ASSE derrière le PSG ( 22 ), Auxerre ( 29 ), Nantes ( 32 ), l'O.M ( 33 ) et Metz ( 35 ) ).
 
AMARA SIMBA
Pas convaincu par ses prestations Wenger lui fera savoir qu'il ne comptait plus du tout sur lui pour la saison 94/95 mais n'attendra pas longtemps pour trouver une nouvelle destination car à plus de 32 ans il faisait parti des tous meilleurs attaquants du championnat de France et que le ciseau retourné restait sa spécialité malgré son âge qui commençait à avancer de plus en plus. Finalement il jettera son dévolu sur le SM Caen où son rôle devra être l'une des pointes de l'attaque normande en étant associé au suédois Kennet Andersson qui avait explosé lors de la coupe du monde 1994 aux Etats-Unis. Et là il réalisera sa saison la plus aboutie en terminant comme le joueur le plus utilisé par l'entraîneur Pierre Mankowski avec quarante matchs toutes compétitions confondues ( avec une seule absence en D1 ) à égalité avec Richard Dutruel qu'il avait connu au PSG et surtout comme le meilleur buteur du SMC avec douze réalisations en championnat et deux en coupes nationales. A préciser que son total acquis au sein de l'élite lui permettra de terminer au onzième rang du classement des meilleurs buteurs à égalité avec Anto Drobnjak, Japhet N'Doram, Mohammed Chaouch et Raï à dix unités de Patrice Loko, à huit d'Alain Caveglia, à six de Nicolas Ouédec, à trois du duo Florian Maurice-Marco Grassi, à deux du duo Joël Tiéhi-Youri Djorkaeff et à une du trio Ardian Kozniku-Didier Tholot-Laurent Blanc. Par contre collectivement ce sera plus laborieux puisque le club normand sera incapable d'assurer son maintien en D1 suite à son avant-dernière place finale acquise à cinq points du premier non relégable tout en ayant l'une des plus faibles attaques ( 38 ex-aequo avec Montpellier derrière le duo Lille-Sochaux ( 29 ) et Martigues ( 37 ) ) et défenses ( 58 à dix unités de Sochaux ).
 
AMARA SIMBA
Ne voulant pas suivre Caen en seconde division il refera son baluchon pour le troisième été consécutif pour rallier cette fois-ci Lille où il ydébarquera en même temps que Philippe Périlleux, Thiery Rabat, Joël Germain, Geza Meszoly, Patrick Collot, Jean-Marie Aubry, Pascal Cygan et Miladin Becanovic pour ne citer qu'eux. Même s'il avait été recruté par le coach Jean Fernandez il restera quand même l'un des hommes de base du LOSC lorsque Jean-Michel Cavalli reprendra les rênes des Dogues à la mi-Août 1995. Alors sa saison se soldera 95/96 se soldera avec quarante matchs toutes compétitions confondues ( dont 34 en D1 ) faisant ainsi de lui le lillois le plus utilisé juste devant le duo Arnaud Duncker-Patrick Collot ( 39 ), Djezon Boutoille ( 38 ) et Antoine Sibierski ( 37 ). Par contre il n'aura pas du tout la même efficacité que la saison passée avec Caen puisqu'il ne terminera que comme le troisième meilleur buteur du LOSC toutes compétitions confondues avec seulement quatre buts de marqués ( tous en championnat ) à égalité avec Collot à six unités de Sibierski et à une de Boutoille. Collectivement ce sera une année assez pénible pour le club nordiste du fait que ce dernier assurera son maintien in-extrémis en finissant 17ème avec tout juste une petite longueur d'avance sur le premier relégable tout en ayant l'attaque la moins prolifique ( 27 ex-aequo avec Gueugnon ) et l'une des plus faibles défenses ( 50 derrière Saint-Etienne ( 59 ), Martigues ( 58 ), Bastia ( 55 ), Bordeaux ( 52 ) et Cannes ( 51 ) ). A préciser que les Dogues retrouveront un peu le sourire durant cette année 95/96 durant la coupe de France en atteignant les quarts de finale qu'ils perdront 1-0 contre Marseille.
 
AMARA SIMBA
Il débutera bien la saison 96/97 sous la tunique du LOSC mais comme le club nordiste traînait une grosse dette ( 18 millions de francs ) son recrutement avait été supervisé par la Direction Nationale de Contrôle de Gestion durant l'intersaison de 1996 et surtout sera obligé d'alléger sa masse salariale ce qui amènera l'ancien caennais de quitter le Nord de la France à la fin Octobre 1996.
Et là à pratiquement 35 ans il se laissera tenter par une expérience exotique en s'engageant avec le club mexicain du FC Leon avant d'aller évoluer de 1998 jusqu'à la fin de la saison 01/02, date à laquelle il annoncera sa retraite sportive, dans les divisions inférieures du championnat d'Angleterre sous les couleurs de Leyton Orient, Kingstonian, Kettering Town, Barnet, Saint-Albans City et Billericay Town.

Sélection : 3

Entre Août 1991 et Février 1992 Simba portera à trois reprises le maillot de l'équipe de France sous le règne de Michel Platini mais sa fracture du péroné, subie à la fin Avril 1992 lors d'un entraînement, mettra fin à sa carrière internationale et surtout le privera de l'Euro 1992 pour lequel il avait été présélectionné.
 
AMARA SIMBA
RECONVERSION :

Dès l'arrêt de sa carrière Simba s'investira au sein du PSG où en 2004 il y deviendra recruteur avant d'être par la suite consultant pour Canal+ Horizons, partenaire du club de la capitale.

A partir de 2007 il sera ambassadeur du PSG pour l'Afrique tout en précisant que son rôle était de détecter des jeunes africains à fort potentiel avant de les recommander aux dirigeants parisiens.

Il organisera également des stages de football tout en créant sa propre marque de vêtements de sport portant son nom et dont le logo est logiqement un footballeur faisant une bicyclette.

Au début de l'année 2014 il deviendra directeur sportif pour le compte du club guinéen, le Club Industriel de Kamsar.

En Mars 2015 il deviendra en comapagnie de Kaba Diawara, adjoint du sélectionneur de la Guinée qui n'était autre que Luis Fernandez.

Il s'occupera aussi du club des Petits Anges à Paris dans le 7ème Arrondissement en tant que directeur sportif.

PALMARES :

-1993 : Vainqueur de la coupe de France ( PSG ).

BILAN DE CARRIERE :

-1986 à Sept 1990 : PSG ( France ) 57 matchs joués pour neuf buts de marqués.
-Sept 1990 à 1991 : Cannes ( France ) 28 matchs joués pour dix buts de marqués.
-1991 à 1993 : PSG ( France ) 38 matchs joués pour dix buts de marqués.
-1993 à 1994 : Monaco ( France ) 32 matchs joués pour quatre buts de marqués.
-1994 à 1995 : Caen ( France ) 37 matchs joués pour douze buts de marqués.
-1995 à Oct 1996 : Lille ( France ) 39 matchs joués pour quatre buts de marqués.
-Oct 1996 à 1998 : Leon ( Mexique ).
-1998 à 2000 : Leyton Orient ( Angleterre ).
-2000 à 2001 : Kingstonian, Kettering Town, Barnet et Saint-Albans City ( Angleterre ).
-2001 à 2002 : Billericay Town ( Angleterre ).
 
 
 
 
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#Posté le mercredi 02 janvier 2019 16:05

Modifié le jeudi 03 janvier 2019 03:42

ALBERT VANUCCI

 
Albert Vanucci restera à jamais l'un des joueurs les plus mythiques du football corse grâce à son immense talent, sa combativité et surtout son état d'esprit. Après avoir été formé à l'AC Ajaccio avec lequel il remportera le championnat de France de D2 en 66/67 avant de découvrir l'élite française où il y deviendra l'un des meilleurs défenseurs et plus particulièrement au poste de latéral droit. Ensuite il ira évoluer trois années sous la tunique du FC Sochaux où ses prestations lui permettront de porter à deux reprises entre Mars et Avril 1974 le maillot de l'équipe de France. Après avoir jouer à Marseille durant une année il ralliera le Rocher pour endosser la tunique de l'AS Monaco où il y vivra une relégation en D2, une remontée illico-presto et surtout l'acquisition du titre de champion de France en tant que promu. Après son histoire monégasque il retournera en Corse pour porter les couleurs de l'AC et du Gazélec Ajaccio avec une petite parenthèse de deux saisons à Besançon.
 
ALBERT VANUCCI
Albert Vanuci est né en 1947 à Ajaccio en Corse-du-Sud. Passionné de football il tapera dans le ballon rond sur la place de sa commune natale avec tous ses camarades de son âge et ce sera là qu'il se fera remarquer par les recruteurs de l'ACA, un des nombreux clubs ajacciens. Alors ce sera à l'âge de dix ans qu'il signera sa toute première licence de jeune footeux en catégorie Minimes avant de gravir tous les échelons au sein de l'ACA jusqu'à intégrer l'équipe première avec laquelle il prendra part lors de la saison 63/64 au titre de champion de Corse de Division d'Honneur. A préciser qu'en débarquant à l'ACA ce sera comme attaquant qu'il se formera avant que le coach de l'équipe A, Jean-Pierre Knayer, ne décide de le descendre en défense lors d'un match amical et plus précisément au poste d'arrière droit. Et au départ ce sera assez difficile pour le jeune Vanucci du fait qu'il avait plus le sens du but que l'habitude de tacler ce qui l'amènera à passer au travers à plusieurs reprises mais Knayer l'encouragera à persévérer en lui disant « un homme à terre est un homme mort » car pour contrer l'attaquant adverse il ne fallait pas du tout se jeter.
Finalement grâce à son tempérament de feu, son sens du placement et sa rapidité il s'installera vraiment à ce poste de latéral droit et après des heures et des heures de travail pour s'accomoder à toutes les tâches défensives il se verra intégrer le groupe professionnel de l'ACA, tout frais promu en D2, dès l'arrivée d'Alberto Muro comme nouvel entraîneur ajaccien durant l'été 1965. Et du fait qu'il y avait de la concurrence au poste de latéral droit avec la présence de Moïse Gorendiawe et René Dubost le jeune corse de 18 ans apprendra quelques conseils de ses deux aînés ( 27 et 24 ans ) avant d'être lancé dans le grand bain du professionnalisme. Finalement sa première année pro se soldera avec treize matchs toutes compétitions confondues ( onze en championnat et deux en coupe nationale ) ce qui l'amènera à prendre part au maintien du promu ajaccien ( acquis par une quinzième place finale tout en ayant l'une des plus faibles attaques ( 45 derrière Marignane ( 32 ), Besançon ( 36 ), Aix ( 39 ) et Forbach ( 43 ) ) et défenses ( 65 derrière Marignane ( 73 ), RC Paris ( 70 ) et Forbach ( 67 ) ) ) et au parcours jusqu'en quarts de finale de la coupe de France ( perdu 2-0 contre le FC Nantes, futur finaliste ).
Après le départ de Dubost Vanucci deviendra la doublure de Gorendiawe pour occuper le flanc droit de la défense ajacienne pour la saison 66/67 mais réussira tout de même à accumuler 19 rencontres toutes compétitions confondues ( dont 18 en D2 ). Et sans être titulaire indiscutable son temps de jeu accumulé lui permettra quand même de terminer comme le onzième acéiste le plus utilisé par Muro derrière Jean-Jean Marcialis ( 36 ), le duo Henri Alberto-Jean-Pierre Brucato ( 35 ), Claude Peretti ( 33 ), Bassidiki Touré ( 32 ), le duo Alain Mistre-Juan Risso ( 30 ), Gorendiawe ( 29 ), Jean Fournier ( 27 ) et Roger Tirelli ( 26 ). Et le summum de cette année 66/67 sera d'inscrire à son palmarès sa toute première ligne avec le titre de champion de France de D2 conquis avec deux points d'avance sur le FC Metz tout en ayant les deuxièmes meilleures attaques ( 52 à sept unités d'Aix ) et défenses ( 26 ex-aequo avec le club messin à deux unités de l'équipe aixoise ). Et surtout d'entrer à jamais dans l'histoire de l'ACA qui deviendra le premier club corse à devenir champion de France d'un championnat professionnel et d'accéder au plus haut niveau français.
Pour la découverte de la D1 il sera intronisé titulaire indiscutable au sein de la défense corse aux côtés de Denis Devaux, Brucato et Gorendiawe et là du haut de ses vingt ans il tiendra son rôle d'homme clé du onze type de l'ACA en mouillant son maillot à chaque match. Finalement sa première année pleine se soldera avec 33 matchs toutes compétitions confondues ( dont trente en championnat ) ce qui fera de lui le septième joueur le plus utilisé à sept unités de Brucato, à six de Jean-Claude Girod, à quatre d'Etienne Sansonetti, à trois de Devaux et à deux du duo Risso-Marcialis. Collectivement l'objectif principal du club ajaccien était d'assurer son maintien et ce dernier sera finalement acquis grâce à une neuvième place finale avec cinq points d'avance sur le premier relégable ainsi que sur les 16 et 17ème ( barrage de relégation ) tout en ayant la seconde attaque la plus prolifique ( 59 ( dont 26 pour Sansonetti qui finira comme le meilleur buteur de l'élite ) derrière Saint-Etienne ( 78 ) ) et la quatrième défense la plus imperméable ( 59 derrière Aix ( 95 ), Angers ( 70 ) et Lens ( 61 ) ).
La saison 68/69 sera plus difficile du fait que l'ACA se battra jusqu'à la dernière journée du championnat de France pour garder sa place parmi l'élite et celle-ci sera validée par une seizième place finale avec sept points d'avance sur le dernier et un miniscule sur l'avant-dernier devant disputer le barrage de relégation tout en ayant l'une des plus faibles attaques ( 36 derrière Nice ( 30 ), Nîmes ( 32 ), Monaco ( 33 ), Strasbourg ( 34 ) et Red Star ( 35 ) ) et défenses ( 53 derrière Bastia ( 66 ), Nice ( 61 ), Rennes ( 57 ) et Sochaux ( 55 ) ). A titre personnel l'ajaccien pure souche confirmera son statut de titulaire mais sans être indiscutable du fait que le coach Muro allait utiliser le turn-over entre six de ses sept défenseurs en sa possession ( Georges Calmettes, Pierre Sbaiz, Henri Lopez, Brucato, Gorendiawe et Vanucci ( Maurice Tafanelli sera le moins utilisé avec neuf apparitions toutes compétitions confondues ) ). Alors sa quatrième année professionnelle se soldera avec 26 matchs toutes compétitions confondues ( dont 25 en D1 ) faisant ainsi de lui le neuvième acéiste le plus utilisé à neuf unités de Gérard Georgin, à sept de Brucato, à cinq du duo Sbaiz-Risso, à quatre du trio Calmettes-Michel Ruelle-Claude Peretti et à deux de Sansonetti.
La saison 69/70 sera encore plus pénible pour Ajaccio car après avoir terminé seizième de l'élite ( tout en ayant la seconde attaque la moins efficace ( 34 à deux unités de Valenciennes ) ) le club corse devra disputer en compagnie du 17ème, Bastia, et des second et troisième de la D2, Nancy et Avignon, les barrages de relégation pour essayer de garder sa place au plus haut niveau français. Finalement l'ACA sera relégué suite à sa troisième position finale acquise dans le le mini-championnat derrière Bastia et Nancy mais après la rétrogradation du FC Rouen en seconde division suite à son abandon de son statut professionnel à l'issue de la saison 69/70 le club corse sera repêché et retrouvera ainsi sa place pour le prochain championnat de France de D1. A titre personnel le latéral droit acéiste sera l'un des hommes de base du coach Muro ce qui l'amènera à finir au sixième rang du classement des joueurs les plus utilisés avec 34 matchs toutes compétitions confondues ( dont 29 en D1 tout en précisant qu'il inscrira son tout premier but pro lors des barrages de relégation ) à cinq unités de Georgin, à trois du duo René Le Lamer-André Tassone, à deux de Brucato et à une de Max Richard.
Le changement d'entraîneur durant l'intersaison de 1970 ( Louis Hon en lieu et place de Muro ) et les arrivées de Claude Le Roy, Reginald Dortomb et le retour d'Etienne Sansonetti ( après une expérience d'une année à Monaco ) seront très bénéfiques pour l'ACA puisque ce dernier réalisera un championnat de toute beauté en terminant à une surprenante sixième place finale loupant de cinq points une qualification européenne. A titre personnel Vanucci sera irréprochable durant toute la saison 70/71 au point de terminer comme le joueur le plus utilisé avec 39 matchs toutes compétitions confondues ( avec aucune absence en D1 tout en inscrivant ses deux premiers buts à ce niveau ) ex-aequo avec Dominique Baratelli.
 
ALBERT VANUCCI
Suite à sa fabuleuse année 70/71 plusieurs clubs de l'élite seront très intéressés par le potentiel du corse et après avoir tout connu avec l'ACA ( équipes de jeunes, championnat amateur, seconde division et première division ) il décidera de poursuivre sa progression footballistique au FC Sochaux où il allait apporter un plus à un groupe de qualité composé d'Eugène Battmann, Michel Watteau, Gérard Burcklé, Laszlo Seles, Vojislav Melic, Marcel Wassmer, Pierre Lechantre, Léon Maier, Philippe Piat, André Perrin, Georges Lech et Félix Burdino pour ne citer qu'eux. Et là il s'adaptera immédiatement au collectif des Lionceaux au point de finir comme l'un des joueurs les plus utilisés par le coach Paul Barret avec 34 matchs toutes compétitions confondues ( dont trente en D1 avec un but de marqué ) derrière le quatuor Battmann-Burcklé-Melic-Lechantre ( 42 ), Seles ( 39 ) et Maier ( 36 ). Collectivement ce sera également une grande réussite du fait que le club franc-comtois terminera le championnat avec une qualification européenne à la clé suite à sa surprenante troisième place finale acquise à neuf points de l'O.M et à quatre de Nîmes tout en ayant la quatrième meilleure défense avec 42 buts d'encaissés à cinq unités du duo Marseille-Nîmes et à deux d'Angers.
La saison 72/73 verra l'ajaccien disputera sa première et unique campagne européenne de sa carrière en jouant le premier tour de la coupe UEFA que Sochaux perdra 5-2 score cumulé contre le BK Frem Copenhague ( deux défaites par 3-1 et 2-1 ). En championnat les Lionceaux ne feront pas le même que celui de l'année passée puisqu'ils ne finiront que onzièmes à neuf points du premier relégable et à onze d'une qualification européenne. A titre personnel l'ancien de l'AC Ajaccio sera encore l'une des pièces maîtresses du FCS ce qui l'amènera à finir comme le neuvième Lionceau le plus utilisé avec 36 matchs toutes compétitions confondues ( dont 31 en D1 avec deux buts de marqués sans oublier celui qu'il inscrira en coupe de France ) derrière le quatuor Battmann-Seles-Lechantre-Jean-Pierre Guinot ( 40 ), Bernard Goraguer ( 39 ), le duo Melic-Wassmer ( 38 ) et Burcklé ( 37 ).
La saison 73/74 sera correcte pour le club doubiste avec un parcours jusqu'en demi-finales de la coupe de France ( perdue 1-0 contre Monaco ) et une septième place finale acquise en championnat à huit points du premier relégable et à six d'une qualification européenne tout en ayant la quatrième défense la plus imperméable avec 46 buts d'encaissés à neuf unités de Nîmes, à six de l'ASSE et à cinq de Nantes. A titre personnel le corse sera de nouveau l'un des hommes forts du FCS ce qui lui vaudra de terminer comme le huitième Lionceau le plus utilisé avec 39 matchs toutes compétitions confondues ( dont 33 en D1 avec un but d'inscrit ) derrière le duo Jean-Pierre Posca-Abdelghani Djadaoui ( 45 ), Wassmer ( 44 ), le duo Lechantre-Guinot ( 43 ), Seles ( 41 ) et Johannes Klijnjan ( 40 ).
 
ALBERT VANUCCI
Ses belles années sochaliennes lui permettront d'être contacté par l'Olympique de Marseille ce qui l'amènera à débarquer sur la Canebière en même temps que Michel Albaladejo, René Charrier, Georges Eo, Jacky Lemée, les argentins Charles et Raoul Nogues et surtout le brésilien Paulo César sans oublier le brésilien Jairzinho et Georges Bereta qui arriveront respectivement à l'O.M en Octobre 1974 et en Janvier 1975. Et comme l'entraîneur phocéen Jules Zvunka possédait six défenseurs de grande qualité ( en plus de Vanucci il y avait aussi le frère du coach, Victor, Marius Trésor, Jacky Lemée, François Bracci et Georges Eo ) l'ancien Lionceau ne sera pas considéré comme un titulaire indiscutable mais suite au turn-over pratiqué par Jules Zvunka il réussira tout de même à accumuler 25 matchs toutes compétitions confondues ( dont 24 en D1 ). Finalement ses statistiques lui permettront quand même de finir au dixième rang du classement des joueurs les plus utilisés ex-aequo avec Jairzinho derrière Victor Zvunka ( 45 ), le trio Charrier-Trésor-Albert Emon ( 44 ), Bracci ( 43 ), Robert Buigues ( 41 ), le duo Lemée-Paulo César ( 37 ) et Eo ( 27 ). Collectivement le club olympien réalisera une bonne saison 74/75 avec un parcours jusqu'en quarts de finale de la coupe de France ( perdu 4-2 score cumulé contre le PSG ( 2-2 à domicile et défaite 2-0 au Parc des Princes ) et surtout une place de vice-champion de France acquise à neuf points des Verts tout en ayant la deuxième meilleure attaque ( 65 à cinq unités de l'ASSE ) et la troisième défense la plus imperméable ( 45 derrière Saint-Etienne ( 39 ) et Nantes ( 42 ) ).
 
ALBERT VANUCCI
Voulant retrouver une place de titulaire le corse décidera de quitter la Canebière après une seule année de présence pour rallier la Principauté afin de s'engager avec l'AS Monaco où il y arrivera en même temps que Yves Chauveau et son ancien équipier sochalien Pierre Lechantre tout en précisant qu'il retrouvait par la même occasion son ancien coach d'Ajaccio, Alberto Muro, et son ancien équipier du FC Sochaux, Gérard Burcklé. Et là comme il le souhaitait il enregistrera des statistiques satisfaisantes avec 32 matchs toutes compétitions confondues ( dont 31 en D1 ) ce qui fera de lui le sixième monégasque le plus utilisé ex-aequo avec Bernard Guignedoux à six unités du duo Chauveau-Burcklé, à cinq du duo Jean Petit-Lechantre et à deux de Delio Onnis. Par contre collectivement ce sera plus délicat puisque l'ASM vivra un championnat pénible avec un changement d'entraîneur en cours de saison 75/76 ( Armand Forcherio en lieu et place de Muro à partir de Janvier 1976 ) et surtout une relégation validée par une place de premier relégable avec 35 points ( 12 victoires, 9 nuls et 17 défaites ) à deux unités du maintien tout en ayant l'une des plus faibles attaques ( 53 derrière Avignon ( 30 ), Strasbourg ( 39 ), Valenciennes ( 44 ), Troyes ( 48 ) et Nîmes ( 50 ) ) et défenses ( 73 ex-aequo avec Lille derrière Avignon ( 80 ) ).
La saison 76/77 sera la moins aboutie de l'ancien marseillais depuis dix ans car sans savoir si c'était à cause de pépins physiques ou des choix des deux coachs ( Forcherio puis Lucien Leduc à partir de Janvier 1977 ) il ne totalisera que quatorze matchs toutes compétitions confondues ( dont douze en D2 avec un but de marqué ). Mais même en jouant peu il prendra tout de même part à la remontée illico-presto en D1 acquise grâce à une première place finale dans le groupe A avec trois points d'avance sur Gueugnon et quatre sur Toulon. A préciser qu'il ne pourra pas étoffer son palmarès d'un deuxième titre de champion de France de D2 suite à la défaite de Monaco contre l'autre premier, Strasbourg, sur le score cumulé de 3-1 ( défaite 2-0 en Alsace et 1-1 à domicile ).
Malgré les arrivées de Rolland Courbis, Bernard Gardon et Alfred Vitalis le corse réussira à se refaire une place au sein du onze monégasque au point de finir comme le neuvième Rouge et Blanc le plus utilisé par Leduc avec 38 matchs toutes compétitions confondues ( dont trente en D1 ) à égalité avec Heriberto Correa derrière le duo Moizan-Jean Petit ( 47 ), Vitalis ( 46 ), Onnis ( 44 ), Christian Dalger ( 43 ), le duo Jean-Luc Ettori-Gardon ( 42 ) et Nogues ( 41 ). Collectivement ce sera une énorme saison 77/78 pour le promu monégasque du fait que ce dernier remportera le championnat de France au nez et à la barbe du tenant du titre, le FC Nantes, avec une petite longueur d'avance tout en ayant la meilleure attaque avec 79 buts de marqués. En parallèle de ce surprenant exercice hexagonal les joueurs de la Principauté seront également bien présents en coupe de France en atteignant les demi-finales qu'ils perdront 2-1 score cumulé contre Nice ( défaite 1-0 à l'extérieur et 1-1 à domicile ).
 
ALBERT VANUCCI
Même avec la perspective de disputer la coupe des Champions il décidera durant l'été 1978 de quitter le Rocher pour retourner à l'AC Ajaccio afin de donner un coup de pouce à son club formateur qui se morfondait dans les divisions amateures du football français depuis sa faillite en 1975 ( lors du championnat de D2 74/78 l'ACA ne jouera que les trois premières journées avant de déposer le bilan ). Mais au bout d'une année il voudra retrouver le monde professionnel ce qui l'amènera à s'engager avec le grand rival de l'ACA, le Gazélec, qui évoluait en seconde division. Et là à 32 ans l'ancien Lionceau sera l'un des leaders sur le terrain du coach Paul Orsatti afin de guider les jeunes éléments du Gaz tels que Jean-Luc Cucchi, Bruno Leconte, Guy Mauffroy, Jean-Noël Luccioni et Michel Vigneau pour ne citer qu'eux. Finalement son retour dans le professionnalisme se soldera avec 33 matchs toutes compétitions confondues ( dont 31 en D2 avec deux buts de marqués ) ce qui fera de lui l'un des joueurs les plus utilisés derrière Mauffroy et Serge Gobert. Collectivement Vanucci et ses coéquipiers réussiront à garder leur place en D2 grâce à leur treizième position finale acquise dans le groupe B à trois points du premier relégable tout en ayant l'une des plus faibles attaques ( 36 ex-aequo avec Toulon à deux unités du duo Montluçon-Mulhouse ) et défenses ( 56 derrière Saint-Dié ( 63 ) et Alès ( 60 ) ).
 
ALBERT VANUCCI

Ayant prouvé qu'il avait encore du coffre il poursuivra son aventure en D2 en acceptant de s'engager en faveur de Besançon où il rejoignait un groupe au sein duquel on pouvait y trouver quelques belles individualités comme Pierre Vizcaino, Claude Robin, Abdallah Liégeon, Jean-Bernard Biau, Serge Bellisi, Jean-Paul Bernad, Georges Martinez, Patrick Formica et Svetozar Martinovic entre autres. Et là en Franche-Comté il réalisera une saison 80/81 exceptionnelle en étant à deux doigts de vivre une accession parmi l'élite du fait que les bisontins ne finiront que troisièmes du groupe A à trois points du leader Montpellier et louperont les barrages d'accession à cause d'une plus mauvaise différence de buts par rapport au deuxième, Toulouse, ( +33 contre +36 ). A titre personnel l'ancien monégasque sera l'un des grands artisans de la belle année de Besançon au même titre que Vizcaino, Liégeon, Luc Bruder, Georges Masson , Bernad, Martinez et Formica tout en précisant qu'il inscrira un but en 32 matchs de joués en championnat.
Par contre que ce soit collectivement ou personnellement la saison 81/82 sera mios affolante du fait que le club bisontin ne terminera que dixième du groupe B de la D2 ( à six points du premier relégable et à 21 de la deuxième place synonyme de jouer les barrages d'accession à la D1 ) et que l'ajaccien ne disputera que cinq rencontres de championnat sur toute l'année.
 
ALBERT VANUCCI
Durant l'été 1982 il retournera sur son Ile de Beauté pour aller donner un coup de main au Gazélec afin de retrouver la seconde division qu'il venait tout juste de quitter. Mais même avec sa grande expérience il ne pourra rien faire pour atteindre l'objectif principal du Gaz puisque ce dernier ne finira que onzième du groupe Sud de la D3 à quatre points du premier relégable tout en ayant l'une des plus faibles attaques ( 29 ex-aequo avec Aix-en-Provence à trois unités de la réserve de l'OGC Nice ).
Et ce sera sur cette ultime saison qu'il mettra fin à plus de 35 ans à sa carrière de footballeur durant laquelle il deviendra le premier joueur ajaccien à être appelé lors de la saison 68/69 en équipe de France pour évoluer avec les Espoirs avant de porter la tunique des A en 1974.

Sélection : 2

Après avoir joué pour les Espoirs à douze reprises Vanucci connaîtra la consécration en Mars 1974 lorsqu'il sera appelé en A pour affronter la Roumanie ( victoire 1-0 ) et honorera même une seconde cape un mois plus tard contre la Tchécoslovaquie ( 3-3 ).
 
ALBERT VANUCCI
RECONVERSION :

Dès l'arrêt de sa carrière Vanucci s'éloignera un peu du monde footballistique avant d'y revenir en 1995 pour devenir entraîneur adjoint à l'AC Ajaccio afin de seconder le coach principal Baptiste Gentili.

Lorsque Gentili quittera l'ACA il en fera de même mais les deux hommes retravailleront ensemble de 2004 à Novembre 2005 au Gazélec Ajaccio tout en précisant que Vanucci aura été l'entraîneur principal du Gaz entre Mars et Mai 2004 après le limogeage de Jean-Luc Luciani.

PALMARES :

-1967 : Champion de France de D2 ( AC Ajaccio ).
-1978 : Champion de France ( Monaco ).

BILAN DE CARRIERE :

-1965 à 1971 : AC Ajaccio ( France ) 151 matchs joués pour deux buts de marqués.
-1971 à 1974 : Sochaux ( France ) 94 matchs joués pour quatre buts de marqués.
-1974 à 1975 : Marseille ( France ) 24 matchs joués.
-1975 à 1978 : Monaco ( France ) 73 matchs joués pour un but de marqué.
-1978 à 1979 : AC Ajaccio ( France ).
-1979 à 1980 : Gazélec Ajaccio ( France ) 31 matchs joués pour deux buts de marqués.
-1980 à 1982 : Besançon ( France ) 37 matchs joués pour un but de marqué.
-1982 à 1983 : Gazélec Ajaccio ( France ).
 
 
 
 
 


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#Posté le lundi 31 décembre 2018 14:51

Modifié le jeudi 03 janvier 2019 03:32

ANDRE CHORDA

 
André Chorda aura été un arrière gauche très offensif tout en ayant une réputation d'être un casseur à la limité de la méchanceté mais même avec cet énorme défaut il réalisera une grande carrière en étant toujours un titulaire indiscutable à chaque saison que ce soit sous la tunique de Nice ou celle de Bordeaux. Avec les Aiglons il deviendra champion de France de D1 en 1959 et de D2 en 1970 et sera même vice-champion de l'élite en 1973 et lorsqu'il portera le maillot girondin il sera trois fois deuxième du championnat de France et trois fois finaliste de la coupe nationale. Ses prestations en club lui permettront d'intégrer l'équipe de France à partir de Mars 1960 ce qui lui vaudra d'être retenu pour l'Euro 1960 et jouera même une coupe du monde six ans plus tard mais disputer la moindre minute.
 
ANDRE CHORDA
André Chorda est né en 1938 à Charleval dans les Bouches-du-Rhône. Passionné de ballon rond il apprendra tous les rudiments footballistiques pour devenir un bon défenseur surtout au poste de latéral gauche où en gravissant les échelons des équipes de jeunes de quelques clubs régionaux il sera fera petit à petit une réputation de casseur à la limite de la méchanceté. Finalement ses qualités de défenseur teigneux lui permettront de se faire remarquer par les recruteurs de l'OGC Nice qui avaient remporté trois championnats de France en 1951, 1952 et 1956 et deux coupes nationales en 1952 et 1954. Alors à 19 ans passés il n'hésitera pas une seule seconde pour rejoindre le club azuréen car une telle opportunité pour intégrer une équipe professionnelle ne se représenterait sûrement pas une deuxième fois. Et c'est comme ça qu'il débarquera sur la Côte d'Azur avec l'objectif principal d'essayer de passer professionnel tout en sachant qu'il découvrait par la même occasion un univers tellement différent de ceux qu'il avait connu auparavant. Et en plus tout se passera vite pour lui car dès son arrivée l'entraîneur de l'équipe première, Jean Luciano, décidera de l'incorporer au groupe professionnel afin de préparer la saison 57/58. Et de ce fait le jeune charlevalois sera tout ébahi de s'entraîner aux côtés de joueurs expérimentés tels que César Hector Gonzalès, Alphonse Martinez, Joseph Ujlaki, Alberto Muro, Jacques Koczur Ferry, Jacques Foix et Victor Nurenberg pour ne citer qu'eux. Et là le coach Luciano misera immédiatement sur lui en l'installant sur le flanc gauche de la défense niçoise au sein de laquelle il s'imposera sans difficulté grâce à son agressivité et surtout du fait qu'il était un combattant mouillant son maillot et rendant coup pour coup. En un mot il collait bien à la mentalité niçoise. Finalement sa première année professionnelle se soldera avec 29 matchs toutes compétitions confondues ( dont 24 en D1 ) ce qui fera de lui le dixième Aiglon le plus utilisé ex-aequo avec Omar Barrou derrière Gonzalès ( 41 ), Georges Lamia ( 40 ), le trio Ujlaki-Muro-Nurenberg ( 39 ), Koczur Ferry ( 38 ), François Milazzo ( 36 ), Foix ( 34 ) et Alphonse Martinez ( 32 ). Et aux côtés du gardien Lamia, Gonzalès et un autre jeune en la personne d'Alain Cornu il emmènera pour son premier championnat de France l'OGCN au sixième rang du classement des meilleures défenses avec 53 buts d'encaissés à égalité avec Lyon à 18 unités de Monaco, à quatorze de Nîmes, à onze de Reims, à sept d'Angers et à une de l'ASSE. Collectivement le club azuréen réalisera un championnat plus que moyen puisqu'il ne terminera que treizième avec cinq points d'avance sur le premier relégable tout en ayant la troisième attaque la plus prolifique avec 71 buts de marqués ex-aequo avec Lille à 18 unités de Reims et à trois de Sedan-Torcy. Et en coupe de France les Aiglons se feront éliminer dès les 32ème de finale par Montpellier, pensionnaire de D2, sur le score de 3-2 mais se rattraperont en coupe Drago en atteignant la finale de la compétition qu'ils perdront 2-1 contre l'AS Saint-Etienne. Vraiment pas mal comme débuts pros pour un joueur de vingt ans.
La saison 58/59 verra le natif des Bouches-du-Rhône confirmer son statut de titulaire au poste de latéral gauche en finissant l'année comme le huitième élément le plus utilisé par Luciano avec 33 matchs toutes compétitions confondues ( dont 32 en D1 ) derrière Foix ( 42 ), Lamia ( 41 ), le duo Gonzalès-Nurenberg ( 40 ), Muro ( 39 ), Koczur Ferry ( 36 ) et Milazzo ( 35 ). Et toujours aux cotés de Lamia, Gonzalès et Cornu tout en y ajoutant Vincent Scannella il emmènera toute la ligne défensive de l'OGCN à la première place du classement des meilleures défenses avec seulement 38 buts d'encaissés en devançant de deux unités le Nîmes Olympique. Mais le summum de cette année 58/59 pour le charlevalois de 21 ans sera d'inscrire à son palmarès un titre de champion de France que lui et ses coéquipiers s'adjugeront avec trois points d'avance sur Nîmes, sept sur le RC Paris et huit sur le tenant du titre, Reims, tout en ayant la troisième attaque la plus prolifique ( 80 derrière le duo RC Paris-Reims ( 84 ) ).
La saison 59/60 le verra disputer sa première campagne européenne en prenant part à la coupe des Champions où après avoir passé les obstacles Shamrock Rovers ( victoire 3-2 à domicile et 1-1 en Irlande ) et Fenerbahçe ( défaite 2-1 en Turquie, victoire 2-1 à domicile et victoire 5-1 en match d'appui ) il chutera en quarts de finale contre le futur vainqueur de l'épreuve et tenant du titre, le Real Madrid, sur le score cumulé de 6-3 ( victoire 3-2 à domicile et défaite 4-0 en Espagne ). Au sein des compétitions domestiques les Aiglons atteindront les quarts de finale de la coupe de France ( défaite 3-1 contre Monaco, futur vainqueur de l'épreuve ) et les demies de la coupe Drago ( défaite 5-1 contre Lens, futur vainqueur de l'épreuve ) mais par contre ne pourront pas confirmer leur titre de champion du fait qu'ils ne finiront que neuvièmes à vingt points du champion rémois tout en ayant l'une des pires défenses ( 74 derière Bordeaux ( 102 ), Strasbourg ( 92 ) et Toulon ( 85 ) ) alors qu'elle était toujours composé des mêmes éléments ( Lamia, Cornu, Gonzalès, Scannella et Chorda tout en y ajoutant Alphonse Martinez. A titre personnel suite à quelques soucis physiques le latéral gauche niçois manquera de nombreuses rencontres ce qui l'amènera à terminer la saison avec seulement 24 matchs toutes compétitions confondues ( dont quinze en championnat ).
Epargné par les problèmes de santé Chorda réalisera une saison 60/61 pleine avec 36 matchs toutes compétitions confondues ( dont 31 en D1 ) ce qui fera de lui l'Aiglon le plus utilisé par le coach Luciano à égalité avec André Boragno. Collectivement ce sera encore un championnat de France très moyen avec une treizième place finale acquise avec seulement trois points d'avance sur le premier relégable tout en ayant la deuxième défense la plus perméable avec 73 buts d'encaissés derrière Troyes-Savinienne ( 108 ). En coupes ce sera plus honorable du fait que les azuréens atteindront les quarts de finale des coupes de France et Drago qu'ils perdront respectivement 2-1 contre Sedan-Torcy, futur vainqueur de l'épreuve, et 2-0 contre le CO Roubaix-Tourcoing, pensionnaire de D2.
Pour la saison 61/62 Chorda sera encore l'un des hommes de base des Aiglons en accumulant 32 matchs toutes compétitions confondues ( dont trente en D1 tout en ayant la grande joie d'y inscrire ses deux premiers buts depuis le début de sa carrière ) ce qui fera de lui le cinquième joueur le plus utilisé par Luciano à égalité avec Osvaldo Dandru à six de Boragno, à cinq unités du duo Lamia-Dominique Rustichelli et à quatre de Yvon Giner. Collectivement le club azuréen effectuera de nouveau un championnat médiocre avec une treizième place finale acquise pour la seconde année d'affilée avec cette fois-ci huit points d'avance sur le premier relégable tout en ayant l'une des plus faibles attaques ( 53 derrière Le Havre ( 34 ), Strasbourg ( 45 ), Metz ( 49 ) et FC Nancy ( 52 ) ) et défenses ( 64 à égalité avec SO Montpellier derrière Metz ( 79 ) et Sochaux ( 69 ) ).
 
ANDRE CHORDA
A 24 ans le charlevalois décidera d'aller découvrir autre chose ce qui l'amènera à quitter la Côte d'Azur pour rallier la Gironde afin de s'engager avec Bordeaux qui venait tout juste de retrouver l'élite après deux années en seconde division. Et là il s'adaptera sans aucune difficulté à sa nouvelle équipe au point de finir comme le troisième Girondin le plus utilisé par le coach Salvador Artigas avec 39 matchs toutes compétitions confondues (dont 35 en D1 ) ex-aequo avec Laurent Robuschi à trois unités de Jean-Claude Ranouil et à deux de Guy Calleja. Et le summum pour sa première année bordelaise sera de former avec Calleja, Claude Rey, Gilbert Moevi, Bernard Baudet et sans oublier le gardien Ranouil la meilleure défense de l'élite avec seulement 38 buts d'encaissés juste devant Lyon ( 41 ) et Monaco ( 44 ). Et collectivement ce sera également une bonne saison puisque le promu bordelais terminera à une surprenante quatrième place finale acquise à cinq points de Monaco, à deux de Reims et à un de Sedan-Torcy. Et en coupes les parcours des Girondins seront convenables avec deux quarts de finales qu'ils perdront respectivement 2-0 en coupe de France contre Monaco, futur vainqueur de l'épreuve, et 2-1 en coupe Drago contre Sedan-Torcy, futur finaliste.
La saison 63/64 verra Bordeaux confirmer son année précédente en finissant à une bonne septième place finale à dix points du champion stéphanois tout en ayant cette fois-ci l'une des défenses les plus perméables avec 58 buts d'encaissés ( même si la ligne défensive bordelaise était inchangée ) derrière le RC Paris ( 76 ), Nice ( 74 ), Rennes ( 65 ), Angers ( 62 ) et Nantes ( 59 ). Et le meilleur se déroulera en coupe de France où les Girondins atteindront la finale qu'ils perdront 2-0 contre Lyon. Vraiment dommage pour l'ancien niçois qui avait l'occasion d'inscrire une seconde ligne à son palmarès. A titre personnel le charlevalois tiendra son rang de titulaire indiscutable au sein de l'effectif bordelais en terminant come le sixième élément le plus utilisé avec 33 matchs toutes compétitions confondues ( dont 27 en D1 ) derrière Ranouil ( 40 ), Rey ( 37 ), Gabriel Abossolo ( 35 ) et le duo Moevi-Robuschi ( 34 ).
La saison 64/65 sera exceptionnelle car après avoir terminé vice-champions de France ( à deux points de Nantes tout en ayant la deuxième meilleure défense avec 32 buts d'encaissés à deux unités de Valenciennes et l'une des attaques les moins prolifiques ( 43 derrière le duo Rouen-Toulon ( 31 ), le Stade Français ( 40 ), Monaco ( 41 ) et Nîmes ( 42 ) ) les bordelais disputeront une nouvelle finale de coupe mais cette fois-ci ce sera en coupe Drago qu'ils perdront 4-0 contre le RC Lens ( en précisant que Chorda ne jouera aucune minute dans cette compétition ). A préciser que durant cette année là l'ancien niçois retrouvera les joutes européennes en disputant le premier tour de la coupe des Villes de Foire que lui et ses partenaires perdront 4-3 score cumulé contre le Borussia Dortmund ( défaite 4-1 en Allemagne et victoire 2-0 à domicile ). A titre personnel l'ancien Aiglon ratera quelques journées ce qui l'amènera à ne finir qu'au neuvième rang du classement des joueurs les plus utilisés par Artigas avec 27 matchs toutes compétitions confondues ( dont 25 en D1 avec un but d'inscrit ) derrière Calleja ( 38 ), le duo Ranouil-Rey ( 36 ), Moevi ( 35 ), le trio Roland Guillas-Robuschi-Hector De Bourgoing ( 33 ) et Baudet ( 30 ).
La saison 65/66 sera pleine pour le natif des Bouches-du-Rhône puisqu'il terminera comme le second Girondin le plus utilisé avec quarante rencontres toutes compétitions confondues ( aucune absence en D1 avec deux buts de marqués ) à égalité avec Rey à une petite unité de Calleja. Collectivement ce sera encore une place de vice-champion de France derrière Nantes que le club aquitain s'adjugera en D1 avec cette fois-ci sept points de retard tout en ayant les meilleures attaques ( 84 ) et défenses ( 36 ) à égalité avec le champion nantais. En coupe d'Europe les Girondins se feront sortir pour la deuxième année d'affilée dès le premier tour de la coupe des Viles de Foire avec cette fois-ci une défaite 10-1 score cumulé contre le Sporting Portugal ( deux défaites par 4-0 et 6-1 ).
La saison 66/67 verra les Girondins réussir à passer le premier tour de la coupe des Villes de Foire contre le FC Porto ( qualification acquise grâce à un tirage au sort ( pièce jetée ) après un 3-3 score cumulé ( chaque équipe avait gagné 2-1 à domicile ) ) mais s'inclineront 1-0 score cumulé au tour suivant contre La Gantoise ( défaite 1-0 en Belgique et 0-0 à domicile ). En championnat le parcours des bordelais sera correct avec une quatrième place finale acquise à onze points de l'ASSE, à sept de Nantes et à un d'Angers tout en ayant la troisième meilleure défense avec 43 buts d'encaissés à six unités du duo Saint-Etienne-Valenciennes. A titre personnel l'ancien niçois sera encore omniprésent sur les feuilles de matchs toutes compétitions confondues avec quarante présences ( avec seulement deux absences en D1 tout en inscrivant trois buts ) à égalité avec Robuschi à une petite unité de Calleja.
La saison 67/68 verra Bordeaux réaliser un championnat de France moyen avec une huitième place finale à six points des 16 et 17ème qui devaient disputer les barrages de relégation tout en ayant la troisième attaque la plus prolifique ( 57 derrière l'ASSE ( 78 ) et AC Ajaccio ( 59 ) ) et l'une des défenses les plus imperméables ( 44 ex-aequo avec Metz derrière Saint-Etienne ( 30 ), Valenciennes ( 34 ), Sochaux ( 39 ), Strasbourg ( 40 ), Nice ( 41 ) et Red Star ( 43 ) ). Par contre les Girondins effectueront un superbe parcours en coupe de France mais comme quatre ans auparavant ils s'inclineront en finale en perdant cette fois-ci 2-1 contre les Verts qui réalisaient là le doublé coupe-championnat. Sur la scène européenne pour la seconde saison consécutive Chorda et ses partenaires passeront le premier tour de la coupe des Villes de Foire ( deux victoires par 3-1 et 6-3 contre Saint-Patrick's Athletic ) mais chuteront encore au tour suivant en perdant cette fois-ci 4-1 score cumulé contre l'Athletic Bilbao ( deux défaites par 3-1 et 1-0 ). A titre personnel l'ancien Aiglon fera toujours parti des hommes de base du club bordelais même si l'entraîneur avait changé ( Jean-Pierre Bakrim en lieu et place d'Artigas) du fait qu'il accumulera 34 matchs toutes compétitions confondues ( dont 26 en D1 avec deux buts de marqués sans oublier le premier et unique but européen qu'il inscrira ) derrière De Bourgoing, Christian Montes, Calleja, Edouard Wojciak, Gabriel Abossolo, Jacques Castellan, Didier Couécou, Didier Desmeraux et Baudet.
Suite à sa place de finaliste en coupe de France les Girondins disputeront la coupe des Coupes durant la saison 68/69 mais n'iront pas plus loin que le premier tour suite à leur défaite 4-2 score cumulé contre le 1.FC Cologne ( victoire 2-1 à domicile et défaite 3-0 en Allemagne ). Au sein des compétitions confondues le club bordelais réalisera des bons parcours en finissant dauphin de l'AS Saint-Etienne avec seulement deux points de retard ( tout en ayant la meilleure attaque avec 77 buts de marqués et la troisième défense la plus imperméable avec 34 buts d'encaissés à huit unités des Verts et à sept du FC Metz ) et en atteignant pour la seconde année consécutive la finale de la coupe de France qu'il perdra cette fois-ci 2-0 contre l'O.M. A titre personnel l'ancien niçois terminera encore comme l'un des Girondins les plus utilisés avec 44 rencontres toutes compétitions confondues ( dont 33 en D1 avec quatre buts de marqués sans oublier les deux qu'il inscrira en coupe nationale ) à égalité avec Calleja à deux unités de Montes.
 
ANDRE CHORDA
ANDRE CHORDA
Après sept saisons passées en Gironde, trois places de vice-champion et trois finales de coupe de France de perdues le charlevalois de 31 ans décidera de retourner à l'OGC Nice, qui venait de connaître une relégation en D2, pour lui apporter son vécu afin de l'aider à retrouver illico-presto l'élite. Et là au sein d'un bel effectif ( Charles Marchetti, Claude Quittet, Maurice Serrus, Guy Cauvin, Francis Isnard, Bora Milutinovic, Jean Deloffre, Romain Arghirudis sans oublier Alain Barret, René Fioroni, Fernand Goyvaerts et Roger Jouve ) l'ancien Girondin vivra un beau retour sur la Côte d'Azur puisque dès sa première année l'OGCN validera son ticket pour la D1 tout en étoffant son palmarès d'un titre de champion de France de D2 grâce à sa place de leader acquise avec une petite longueur d'avance sur l'AS Nancy-Lorraine. A préciser également qu'aux côtés de Quittet, Serrus et Cauvin sans oublier le gardien Marchetti il emmènera Nice à la première place du classement des meilleures défenses avec seulement 18 buts d'encaissés. En un mot c'était vraiment un retour gagnant pour Chorda. A titre personnel il tiendra son rôle de leader parfaitement en terminant comme le quatrième Aiglon le plus utilisé par le coach Léon Rossi avec 33 matchs toutes compétitions confondues ( dont 27 en D2 avec trois buts d'inscrits sans oublier celui qu'il marquera en coupe de France ) à trois unités du duo Marchetti-Serrus et à une de Quittet.
Le club azuréen débutera la saison 70/71 par une victoire lors du Challenge des champions en battant 2-0 le champion de France de D1, l'ASSE, et ensuite réussira à valider son maintien en finissant quatorzième de l'élite avec trois points d'avance sur le premier relégable. A titre personnel l'ancien Girondin sera bien présent sur les feuilles de matchs toutes compétitions confondues en totalisant quarante présences ( aucune absence en championnat avec un but de marqué ) à égalité avec Isnard ce qui fera d'eux les joueurs les plus utilisés par Rossi.
La saison 71/72 verra Nice réaliser une belle année en atteignant les quarts de finale de la coupe de France ( 1-1 à domicile et défaite 1-0 sur la Canebière contre Marseille ) et surtout en progressant au classement du championnat de France du fait que le club azuréen terminera à une bonne huitième place finale avec trois petits points de retard pour une qualification européenne tout en ayant la cinquième meilleure défense ( 44 derrière le duo Marseille-Nîmes ( 37 ), Angers ( 40 ) et Sochaux ( 42 ) ). A titre personnel le charlevalois sera de nouveau l'un des hommes de base des deux entraîneurs niçois ( Rossi puis Jean Snella à partir de début Octobre 1971 ) en finissant comme le troisième élément le plus utilisé avec 42 matchs toutes compétitions confondues ( avec seulement deux absences en D1 tout en marquant un but ) à égalité avec Quittet, Isnard et Jouve à deux unités du duo Dominique Baratelli-Leif Eriksson.
Avec un onze type haute gamme ( Baratelli-Francis Camérini-Quittet-Isnard-Chorda-Jean-Noël Huck-Jouve-Eriksson-Dick van Dijk-Hervé Revelli-Charly Loubet ) l'OGCN réalisera un championnat 72/73 de toute beauté au point de terminer comme le dauphin du FC Nantes avec cinq points de retard tout en ayant l'attaque la plus prolifique avec 70 buts d'inscrits et la cinquième défense la plus imperméable ( 44 derrière Nantes ( 31 ), Marseille ( 37 ), Nîmes ( 39 ) et Bastia ( 41 ) ). A titre personnel l'ancien bordelais de 34 ans sera encore au top de sa forme en finissant comme le quatrième joueur le plus utilisé par Snella avec 38 matchs toutes compétitions confondues ( avec une seule absence en D1 tout en marquant un but ) ex-aequo avec Huck et Revelli à une unité du trio Baratelli-Isnard-Loubet.
L'ancien bordelais sera bel et bien toujours présent dans l'effectif des Aiglons pour la saison 73/74 et sûrement dû à ses 35 ans bien tassés il ne réalisera pas une année pleine mais accumulera quand même 27 matchs toutes compétitions confondues ( dont 21 en D1 ). Et même avec ses statistiques les moins abouties depuis son retour à Nice il terminera tout de même au onzième rang du classement des joueurs les plus utilisés derrière le duo Baratelli-Jouve ( 46 ), Isnard ( 45 ), Eriksson ( 44 ), le duo Dario Grava-Huck ( 43 ), Jean-Pierre Adams ( 41 ), van Dijk ( 37 ), Marc Molitor ( 36 ) et Loubet ( 33 ). Collectivement les Aiglons seront toujours bien présents aux premières places du championnat de France mais cette fois-ci ils ne finiront que cinquièmes à douze points du champion stéphanois, à quatre de Nantes, à une de Lyon ( dernier club de qualifié pour la coupe UEFA ) et à égalité avec Angers ( meilleure différence de buts pour le club angevin ( +20 contre +16 ) ) tout en ayant la troisième meilleure attaque ( 71 derrière Angers ( 77 ) et l'ASSE ( 74 ) ).
Et ce sera sur cet bel exercice que Chorda décidera de mettre un terme à sa carrière durant laquelle s'il avait eu plus de chance il aurait étoffé son palmarès de plusieurs autres trophées mais finalement il n'aura remporté qu'un titre de champion de D1 et un de D2.
 
ANDRE CHORDA
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Sélection : 24

En Mars 1960 Chorda vivra sa première sélection en équipe de France en affrontant le Chili ( victoire 6-0 ) et quelques mois plus tard suite à de nombreux forfaits pour blessures il sera retenu pour disputer l'Euro 1960 organisé en France. Et là sa seule participation au tournoi sera le match pour la troisième place contre la Tchécoslovaquie que les Bleus perdront 2-0.

Ensuite il deviendra un habitué de l'équipe tricolore mais connaître de grands succès du fait qu'elle sera incapable de se qualifier pour la coupe du monde 1962 et l'Euro 1964.

En 1966 il sera retenu pour disputer la coupe du monde en Angleterre mais ne jouera aucune minute de la compétition ce qui l'amènera à voir ses coéquipiers terminer bons derniers du groupe A lors du premier tour ( derrière l'Angleterre, l'Uruguay et le Mexique ).

Après le Mundial anglais il rajoutera à son actif quatre autres capes avant de disparaître du minde des Bleus bloquant ainsi son compteur à 24 sélections.
 
ANDRE CHORDA
ANDRE CHORDA
RECONVERSION :

Aucun renseignement pour dire ce qu'a fait Chorda après l'arrêt de sa carrière jusqu'au mois de Juin 1998 date de sa mort à Nice.

PALMARES :

-1959 : Champion de France ( Nice ).
-1964 : Finaliste de la coupe de France ( Bordeaux ).
-1968 : Finaliste de la coupe de France ( Bordeaux ).
-1969 : Finaliste de la coupe de France ( Bordeaux ).
-1970 : Champion de France de D2 ( Nice ).

BILAN DE CARRIERE :

-1957 à 1962 : Nice ( France ) 132 matchs joués pour deux buts de marqués.
-1962 à 1969 : Bordeaux ( France ) 220 matchs joués pour douze buts de marqués.
-1969 à 1974 : Nice ( France ) 159 matchs joués pour six buts de marqués.
 
 
 
 
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